lundi 30 septembre 2013

Les États-Unis ne font plus peur


En 1991, les États-Unis avaient considéré que la fin de leur rival libérait leur budget militaire et leur permettrait de développer leur prospérité. Le président George H. Bush (le père) avait, après l’opération Tempête du désert, commencé à réduire le format de ses armées. Son successeur, Bill Clinton, renforça cette tendance. Cependant, le congrès républicain, élu en 1995, remit ce choix en question et imposa un réarmement sans ennemi à combattre. Les néo-conservateurs lançaient leur pays à l’assaut du monde pour créer le premier empire global.

Ce ne fut qu’à l’occasion des attentats du 11-Septembre 2001 que le président George W. Bush (le fils) décida d’envahir successivement l’Afghanistan et l’Irak, la Libye et la Syrie, puis la Somalie et le Soudan, et de terminer par l’Iran, avant de se tourner vers la Chine.

Le budget militaire des États-Unis a atteint plus de 40 % des dépenses militaires du monde. Cependant, cette extravagance a une fin : la crise économique a contraint Washington à faire des économies. En un an, le Pentagone a licencié un cinquième de son armée de terre et a arrêté plusieurs de ses programmes de recherche. Ce recul brutal ne fait que commencer et il a déjà désorganisé l’ensemble du système. Il est clair que les États-Unis, malgré leur puissance supérieure à celle des vingt plus gros États de la planète, Russie et Chine comprises, ne sont plus en mesure de livrer actuellement de vastes guerres classiques.

Washington a ainsi renoncé à attaquer la Syrie lorsque la flotte russe s’est déployée le long de la côte méditerranéenne. Pour lancer ses missiles Tomawak, le Pentagone devait alors les tirer depuis la Mer rouge en survolant l’Arabie saoudite et la Jordanie. La Syrie, et ses alliés non-étatiques, auraient répondu par une guerre régionale, plongeant les États-Unis dans un conflit trop grand pour eux.

Dans une tribune publiée par le New York Times, le président Poutine a ouvert le feu. Il y a souligné que « l’exceptionnalisme américain » est une insulte à l’égalité des humains et ne peut que déboucher sur des catastrophes. À la tribune des Nations Unies, le président Obama lui a répondu qu’aucune autre nation, pas même la Russie, ne souhaitait porter le fardeau des États-Unis. Et que s’ils faisaient la police du monde, c’était justement pour garantir l’égalité des humains.

Cette intervention n’a rien de rassurant : les États-Unis s’affirmant comme supérieurs au reste du monde et ne considérant l’égalité des humains que comme celle de leurs sujets.

Mais le charme est rompu. La président du Brésil, Dilma Rousseff, s’est faite applaudir en réclamant des excuses de Washington pour son espionnage universel, tandis que le président de la Confédération helvétique Ueli Maurer dénonçait la politique de la force US. Le président de la Bolivie, Evo Morales, évoquait la traduction de son homologue US devant la Justice internationale pour crimes contre l’humanité, tandis que le président serbe Tomislav Nikolic, dénonçait la mascarade des tribunaux internationaux ne condamnant que les adversaires de l’Empire, etc. On est ainsi passé d’une critique émanant de quelques États anti-impérialistes à une révolte généralisée incluant les alliés de Washington.

Jamais, l’autorité des maîtres du monde n’avait été ainsi publiquement contestée, signe qu’après leur reculade syrienne, ils ne font plus peur.

Thierry Meyssan
Al-Watan (Syrie)

Attaque chimique: Damas affirme avoir appelé l'Onu à déterminer les coupables


Damas a proposé aux experts en armes chimiques des Nations unies de déterminer les coupables des attaques chimiques, mais les Etats-Unis et leurs alliés les en ont empêchés, a affirmé lundi le chef de la diplomatie syrienne Walid Mouallem, dont les propos étaient retransmis par la chaîne CNN.

"Nous avons exigé que le mandat (des experts de l'Onu, ndlr) comprenne la possibilité de déterminer qui avait utilisé des armes chimiques. Mais les Etats-Unis et d'autres pays, tels que le Royaume-Uni, ont empêché de le faire et ont limité le mandat de la mission à l'établissement du fait de l'utilisation ou non d'armes chimiques", a déclaré M.Mouallem du haut de la tribune de l'Assemblée générale de l'Onu.

Les autorités syriennes ont déclaré à maintes reprises ne pas avoir utilisé d'armes chimiques, mais disposer en revanche de preuves de l'usage d'armes chimiques par les rebelles.

samedi 28 septembre 2013

ILS AVANCENT, ET SI NOUS CONTINUONS A NOUS TRAINER, NOUS NE VERRONS BIENTOT MEME PLUS LEURS SEMELLES...!


Quelques décennies seulement séparent ces deux aspects de la rue chinoise et partant de là, il est facile d'imaginer ce qu'il en sera d'ici dix ou quinze années encore, dans ce pays qui produit désormais plus de 800 000 ingénieurs par an...!

La Chine n'est pas la seule, il y a bien sûr les autres pays émergents, et elle entraine dans son sillage de nombreuses nations avec lesquelles elle parvient à établir des relations intelligentes de partenariat où elle assure à la fois ses approvisionnements, et des débouchés pour ses produits, en favorisant l'enrichissement de ceux-là mêmes qui deviennent ses clients...

C'est ainsi qu'elle a déjà supplanté les Européens et les Américains comme premier partenaire commercial de l'Afrique, continent qui offre à ses investissements et à ses entrepreneurs, les occasions de chantiers pharaoniques...

Et nous, où serons nous d'ici là, coincés comme nous le sommes derrière l'impudence de nos chefs de l'esbroufe...? 

Il est facile de constater l'effroyable médiocrité d'une politique dite "politique africaine de la France", qui est à l'image du reste de la politique actuellement menée dans ce pays, et qui ne consiste qu'à fomenté des coups d'état ou des rébellions dans des nations souveraines, pour pouvoir y installer des traitres à leur patries. Ceci, afin que ceux-ci puissent détourner les ressources de ces nations, pour partie pour leur compte personnel, et pour permettre à des groupes industriels et financiers proches du pouvoir français, d'y opérer de substantiels bénéfices en appauvrissant et endettant de plus en plus ces nations...

Et tout cela, alors que se poursuit le cortège des trésoriers "porteurs de valises", des différents partis politiques français, qui s'en vont rendre "visite" auprès de leurs obligés...

Nous n'avons pas de temps à perdre, l'avancée des autres qui, chaque jour qui passe, nous supplantent dans un domaine quelconque fais que sans en prendre bien conscience, nous ne cessons de reculer, et nous n'avons pas à attendre jusqu'en 2017, pour qu'après que notre situation n'ait encore cessé de se dégrader, il nous soit proposé une autre bande de polichinelles de la même veine que ceux qui sévissent en ce moment, comme alternance d'un pouvoir qui aura totalement échoué, à supposer même qu'il eut une seule fois l'ambition réelle de réussir...

Si nous désirons mettre fin à cette déchéance, c'est dès maintenant qu'il nous faut faire notre REVOLUTION...

Richard Pulvar

VOICI QUELQUES EXTRAITS DU DISCOURS TRÈS MUSCLE DE ROBERT MUGABE


"Honte, honte, honte pour les États-Unis d'Amérique. Honte, honte, honte à la Grande-Bretagne et ses alliés, "

"Le Zimbabwe est pour les Zimbabwéens ainsi que ses ressources. Veuillez retirer vos sanctions illégales et sale» de mon pays paisible. "

"Notre petit et paisible pays est menacée quotidiennement par les grandes puissances avides et sectaire dont la faim pour la domination et le contrôle des autres nations et de leurs ressources ne connaît pas de limites ",

"Il semble que lorsque les États-Unis et ses alliés parlent de démocratie et de liberté qu'ils le font seulement en termes relatifs", a déclaré Mugabe. "Le Zimbabwe, toutefois, refuse d'accepter que ces détracteurs occidentaux ont le droit de définir la démocratie et de la liberté pour nous.

"Nous avons payé le prix ultime pour cela et nous sommes déterminés à ne jamais renoncer à notre souveraineté et à rester maître de notre destin. Zimbabwe ne sera plus jamais une colonie».

dimanche 22 septembre 2013

POUR CERTAINS, NOUS EN SOMMES DEJA AU POINT OU L'ARMEE CONSTITUERAIT LE SEUL RECOURS POSSIBLE...



Que deviendrons-nous dans ces temps à venir ?

Il est clair que les conditions de la procédure électorale elle-même, avec son dispositif de barrage constitué par les signatures d'élus nécessaires pour être recevable comme candidat, et la formidable machine financière et médiatique qui se trouve mise au service exclusif des partis gouvernementaux, ne laisse aucune chance pour qu'un homme des petits partis, et encore moins un homme neuf qui ne serait pas du sérail, puisse accéder à la présidence...

Ainsi, même si nous patientions jusque là, l'horizon de 2017 est d'ores et déjà sans espoir...

Or, il est clair qu'il y a urgence à nous défaire au plus vite de cette articulation entre deux partis gouvernementaux, qui ont été investis par les mêmes groupes d'activistes, qui feignent de constituer une alternative l'un pour l'autre, et dont la politique ainsi que nous le constatons tous, ne consiste qu'à trahir notre nation pour la soumettre à ne devoir satisfaire que les intérêts de puissances étatiques ou financières étrangères...

Contre cela, une révolution n'est désormais plus possible, car la population de ce pays est bien trop divisée, des haines tenaces et qui n'ont cessé d'être ravivées à toutes les occasions, selon toutes les lignes de fracture, qu'elles soient sociales, raciales, confessionnelles ou idéologiques, et selon un plan prévu justement pour cela, rendent tout à fait illusoire la constitution d'un front commun pour pouvoir bouter hors des manettes du pouvoir, les traîtres qui sont parvenus à y accéder...

D'autre part, il est clair qu'à l'instar de ce qui s'est passé en Russie en 1917, ou les bolchéviks qui constituaient l'organisation la mieux structurée, ont fait une révolution dans la révolution, en supprimant les tout premiers leaders, et imposer à la masse un pouvoir totalitaire, alors même qu'ils étaient extrêmement minoritaires, il y a toutes les chances qu'un tel schéma se reproduise ici, avec un parti extrémiste qui s'est déjà préparé pour cela.

Il n'y a donc pas d'issue révolutionnaire...

Reste alors le pire tel qu'il se prépare en ce moment, où chacun commence à se crisper sur ses positions, où les tensions sociales sont au comble, où la population n'en peut plus, et où faute de pouvoir s'en prendre à ceux du pouvoir, elle se trouvera des coupables plus pratiques parmi les siens, c'est à dire la guerre civile qui se profile, et qui compte tenu des nombreuses lignes de fractures qui blessent cette société, ne manquera pas d'être un affrontement furieux, aux conséquences inimaginables...

Face à cette perspective à laquelle aucun citoyen responsable et digne de ce nom ne peut se résigner, ni pour lui-même, et surtout pas pour ses enfants auxquels il est tenu dans sa fierté et sa dignité de citoyen, de céder la nation dans un meilleur état que celui dans lequel il l'a trouvée, et nous comprenons tous que les adultes d'aujourd'hui auront toutes les peines du monde à assumer cette obligation sacrée, doit s'interroger quant au moyen d'éviter ce pire, ce moyen serait-il porteur lui aussi d'inconvénients que l'on pourrait alors juger mineurs, par rapport à la terrible perspective d'une guerre civile... 

Ainsi, certains pensent que si conscients de la réalité du pays, et de constituer son dernier recours, des militaires décidaient d'assumer une responsabilité qui leur échoie par les circonstances, ils pourraient nous débarrasser des traîtres  sans que le peuple s'en vienne à se déchirer dans de sanglants affrontements, et sans permettre que des extrémistes déjà aux aguets, profitent des désordres pour s'emparer du pouvoir, et infliger à tous une terrible dictature...

Bien sûr ce n'est pas quelque chose qu'on pourrait envisager avec joie, mais dans la circonstance, c'est-à-dire en cet instant où la démocratie ne fonctionne plus, et où un président se permet de dire qu'il connait l'opposition du peuple à son projet, mais qu'il a l'intention de passer outre, il nous faudrait une sorte de général Sissi, et peut-être en avons nous un...

Paris, le 22 septembre 2013
Richard Pulvar

Mobilisation générale de l'ASL !!!!!


Ordre du conseil de la Sharia e l'Armée Syrienne Libre (Bataillons et Brigades de la Ghouta Est, Mleiha et les environs) : Tous les hommes nés entre 1983 et 1994 seront forcés de joindre le Djihad. 

- Parce que notre pays fait face à une agression féroce des ennemis de l'Islam et des Gangs Assadiste.
- Parce que nos Mujaheedeen (guerriers de la foi) au front ont besoin de renforts constants.
- Parce qu'il ne faut laisser aucun point de contrôle vide.

Les commandants des Bataillons et Brigades on décidé de donner 24 heures à tous les jeunes nés entre 1983 et 1994 pour effectuer leur devoir de djihadiste

Ordre donné le 20/09/2013

Complément d'analyse à propos de l'attaque islamiste au Kenya


Un commentaire très pertinent complétant l'analyse que j'ai faite sur mon post d'hier soir:

"- 4 mars 2013, élection au Kenya 

- 30 mars 2013, victoire de Uhuru Kenyatta fils de Jomo kenyatta 
malgré le soutien total de la "communauté internationale" à son adversaire

Débute alors le sabotage 

- 20 juin 2013 la CPI réactualise son mandat d'arrêt contre Uhuru Kenyatta 
CPI = lieu où on punit tout africain qui ose dire non à l'occident.
pendant que Georges Bush s'est fait offrir un musée en son nom à Dallas

- 7 aout 2013 gigantesque incendie à l’aéroport Jomo Kenyatta de Nairobi 

- 20 août 2013, Le Kenya signe pour 5 milliards de dollars de contrats avec la Chine, pour des projets ferroviaires, des projets énergétiques, construction d'un port. 

- 5 septembre 2013 les députés kényans votent le retrait de leur pays de la CPI

- 21 septembre 2013, attentat dans un centre commercial, des terroristes shebab, qui sortent de nulle-part, armés par qui ? on ne sait pas, et qui à l'heure actuelle combattent encore dans le centre commercial et recevront bientôt du renfort comme en Syrie pour embraser ce pays. 

morale de l'histoire : on ne dit pas non à l'Empire !" 

....A ce commentaire j'ajoute que hormis la colossale réserve d'eau kényane découverte il y a peu que j'évoquais dans ma dernière analyse, le Kenya c'est un géant d'Afrique riche en :
or, calcaire, carbonate de sodium, fluorine, baryte de sel, rubis, grenat, énergie hydraulique et une faune et flore d'exception .

Cerise du chef l'attentat a été perpétré dans un centre commercial qui non seulement était rempli de ressortissants étrangers mais appartient à des juifs ainsi la panoplie est au complet.

Les motifs réels dissimulés derrière ce drame ne sont guère difficiles à comprendre quant à la suite du scénario elle est d'une clarté limpide ....

Emmanuelle Bramban

A propos de l'attaque islamiste au Kenya

Il y a une dizaine de jours le Kenya découvrait via des scientifiques japonais une extraordinaire source d'eau pouvant alimenter le pays pour plus d'un demi-siècle, cette semaine le Kenya a entrepris les démarches nécessaires pour sortir du TPI, drainant dans son sillage 34 pays africains souhaitant faire de meme, Nairobi argue entre autres que la plupart des cas du TPI incriminent presque exclusivement des africains, et la aujourd'hui comme par le plus grand des hasards un attentat survient dans ce pays.

Et pour faire bien dans l'habillage terroriste de l'attentat il a été perpétré dans un centre commercial de Nairobi bondé d'étrangers avec un bilan provisoire de 39 morts et 150 blessés et les caméras du monde entier (tiens c'est à se demander comment son elles arrivés si vite )...

Les terroristes sont identifiés pour le moment comme faisant parti d'un commando de somaliens islamistes, si le Kenya connait des tensions avec ces groupuscule somaliens et autres cela ne relève pas de ce type d'actions d'envergure, d'ici peu il y a fort à parier qu'il nous sera annoncé qu'il s'agit de djihadistes.

Par ailleurs si le Kenya a déjà connu sur son sol un gros attentat les faits sont antérieurs au 11 septembre 2001, ils datent de 1998 ensuite les autres attaques terroristes qui ont suivies depuis n'ont jamais causées autant de morts et de blessés.

Alors au vu des actualités majeures du Kenya visant à s'affranchir de la dépendance extérieure cet attentat me semble t'il tombe pour le moins à pic ...

L'attentat terroriste type djihadiste une arme de déstabilisation dans l'air du temps ?...et dans ce cas à qui profite le crime ?

Emmanuelle Bramban

mardi 17 septembre 2013

QUAND UN PEUPLE QUI SE DIT, LATIN, GAULOIS, ET FRANCAIS, MARCHE TOTALEMENT A COTE DE SES POMPES HISTORIQUES...


C’est en ces instants dramatiques où cette nation se précipite corps et âmes dans une désespérante régression, non seulement économique, mais également culturelle, ce qui est bien plus grave encore, qu’un parti qui a établi sa notoriété dans sa lutte farouche contre les immigrés, semble quant à lui avoir le vent en poupe...

Il ne faudrait pas croire que concernant cette question de l’immigration, il ne s’agirait là que d’une coïncidence et que ce qui fait la faveur actuelle de ce parti, ne seraient que les circonstances économiques et sociologiques du moment. Car, c’est d’une incompréhension de ce qui constitue depuis toujours une “vocation” logique de ce pays, incompréhension qui se trouve précisément exprimée par ce parti dans son objet qui est de lutter contre l’immigration, que découle la régression sociale et économique qui le frappe. En réalité, ce n’est pas l’un qui entraine l’autre, ces deux phénomènes étant parallèlement les conséquences d’un même mal.

Le Sphinx qui sur la route de Delphes, soumettait les voyageurs à une énigme dans laquelle ils devaient se reconnaitre eux-mêmes selon leur soumission au temps, dévorait ceux qui manquaient à cela, en signifiant ainsi :

“Malheur à ceux qui s’ignorent selon leur soumission au temps”.

Dans une compréhension plus approfondie, ceci revenait à dire en fait :

“Malheur à ceux qui ignorent les obligations de leur vocation”.

C’est justement là, en ce grave manquement, que se situe le malheur d’un peuple qui se dit lui-même, Latin, Gaulois, et Français, c’est d’ignorer totalement ce qu’implique pour lui fondamentalement, ces trois vocations.

Le terme “latus” désigne en latin, “l’étendue”, et par extension, le “lointain”. Quant au sémantème “in”, il évoque en préfixe, “l’introduction”, et également “l’inversion”, dans la mesure où l’introduction constitue la contradiction de ce qui autrement se trouve exprimé. Mais en suffixe il évoque “l’extraction” et par là, “l’origine”.

Cet “in” se trouve alors utilisé de façon redondante avec un autre suffixe “us” qui quant à lui forme en plus une unité nominale dans le terme “Latinus”. Celui-ci désigne ainsi clairement, “celui qui vient du lointain”, autrement dit, le “migrant”...

Le “Latin” est donc à l’origine un migrant, et ceux qui se reconnaissent selon ce terme ne doivent surtout pas “l’injurier”, comme cela se fait maladroitement dans ce pays de France.

Ce rapport du fait “latin” au fait “migratoire”, se retrouve dans le nom d’une des plus anciennes cités latines, “Albe la longue”, dont la fondation remonterait au 12eme siècle avant J.C., et dont selon la tradition, des descendants de citoyens de celle-ci, Romulus et Remus, seront les fondateurs de Rome, au 8eme siècle avant J.C.

Le sémantème “al” dans sa forme active, et “el” dans sa forme évolutive, évoque également l’étendue, et se retrouve précisément dans le mot “éloignement”. Dans la construction “ali” ou “eli”, il désigne le fait de “l’ailleurs” qui résulte justement de " l’aller "

Ainsi, le terme “alibi”, dans lequel “bi” à la même valeur que dans l’anglais “be”, désigne celui qui “se trouvait ailleurs”, et qui ne peut donc pas être incriminé pour un délit s’étant accompli ici...

Partant de là, “Albioni” désigne ceux qui sont venus d’ailleurs, et ce terme sera retenu surtout pour les migrants qui vont aller peupler l’Angleterre, la perfide Albion.

L’expression “la longue”, vient de l’homogénéité des mots long, et loin, et désigne non pas une ville allongée, mais une ville située dans le lointain.

Albe la Longue est donc une ville qui fut crée au loin, par des gens venus d’ailleurs, par des migrants qui établiront ainsi le fait “latin”, un fait migratoire d’où naitra une des plus brillantes civilisations. Et il faut remarquer que celles-ci découlent toutes à leur origine, qu’il s’agisse alors de l’arrivée des Erythréens, des Nubiens, des Hellènes, des Latins ou des Olmèques, dans des endroits éloignés de chez eux, d’un fait migratoire, comme celui qui se produit actuellement en France, et qui aura la même finalité, la construction d’une nouvelle et brillante civilisation.

Le terme “gal”, dérivé de “wal”, lui-même issu de “awa”, désigne le “vent”, et les vents dominants étant en Europe, des vents d’ouest venant de l’Atlantique, les pays de l’ouest européen étaient dit de “Gal(les)” sous l’attraction de l’anglais “Walles”, ou les pays “Gaule”, selon une forme déclinée de gal, autrement dit les “pays du vent” où pays “venteux”. Ceci, selon la même description qu’on viendra plus tard à désigner par “Vendée”, le pays de l’ouest. Ce n’est d’ailleurs rien d’autre que désigne le terme “ouest” lui-même, provenant de l’anglais “west”, signifiant le lieu d’où vient le vent, selon la forme évolutive “ewe”.

Par extension, le vent “gal”, que l’on retrouve décliné dans “goéland”, l’oiseau qui se sert du vent pour voler, servira à décrire le mouvement et le voyage, celui de ceux qui partent précisément à “l’aventure”, et se retrouvera dans des mots relatifs au moyens du voyage tels que galère, ou galion. Il servira donc à décrire également ce par quoi il “advient”, et telle est précisément l’origine du mot “vent” lui-même qui vient du latin “ventus”, lequel est une forme participe du verbe “venire”, qui signifie “venir”.

Celui qui voyage et qui advient ainsi selon le vent, sera donc dit le “issu du vent”, ou encore “fils du vent”. Il s’agit autrement du “migrant”, et c’est exactement ce que signifie selon gal, le mot “galus”, désignant le “gaulois”. Les Gaulois étaient donc ainsi dits, parce qu’il s’agissait de migrants qui sont eux aussi venus d’ailleurs, pour s’installer dans ce pays Gaule, pays de migrants, selon une vocation qui se vérifiera pendant des siècles, et tous ceux qui se reconnaissent selon ce terme, là aussi ne doivent surtout pas l’injurier, comme cela se fait bien trop souvent dans ce pays de France.

Notons au passage que chez les Bretons, le nom “le Gall” désigne l’étranger, lequel fut pendant longtemps, le Français provenant d’une autre région de France...

C’est alors qu’après qu’il fut envahi par les hordes gauloises, puis par les légions romaines, ce pays fut progressivement soumis par un peuple de féroces barbares germaniques, qui fut désigné comme étant “les Francs”, et qui donneront finalement son nom, mais notons le bien, par la même occasion, sa “vocation” à ce pays, laquelle demeurera la sienne tant qu’il portera ce nom...

Les migrant furent traditionnellement dit “fils du vent” ou encore “enfants du voyage”, et telle est en cette dernière, la façon dont nous désignons jusqu’à aujourd’hui dans une évocation poétique, les Roms et les Gitans. C’est la même description qui se retrouve dans “enfants de la balle”, par laquelle nous décrivons les gens du spectacle, selon une activité qui était souvent celle de nomades s’en allant proposer leur spectacle de ville en ville, “balle” étant alors une rotation de “wall” signifiant le mouvement, et que l’on retrouve jusque dans le mot “ballet”.

Ces Francs étaient un peuple germanique et il est remarquable que jusque de nos jours, le fait de se déplacer en allemand se dit “fahren”. Le sémantème “ki” est un collectif décrivant les hommes dans leur quête, la forme singulière étant "ke". Or, poussés qu’ils étaient par Attila que Mérovée allié à Aetius finirent par vaincre, ces gens se déplaçaient dans la quête d’un meilleur endroit pour séjourner, et en tant que gens se déplaçant selon leur quête, ils furent dit “Farhen-ki”, terme qui sera latinisé en “ Franci”, avec la prononciation k pour le c latin, correspondant à un nominatif pluriel, et dont on tirera un nominatif singulier “Francus”, qui donnera le Franc, et les Francs.

Les “Francs” étaient donc ainsi dit, parce qu’ils étaient des migrants, et tous ceux qui à travers le mot Français, s’en font les héritiers, ne doivent absolument pas injurier ce terme, comme cela se fait si souvent dans ce pays de France, qui est ainsi nominalement, un pays de migrants, et dans lequel tout un courant de pensée de citoyens totalement ignorants d’eux-mêmes et de leur pays, à pour objet le refus et le dénigrement de l’immigré parce que tel.

S’il y a donc tant d’immigrés en France, c’est tout simplement parce que telle est la vocation de ce pays tel qu’il s’appelle précisément France, ce qui en fait nominalement un pays de migrants, ce qu’il est, ce qu’il a toujours été, et ce qu’il restera, tant qu’il portera ce nom.

En résumé, quant on se dit Français, qu’on se réclame de la France, qu’on se dit descendant des Gaulois, et héritiers de la culture des Latins, et qu’on se déclare contre l’immigré, c’est que sans le savoir, on marche totalement à coté de ses pompes historiques...


Paris, le 17 septembre 2013
Richard Pulvar

Un hélicoptère "Mil Mi-14" syrien abattu par l'aviation turque

Par erreur, un hélicoptère "Mil Mi-14" en mission de récolte d’informations sur les mouvements des groupes terroristes armés le long du tracé frontalier turco-syrien (coté de Lattaquié), est abattu aujourd’hui par l’aviation turque après avoir violé l’espace aérien de l'empire ottoman. Une fois abattu, les amis du « soldat Hollande-Fabius », ont vite décapité le corps du pilote.

Selon les révélations des mercenaires, le pilote s’est éjecté avec succès de l’appareil avant de tomber dans un secteur conjointement contrôlé par les extrémistes djihadistes de l'Etat islamique de l'Irak et du Levant (EIIL) et ceux des brigades dites d’Al-Moudjahidines. Poursuivi, capturé et décapité, le corps du pilote est séparé en deux pièces : la tête et le corps.

Cours de démocratie aux enfants syriens par les terroristes de l'ASL/Al Nosra.


LE PARTI VAINQUEUR

Avertissement :
Certains lecteurs ayant tout compris de travers, je me vois obligé de rajouter ici, qu'il convient de s'offrir de lire un texte correctement, avant de réagir stupidement.
Qui me connaissant, peut croire que je fais ici de la publicité pour ce parti ?

Ce parti, qui est désormais le seul véritable parti politique de ce pays, parce que, qu'on approuve ou pas celle-ci, il est le seul à avoir conservé une idéologie, ce qui est normalement le propre d'un parti puisque c'est ce qui constitue la raison même de son combat, est de très loin celui qui aura le plus influencé la pensée dominante de ce pays de France depuis près de trente ans...

C'est le grand parti vainqueur car, en attendant son succès électoral qui ne manquera pas l'an prochain, d'être la réponse logique que feront les citoyens à l'effroyable médiocrité du restant de la classe politique, sa victoire réside dans le fait qu'il a fait triompher totalement et depuis longtemps, toutes ses idées, et tel était là son véritable objectif, bien avant ses ambitions électorales...

C'est ainsi que, parce que celle-ci n'a cessé de le redouter sans jamais avoir la force de l'affronter, il a transporté toute la classe politique, jusqu'à y compris les crétins verts qui aujourd'hui veulent partir en guerre, probablement au nom de la défense de la nature, en ce lieu des idées qui, il y a cinquante ans, aurait été celui de la droite extrême.

C'est le parti vainqueur mais le problème, c'est que c'est la France et les Français qu'il a vaincus et qu'il est parvenu à soumettre à sa pensée. C'est la défaite en rase campagne du pays qu'il a provoqué, en ne lui permettant pas de s'adapter progressivement aux conséquences logiques, tant de sa réalité historique, que de ses nécessités économiques et démographiques, qui ont entrainé un flux massif mais parfaitement prévisible et en la situation, inévitable, d'hommes et de femmes venus d'ailleurs, et avec lesquels il fallait construire la nouvelle société française...

S'étant posté en front du refus de cette nécessaire mise à jour, en bénéficiant de la disposition naturelle des citoyens à refuser ce qui au départ, leur est autre, il aura placé ce pays dans une situation sociologique absolument ingérable, à cause de ce véritable "mur de la pensée", qui sépare désormais la nation en groupes qui ne se reconnaissent pas, et qui risqueraient un jour de s'affronter...

Et tout cela, alors que visiblement, celui qui sera de nature à pouvoir nous faire dépasser cette situation déplorable, ne semble pas être encore né...

Pourtant, qui ne comprend que selon l'attraction logique des choses, celle de notre vingt et unième siècle en mouvement, il y aura partout dans notre monde de demain, des gens de toutes les origines, ainsi que l'avait pressenti ce "grand" des Antilles qui parlait du "Tout Monde"... 

Paris, le 16 septembre 2013
Richard Pulvar

dimanche 15 septembre 2013

L’Armée Arabe Syrienne écrase les terroristes d’Al Nosra.

Entre 300 et 400 terroristes d’Al Nosra tués par les forces gouvernementales syriennes près de Maaloula.

Les troupes gouvernementales syriennes ont continué dimanche leur opération contre les terroristes d’ Al Nosra au niveau du village de Maaloula.

Le samedi, l’Armée Arabe Syrienne a pris le village sous son contrôle mais les terroristes ont continué à tirer sur les forces gouvernementales à partir des gorges. Tôt ce Dimanche, environ 100 hommes armés ont tenté d’entrer dans le village mais ont été repoussés par les troupes gouvernementales et tués. Le reste des militants ont essayé de sortir des gorges de l’autre côté, et sont tombés dans le champ de tir des forces gouvernementales.

Les hélicoptères de l’Armée Arabe Syrienne se sont intervenus et ont lancé des attaques contre les terroristes. Un Avion de combat a rejoint l’opération l’opération dans la soirée.

Un officier de l’Armée Arabe syrienne de haut rang a déclaré à l’agence Tass que les forces gouvernementales avaient tué dans la seule journée de dimanche 300 à 400 terroristes.

L’officier a promis que tous les terroristes seront délogés et tués et les journalistes seront en mesure de rentrer dans les sanctuaires chrétiens de ce village.

ET VOICI REVENU SOUS LES APPLAUDISSEMENTS DE HORDES DE "PAUVRES TYPES", LE TEMPS DE LA BARBARIE, LE DEGRE ZERO DE L'HOMME SOCIALISE...

Un homme qui, après s'être fait agressé et dévalisé par deux malfrats, a abattu l'un d'eux d'une balle dans le dos alors que ceux-ci prenaient la fuite, voit se constituer en sa faveur une pétition de centaines de milliers "d'anti-citoyens", c'est à dire de gens contestant les lois et les arbitrages de la "cité", au motif que son geste malheureux relèverait de la "légitime défense", argument que l'institution judiciaire n'a justement pas retenu...

Rien ne peut davantage traduire l'état de totale déliquescence de notre société, dans laquelle les règles et les arbitrages sont délégitimés, pour faire la place à la délectation fascisante de la vindicte populaire, et de la falsification morbide de la notion fondamentale de légitime défense...

Or, si nous pouvons trouver des circonstances pour le geste malheureux de l'homme agressé, nous ne pouvons en trouver aucune pour la mobilisation salace de ceux qui se drapent facilement d'un prétendu souci de justice, pour donner simplement libre cours à leurs bas instincts...

Aucune civilisation ne peut admettre ce type de comportement où l'individu se passe de tout arbitrage pour se faire justice lui-même, et par lequel la position de victime et celle de coupable se trouvent superposées...

Se faire agresser et déposséder de son bien en tant que victime, ne peut en aucune façon équilibrer le fait de déposséder l'autre de sa vie, en tant que coupable... 

Paris, le 14 septembre 2013
Richard Pulvar

Iran et Russie aux USA:« La Syrie est pour nous ce qu’Israël est pour vous"


La Russie et l’Iran compensent le démantèlement des armes chimiques syriennes en fournissant à Damas des armes stratégiques, et affirment aux Etats-Unis que "la Syrie est pour nous ce qu'est Israël et le pétrole pour vous".

Un message a été transmis par le Guide suprême de la révolution iranienne, l’ayatollah Sayed Ali Khameneï, au Sultan d’Oman Kabous Ben Saïd dont la teneur est la suivante: "Celui qui veut détruire la Syrie devrait s’attendre à perdre le pétrole et le gaz dans cette région".

Un deuxième message aurait été remis par le président russe Vladimir Poutine à son homologue américain Barack Obama: "Pour nous, aujourd’hui, la Syrie est exactement ce que représente Israël pour vous".

Selon certaines informations, la Russie "ne laissera pas la Syrie sans armes stratégiques face à ses ennemis". Les mêmes informations font état d’une "décision russo-iranienne" de renforcer les moyens militaires du régime syrien.

Sur un autre plan, le secrétaire général des Nations unies surveille l’équipe d’inspecteurs internationaux qui se sont rendus en Syrie pour mener l’enquête sur le massacre à la Ghouta.

Il redouterait en effet "des pressions exercées sur certains membres de cette équipe par les va-t-en-guerre à l’exemple de la France, d’Israël, de l’Arabie saoudite et de la Turquie".

Dans ce contexte, des informations font état d'"efforts franco-saoudo-israéliens" déployés pour faire en sorte que le rapport des inspecteurs renferme des indications sur le type d’armes utilisées, afin de pouvoir en conclure que seul un Etat est en mesure de détenir de telles armes, l’objectif étant de donner l’impression que ce rapport rend le régime syrien responsable de l’utilisation des armes chimiques.

source: mediaramalb

Un général français : «François Hollande nous manipule»



Dans une analyse, le général français Dominique Delawarde, ancien chef du bureau situation-renseignement-guerre électronique de l’état-major interarmes de planification opérationnelle en région parisienne, rejoint le clan des opposants à une frappe militaire contre la Syrie en mettant en cause les accusations formulées par les services de renseignement français contre le régime syrien, seul responsable, selon eux, d’avoir gazé la population. Pour lui, il n’y a aucun doute : les preuves présentées par le Premier ministre aux députés ne sont «ni convaincantes ni crédibles». 

Le militaire français rappelle, à cet effet, la présentation du général Colin Powell aux Nations unies de «fausses preuves indubitables» établies par la CIA sur l’existence d’armes de destruction massive en Irak pour justifier l’intervention militaire qui a suivi. «Personnellement, j’ai la conviction intime que nous sommes en présence d’une nouvelle manipulation avec le massacre au gaz chimique de Damas», affirme-t-il. 

Pour cet ancien officier, l’utilisation de l’arme chimique par Bachar Al-Assad «est une affirmation absurde et ne tient pas la route». Selon lui, le président syrien n’aurait jamais pris un tel risque, sachant qu’une intervention occidentale suivrait de facto. «Il (Bachar Al-Assad) possède un arsenal suffisant pour frapper ses adversaires sans faire appel au gaz. Aurait-il pris un tel risque à un tel moment pour tuer seulement quelques centaines d’adversaires en banlieue de Damas, capitale du pays, à une relative proximité des délégations diplomatiques étrangères ?» se demande-t-il, dubitatif. 

Ce «massacre», continue le militaire dans son analyse, ne profite qu’aux deux autres parties en cause dans cette affaire. «D’abord aux opposants à Bachar El-Assad qui, si intervention il y a, ont toutes les chances de gagner rapidement leur combat et de prendre le pouvoir en Syrie. Ensuite, aux Etats-uniens et aux Franco-Britanniques qui souhaitent depuis longtemps affaiblir le Hezbollah libanais, mais surtout l’Iran (cible principale en raison du nucléaire), en supprimant leur allié de toujours : la Syrie de Bachar Al-Assad», a-t-il expliqué. 

Pour corroborer son argumentation, le général Delawarde rappelle des précédents de ce genre de manipulation dans la ville roumaine de Timisoara, en décembre 1989, où les médias avaient repris pendant plusieurs semaines la fausse information d’un prétendu «massacre» de 4 600 personnes juste pour faire tomber Nicolae Ceausescu. «Il y a eu deux autres manipulations de ce type en Bosnie et au Kosovo lorsque j’étais en fonction. Elles ont été réalisées avec succès et l’opinion et les médias n’en ont jamais connu les tenants et les aboutissants», a-t-il révélé. 

Le général Dominique Delawarde conteste les renseignements français, selon lesquels les rebelles syriens «n’ont pas le savoir-faire pour mettre en œuvre les gaz». «C’est oublier un peu vite que les rebelles sont soutenus et conseillés par des services spéciaux étrangers qui, eux, ont toutes les connaissances nécessaires», a-t-il avancé. 

Fustigeant la politique étrangère française en faveur d’une intervention militaire en Syrie pour faire respecter, selon elle, les conventions de Genève, le général Delawarde s’est demandé pourquoi la France n’a pas proposé d’intervenir militairement lors du massacre de Gaza en 2009 : «Il y avait, lors du massacre de Gaza, 1 300 morts, bien réels ceux-là, dont 900 civils et 300 enfants. L’armée israélienne avait alors utilisé des bombes au phosphore interdites par les conventions de Genève (…) Y aurait-il deux poids et deux mesures ? Des massacres autorisés ou tolérés et des massacres interdits ?» s’est-il encore demandé, en concluant avec ironie : «Cette utilisation de gaz dans la ville de Damas n’est tout simplement pas crédible. Il est vrai que plus c’est énorme, plus ça passe. Mais, là, la ficelle est un peu grosse.»

Mohamed El-Ghazi
 

La fête de la Lune ou fête de la mi-automne


Du 14 au 21 septembre, la mairie du 13e arrondissement vous invite à la célébration de la Fête de la Lune, une vieille tradition asiatique. Ce soir il y avait la cérémonie d'ouverture : spectacle le Charme du Vietnam.

Dimanche 15 septembre - à 16h, dans le quartier chinois un défilé des enfants avec lanternes, et à 19h à la mairie du 13e : spectacle du ballet classique Khmer.

Jeudi 19 septembre - 17h, parvis de la mairie du 13e : Cérémonie des illuminations, et à 19h à la salle des fêtes - Concert "Au Clair de  la Lune" par l'orchestre philharmonique de Shaanxi.

Vendredi 20 septembre - 19h  à la salle des fêtes de la mairie du 13e, spectacle Incredible India.

Samedi  21 septembre -15h  à la salle des fêtes de la mairie du 13e, Cérémonie de cloture : Concert "A-Pop party".

Pour en savoir plus sur cette fête chinoise

La fête de la mi-automne et la dame de la Lune


vendredi 13 septembre 2013

Les rebelles syriens dans leurs oeuvres


Alalam TV citant le rapport (portant sur les développements sécuritaires au front) du correspondant médiatique du quotidien britannique « The Times », dans lequel, le correspondant (qui couvrait les opérations militaires des mercenaires de l'opposition) a décrit la scène d’exécution, par des éléments d’Al-Qaïda, d’un soldat de l’Armée arabe syrienne, capturé, torturé puis égorgé à l’arme blanche comme le montre la photo.

Le correspondant a jugé qu’Al-Qaïda exécute ses détenus avec une sauvagerie sans précédent.

Evo Morales à propos de la Syrie


"Et maintenant, nous voyons ce font les empires ils divisent et sont confrontés aux peuples, ils financent des groupes rebelles comme en Syrie afin qu'ils puissent renverser un Gouvernement anti-impérialiste et ils justifient plus tard l'intervention avec le prétexte ou le discours que celle-ci étant une question humanitaire, au fond de tout cela n'existe pas, il n' y a aucun plan humanitaire, ce qui les intéressent vraiment c'est le pétrole et le contrôle géopolitique dans le Moyen-Orient.''

- EVO MORALES, président de la Bolivie.

Syrie: La guerre balistique US/Russie a eu bien lieu!!


Une source diplomatique éminente a révélé que « la guerre américaine contre la Syrie a commencé et a terminé au moment du tir des deux missiles balistiques qui sont tombés dans la mer » ! Selon le quotidien libanais assafir, citant cette haute source, « les deux missiles ont été lancés par les forces américaines d’une base militaire de l’OTAN en Espagne. Ils ont été détectés par les radars russes immédiatement. Les batteries de défense russe les ont confrontés. Un missile a explosé en l’air alors que l’autre a été dérouté et est tombé ensuite en mer ».

Et la source d’ajouter : « Le communiqué publié par le ministère russe de la défense sur la détection de deux missiles balistiques lancés en direction de la Méditerranée a négligé de souligner deux informations : le lieu du tir des missiles, et leur interception ».

Pourquoi ? Parce qu’immédiatement après cette opération militaire, la direction des renseignements russes a contacté les renseignements américains pour les informer que « frapper Damas équivaut à frapper Moscou et nous avons omis la phrase de l’interception des deux missiles du communiqué que nous avons publié pour sauvegarder les relations bilatérales et pour ne pas provoquer plus d’escalade. Pour cette raison, vous devez revoir rapidement votre politique et vos intentions envers la crise syrienne et vous devez réaliser qu’il vous est impossible d’éliminer notre présence en Méditerranée ».
« Cette confrontation directe non annoncée entre Moscou et Washington a augmenté la confusion de l’administration d’Obama qui est devenue plus convaincue que la partie russe est prête à aller jusqu’à la fin en ce qui concerne la cause syrienne, et a montré que seule une initiative russe pourra sauver la face de l’administration US et que la volonté de la Russie décidera de la paix ou de la guerre en Syrie ».

La même source a poursuivi : « Après qu’Israël a démenti sa connaissance au sujet du tir des missiles dans son premier communiqué, Washington a demandé de Tel Aviv de revendiquer les tirs des missiles pour la sauver de cette position, surtout que ce tir était le signal de lancement de l’offensive contre la Syrie. Il était prévu que le Président américain participe au sommet du G-20 pour mener des négociations sur le sort du président syrien Bachar el-Assad ».

« Après la confrontation balistique entre les Etats-Unis et la Russie, Moscou a augmenté ses experts militaires en Syrie, et a multiplié ses pièces militaires et ses navires pour renforcer sa présence militaire en Méditerranée, et a choisi d’annoncer son initiative sur la fin de l’offensive contre la Syrie après le sommet du G-20. Cette décision a été prise suite à des réunions avec la partie syrienne qui a donné son accord sur la proposition russe de placer les armes chimiques sous contrôle international et d’adhérer à la convention de la non-prolifération d’armes chimiques ».

« Les premiers résultats de la confrontation balistique américano-russe furent le vote de la chambre des communes britannique sur le refus de participer à la guerre en Syrie, une décision qui a été suivie par des positions eurpéennes, notamment la position de la chancelière allemande Angela Merkel », a encore révélé ladite source.

source : assafir

LA REPUBLIQUE DU CAMEMBERT...


Les élus du peuple américain, respectant l'avis de leurs compatriotes, font déjà clairement savoir, avant même leur consultation officielle, qu'ils ne veulent pas de cette guerre, et n'envisagent rien de moins que la procédure de destitution, si leur président passait outre leur avis...

Les élus du peuple français quant à eux, on ne leur a rien demandé, comme d'habitude, et de toutes les façons, ils ne feront que ce qu'on leur aura demandé, en se foutant pas mal de l'avis du peuple qu'ils sont pourtant censés représenter, et dont les sondages montrent qu'il est lui aussi opposé à cette guerre, comme d'habitude...

Voici ce qu'à la face du monde, est devenue la prétendue démocratie française, une "injure" dont il faut bien le reconnaitre, s'accommode la majorité des citoyens de ce pays...

Ce manque d'exigence de tout un peuple porte un nom, la "décadence", et il faudra de véritables "héros", pour inverser cette attraction néfaste du devenir d'une nation...

Paris, le 13 septembre 2013
Richard Pulvar

jeudi 12 septembre 2013

CE N'EST QU'UN REPIT, CES FOUS DE GUERRE ONT PERDU LA PREMIERE MANCHE, MAIS ILS NE VONT PAS EN RESTER LA, ET NOTRE DEVOIR SACRE EST DE LES SORTIR DE LA PLACE, SI NOUS DESIRONS VIVRE EN PAIX...


Hostiles à toutes les nations, qu'elles veulent dissoudre dans des instances internationales sur lesquelles les citoyens ne possèdent aucun moyen de contrôle, afin de la réalisation de leur projet totalement fou, mais pourtant réel même si bien sûr inavoué, de domination universelle, des puissances obscures et hostiles à la nôtre, étaient parvenues par une lente et patiente infiltration, à assurer la promotion de leurs "agents", simultanément à la tête des deux partis gouvernementaux censés mener, pour les gogos pour lesquels leur affiche suffit à la qualification des partis, des politiques différentes...

Ainsi étaient-elles assurées de l'emporter quel que serait le candidat élu, et c'est selon ce plan, et à la faveur de la mise en oeuvre d'une impressionnante machine politico-médiatique de propagande, destinée à priver de chance tous les candidats authentiques, que l'équipe actuelle s'est retrouvée au pouvoir...

Bien sûr, cela n'empêche pas ceux qui furent assez naïfs pour se croire obligés de voter pour ces gens, après qu'on leur eut présenté un épouvantail comme alternative, de continuer de faire comme s'il avait été inscrit dans le programme de ces malfaisants, traitres à notre nation, et totalement voués à servir les puissances obscures qui veulent nous assouvir, le projet de guerres incessantes, et comme si les objectifs proclamés, la lutte contre le chômage, contre les déficits sociaux et publics, contre la pauvreté, et contre la récession économique, avaient été poursuivis avec efficacité...

Leur veulerie est telle que face à leur conscience, ils sont soudainement rendus aveugles, et font comme si ils ne se rendaient compte de rien, alors même que nous venons de frôler un cataclysme planétaire, à la préparation duquel ces malfaisant étaient voués...

Car, ce dont nous devons prendre conscience, c'est qu'il ne s'agit pas là d'un accident de parcours, puisque c'est justement pour cela, pour mettre en oeuvre un plan d'agression systématique des nations les plus rebelles à l'instauration de leur domination, que les puissances obscures ont mandaté ces malfaisants, qui pérorent au sommet de la nation qu'ils trahissent...

Il est donc certain qu'après avoir encaissé le coup qu'il viennent de prendre, ils vont à nouveau s'employer à provoquer par tous les moyens, les incidents qui vont leur offrir une raison pour déclencher encore une fois une de leurs "guerres humanitaire"...

Il faut le comprendre, tant que nous ne nous seront pas débarrassés de ces malfaisants, nous n'aurons pas la paix, et nous subirons la régression, qui est l'arme qu'ils emploient contre les nations comme la nôtre, auxquelles ils ne peuvent évidemment pas faire la guerre, afin de les soumettre...

A chacun dès lors, de prendre ses responsabilités...

Paris, le 12 septembre 2013
Richard Pulvar

mercredi 11 septembre 2013

ILS SONT DÉFINITIVEMENT CONS, CES SIONARDS !



Cet humoriste a exprimé un jour dans un de ses sketchs, son antisionisme, et il aura suffit de cela pour qu’aussitôt, toute la mafia politico-médiatique s’emploie à le trainer dans la boue en le traitant d’antisémite, cet argument désormais passe partout pour délégitimer toute critique, et qui se trouve si constamment employé qu’il aboutit au résultat totalement stupide, compte tenu de ce qu’est la volonté accusatrice et discriminatoire de ceux qui l’emploient, de rendre totalement banal ce caractère attribué en veux-tu en voila, à tout le monde...

Da la même façon, cette lâche facilité qui consiste pour ces gens, à identifier tous ceux qui les critiquent à Hitler, et même à prétendre certains comme étant pire encore que celui-ci, incapables qu’ils sont alors de se défendre des critiques qui leurs sont adressées par une argumentation construite et convaincante, et qui n’ont plus que l’anathème pour se mettre à l’abri, a enlevé tout caractère exceptionnel à ce que fut le nazisme et son instigateur, pour en faire un cas répandu, avec une liste s’allongeant sans cesse de nouveaux Hitler, tout autour de la planète, et dont finalement notre humanité s’accommode...

Plus con que cela, on ne peut pas faire...!

Toujours en célébration de leurs connerie triomphante, ces gens se sont employés par toutes espèces de manœuvres, plus indignes les unes que les autres, à empêcher l’humoriste de se produire partout en France et même à l’étranger. Mais, c’était bien mal compter sans l’esprit frondeur des Français qui ne sont pas près d’accepter d’être traités comme des enfants, surtout par des gens qui font preuve d’une telle sottise et d’une telle malhonnêteté, et qui par leurs comportements abjectes, ont largement donné du grain à moudre à l’humoriste qui ne manqua pas ensuite d’en faire du pain béni...

Résultat, cet homme est actuellement, toutes catégories confondues, l’artiste qui fait le plus d’entrées en France, avec ceci que, par delà son grand talent qui est indéniable, et le fait que du fond de leur sottise, ses ennemis qui manquent de comprendre à quel point ils sont déconsidérés dans l’opinion, ne font que concourir constamment à son succès, celui-ci ne peut manquer de traduire un ressentiment grandissant qui, s’il se poursuivait, c’est à dire que si ces imbéciles continuaient de donner raison à l’humoriste en le combattant par des coups bas, deviendrait pour le coup véritablement inquiétant...

Cependant, selon l’adage qui veut que “tant qu’à être con, il faut que ce soit cohérent”, voici que les sinistres sionards qui ont fait de cet humoriste leur “bête noire”, ont selon leur vocation à porter des coups bas, encore loupé une marche...

En effet, l’humoriste a lancé la mode d’un geste d’identification, qui tient tout à la fois du bras d’honneur et du fist, et dont la signification est sans équivoque, et qu’il a appelé “glisser une quenelle”. L’ont donc repris tous ceux qui pensent comme lui qu’il faut tout faire pour mettre à bas le système, à chaque fois qu’un des tenants de celui-ci se trouve placé face à ses contradictions et ses incohérences, et par le fait ridiculisé en se la faisant “glisser”, ce signe constituant finalement un défi à l’ordre établi.

Voila que ces savates de sionards dans leur rage sourde et aveugle contre l’humoriste, ont proclamé qu’il s’agissait en ce geste, d’un “salut nazi inversé”, selon la bonne vieille technique habituelle qui consiste à dire que tout ce qui s’oppose à eux et à leurs saloperies, est du nazisme.

Mais ils n’ont pas manqué là encore de se rendre ridicules, car il faudrait que quelqu’un fasse comprendre à ces analphabètes que dans la mesure où nous signifions par des signes, deux “signes inverses”, ne peuvent justement pas avoir la même “signification”...!

Si donc selon eux, la “quenelle” est un salut nazi “inversé”, c’est qu’en toute rigueur il s’agit alors d’un salut “anti-nazi”, étant bien entendu que le signe inverse d’une chose ne saurait être le signe de cette chose, et auquel cas ils se devraient tout au contraire de chanter les louanges de l’humoriste...

En fait, il faut avoir vraiment l’esprit tordu et mal intentionné, pour parvenir à reconnaitre dans la quenelle un salut nazi serait-il inversé, et c’est surtout ne jamais avoir rien compris à l’origine et à la signification fondamentale du salut dit en la circonstance nazi, mais qui, depuis l’antiquité où il était employé par les athlètes lors des épreuves, jusqu’au dix neuvième siècle où il était employé pour les serments, comme l’a si bien illustré le peintre David dans son “serment des Horaces”, était connu comme étant le “salut romain”.

Il fut dit un moment au début du vingtième siècle, salut du “bataillon de Joinville”, ce régiment qui accueillait et formait des sportifs de haut niveau, puis “salut olympique”, en référence à ses origines antiques. Il fut utilisé à ce titre par la délégation française aux jeux de Berlin de 1936, à la grande joie des spectateurs qui ont cru voir en cela, une reconnaissance de leur régime, puisque personne n’a pu empêcher les nazis de faire de ce geste séculaire, la manifestation de leur ambition. Or, telle est fondamentalement la signification de ce geste.

Si vous voulez mieux comprendre cela, je vous renvoie à un texte publié ici même et qui s’intitule “ Fascisme et fascination”. Bien sûr, c’est long et chiant comme d’habitude, mais vous pouvez zapper le début, l’explication est vers la fin...


Paris, le 11 septembre 2013
Richard Pulvar