Avec la victoire de Serge Larcher sur Claude Lise aux sénatoriales clôt l'épisode du référendum de janvier 2010, les deux leaders martiniquais favorables à l'autonomie ou à la spécialité législative (C. Lise et A. Marie-Jeanne) sont pratiquement hors jeu, les deux hommes ont perdu l’un la présidence du conseil région, l’autre la présidence du conseil général et son poste de sénateur sortant.
Il faut croire qu’ils payent leur positionnement politique en faveur de l’autonomie de la Martinique au sein de la république française, une volonté autonomiste qui semble effrayer le Martiniquais, qui s’avère être viscéralement français et profondément assimilationniste.
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