vendredi 18 mai 2018

CRIME CONTRE L’HUMANITE… PAR-DELA SA DEFINITION JURIDIQUE, IL S’AGIT D’UNE DESTRUCTION DE L’HUMAIN POUR QU’IL NE RESTAT EN LE BIPEDE, QUE LA BETE PREDATRICE REGNANT SELON LA LOI DE LA JUNGLE…



Il appartiendra aux historiens lorsqu’ils se pencheront sur notre époque, d’expliquer comment après cinquante-cinq siècles de civilisation, et sous la conduite de trois nations criminelles dont la pire d’entre elles, née d’un bellicisme qui aura fait quelle n’aura pas connu un seul jour de paix depuis sa fondation, vient de fêter son 70ème anniversaire et comme il fallait s’y attendre, dans un bain de sang, notre humanité désemparée a-t-elle pu se retrouver engagée dans cette voie d’un “ensauvagement total” qui est actuellement la sienne, et dont ces puissances malfaisantes qui en tirent faveur, en font la promotion…

Ainsi, après plus de cinq millénaires d’un long parcours certes accidenté, et qui ne fut pas sans connaitre de tristes périodes de régression, mais dans lesquelles persistait malgré tout le sentiment que l’humain devait échapper à la sauvagerie, comment après tout ce parcours odysséen durant lequel une “humanité” s’est patiemment constituée chez le bipède en s’en venant contrer son “animalité” d’origine, a-t-il pu se produire ce volte-face contre le sens entendu du progrès, celui du mieux vivre pour tous sur cette Terre…

D’où vient ce pied de nez méprisant fait à l’œuvre d’une multitude de penseurs et d’humanistes de toutes les époques et sous toutes les latitudes, qui se sont acharnés à dire que la voie préférable pour leurs semblables, était celle qui devait assurer la paix, la justice, la solidarité, et la fraternité…?

Qu’est-ce qui permet, sinon une énigmatique démission des peuples de nos sociétés qu’il faut déjà comprendre comme étant malades, même à défaut de savoir pourquoi, le fait que certains s’en viennent injurier et qui plus est, en leur nom même, les plus brillantes dispositions du “fait de civilisation” dont la positivité est pourtant parfaitement attestée. Ces dispositions se sont ainsi trouvées établies sur la proclamation de la priorité d’un intérêt de la collectivité sur les intérêts égoïstes de ses individus, du fait que la loi devait être équitable et la même pour tous, et qu’elle devait protéger les plus faibles de la prétention des puissants sur eux, parce que tous les hommes naissaient libres et égaux en droit…?

Tournant le dos à tout ce qui aura fait précisément de nous des “humains”, voici que selon un retour vers les profondeurs archaïques de notre histoire lointaine, c’est désormais par la proclamation totalement anachronique de la supériorité de la bête prédatrice qui se trouve célébrée comme étant le “winner”, mais qui n’est en fait que l’animalité d’origine du bipède, sur l’homme “civilisé” et par le fait “socialisé” par des siècles d’humanisation, que certains esprits dérangés s’emploient à dégager l’espace mondial de toute règle, de toute loi, de toute morale, et de toute humanité. Ceci, pour qu’il ne devienne qu’un vaste champ livré à la férocité des “prédateurs”, ceux qui ne vivent que de leur “proie” (preda).

C’est ainsi que les trois nations prédatrices, parvenues au fait de leur malfaisance par l’usage sans retenue de la brutalité guerrière que leur permet la puissance de leurs armes, font-elles comprendre au reste du monde avec une obscénité et un cynisme d’une enflure maladive, qu’elles n’entendent en rien se plier aux règlements, aux lois, aux concertations et aux résolutions, produites par les institutions internationales qui tentent si difficilement de faire triompher l’homme de la bête, pour que puisse régner la paix sur Terre...

Considérant avec mépris cette “piétaille” que constituent pour elles les nations qui ont eu la sagesse de ne pas se munir de l’arme la plus destructrice, leur droit s’énonce simplement comme étant celui de la nation capable de bombarder et de dévaster des nations entières, de massacrer sans retenue leurs populations, de provoquer la terreur et un océan de malheur contre des peuples innocents, dès lors qu’il s’agit de satisfaire par ce moyen, leurs intérêts, et pire encore, pour simplement satisfaire leur soif de domination…

Les Français qui depuis des décennies, n’ont toujours pas trouvé le courage d’affronter ceux qu’une manipulation politico-médiatique et financière, ourdie par les services des deux autres puissances malfaisantes, ont fait parvenir à la tête de leur nation, et qui n’ont de cesse de trahir celle-ci pour satisfaire leurs maîtres, ont encore moins le courage de constater que sous la direction de ces malfaisants, leur nation dont le passé esclavagiste et colonialiste ne nécessitait que de se faire oublier, est devenue de plus maintenant, une nation criminelle…

Il s’agit de celle qui s’en va massacrer en service commandé par les deux autres, des peuples à des milliers de kilomètres de chez eux, dont ils ignoraient jusqu’alors l’existence, et qui ne leur ont à ce jour strictement rien fait. Ceci, en alourdissant chaque jour davantage ce qui constituera tôt ou tard, comme nous le montre l’histoire, l’acte d’accusation des nations du monde horrifiées, contre les fauteurs de guerre et de misère…

Leur indolence et leur indifférence aux crimes commis en leur nom, tient au fait que se croyant les alliés des forces occultes qui opèrent, ils ne voient pas venir que c’est cette même détermination à écraser les autres peuples et dont ils se font les instruments, qui tôt ou tard les écrasera eux-mêmes. Mais ceux qui ont compris la situation dans laquelle nous nous trouvons, savent que face à la volonté délirante de domination universelle qui hante certaines sectes mystico-religieuses, lesquelles ne sont pas comme telles en état d’entendre quelque raison que ce soit, les opprimés de tous bords auxquels ces mabouls promettent un esclavage sur Terre à leur service, ne feront pas l’économie s’ils se veulent encore libre, d’un affrontement avec ces forces sataniques, et que les victimes de celui-ci seront ceux qui ne s’y seront pas préparés...

Richard Pulvar

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