vendredi 19 novembre 2010

Affaire Guerlain : infiltration du cabinet noir

Depuis trois ans et demi, un cabinet noir a été mis en place en France, de manière évidemment secrète, pour surveiller les Antillais et les Africains, et semer systématiquement la zizanie entre eux. Ce cabinet, dont l’existence est aujourd’hui prouvée, est animé par un ancien collaborateur de la Direction du renseignement militaire qui, dès 2007, alors qu’il se trouvait en quête de subsides et prêt à tout, a vendu cette idée, digne des pires moments de la colonisation, voire de l’esclavage, à certains hauts fonctionnaires que les « nègres »

Le cabinet, dont le fonctionnement est désormais connu, est prolongé par différentes associations ou personnalités dévoyées s'efforçant de parler au nom des « noirs », des Antillais, des homosexuels et même des antisionistes. Deux membres du comité bidon pour la mémoire de l’esclavage sont par ailleurs membres de ce cartel. Quelques rares journalistes, qui ne font pas honneur à leur métier, sont de même associés à cette entreprise peu honorable et tentent de donner quelque écho aux correspondants de l’officine, dont les ramifications ne se limitent pas à l’UMP, mais sont aussi identifiées au parti socialiste. L’intérêt de l’affaire Guerlain est que, dans l’affolement, tout le réseau a été activé de manière brouillonne : presque tous les correspondants peu honorables du cabinet noir sont ainsi apparus à la manifestation du 23 octobre sur les Champs-Elysées. Le mot d’ordre était d’empêcher par tous moyens un rassemblement devant le siège de LVMH (22 avenue Montaigne), de détourner l’attention sur France 2, de profiter de la manifestation pour s’en prendre au parti socialiste en attirant Benoît Hamon dans un guet-apens, et de récupérer au passage un peu d’argent chez LVMH - via certaines associations - pour alimenter la caisse noire de l'organisation. Plusieurs des personnes qui représentaient le cabinet noir à la manifestation du 23 octobre ont eu la sottise de tenter de s’imposer aux collectifs organisateurs et ne se sont pas cachées du fait qu’elles étaient en contact aussi bien avec LVMH qu’avec les milieux gouvernementaux, allant même jusqu’à donner les noms de leurs « conseillers-traitants ». D’autres ont menacé ces collectifs organisateurs de représailles si on ne leur confiait pas les rênes. Tous ces individus devraient savoir qu'ils sont, de même que leurs commanditaires, parfaitement identifiés et attentivement observés. On rendra compte, le moment venu, du rôle exact de tout ce petit monde. On attend avec beaucoup d’intérêt la nouvelle manifestation organisée samedi 30 octobre. Ceux qui y participeront, animés par des motivations honorables, auront le plus grand intérêt à faire preuve de sagacité pour déceler ceux qui ne seront là - souvent proches du podium ou des caméras - que pour combattre la cause qu’ils prétendent défendre. Ces gens de basse police, trahi par leur vanité et leur cupidité, feront preuve cependant d’un grand courage s’ils reviennent car, à leur place, me sachant démasqué, j’y regarderais à deux fois avant de réapparaître de façon aussi imprudente.


Par Claude Ribbe, vendredi 29 octobre 2010 à 12:13

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