Nicolas a annoncé sa candidature à l'élection présidentielle de 2012, rien de nouveau sous le soleil tout le monde l'attendait, pas comme une espérance, car l'homme est loin d'être l'homme providentiel ou un messie, il est plutôt vu comme un petit diable, un diviseur, un faiseur de haine, un être qui ne valorise et ne bonifie que les bas instincts que nous avons tous en nous, c'est loin d'être un de Gaulle, il est l'homme de son siècle, égocentrique, égoïste, méchant, partisan, partial, manipulateur, machiavélique, affairiste...
Il est le prototype du Prince...
Entre nous, je crois que la France aurait gagné s'il s'était abstenu.
Entre nous, je crois que la France aurait gagné s'il s'était abstenu.
Evariste Zephyrin
"En France, puissance moyenne dont on ne voit pas que l'avenir puisse être glorieux - sauf si elle invente la politique qui soustraira le pays à son insignifiance et en fera une référence émancipatrice planétaire -, l'affect négatif est particulièrement violent et misérable. Il se traduit par la peur des étrangers, des ouvriers, du peuple, des jeunes des banlieues, des musulmans, des noirs venus d'Afrique. Cette peur, conservatrice et crépusculaire, crée le désir d'avoir un maître qui vous protège, fût-ce en vous opprimant et paupérisant plus encore.
Nous connaissons les traits de ce maître aujourd'hui : Sarko, un flic agité qui fait feu de tout bois, et pour qui coups médiatiques, financiers amicaux et magouilles de coulisse sont tout le secret de la politique." Alain Badiou, "De quoi Sarkozy est-il le nom?"
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