Et pourtant, leurs causes étaient d'une difficulté à résoudre bien plus grande que cette affaire de transition démocratique de Syrie. Mais il est vrai qu'ils ont eux, des années durant, à ce point donné de leur personne afin du meilleur des leurs, et suffisamment constaté la douleur des peuples, pour savoir que le plus grand bien qui pouvait leur être fait, c'était tout d'abord de surtout les préserver dans la paix...
Il ne se seraient donc certainement pas permis, de s'en venir en cet endroit même où, dans un instant de sagesse, les hommes ont fait pacte d'utiliser avec détermination et la meilleure bonne volonté du monde, tout ce qu'il était possible de tirer de leur génie, pour parvenir à un règlement pacifique de leurs différents, pour s'afficher avec une si totale obscénité, en apôtre de la guerre, comme vient de le faire, celui qui nous fait honte d'être à la tête de notre nation...
Il y a les grands, et bien sûr, il y a les autres, mais rien ne nous condamne à subir ces derniers...
Paris, le 26 septembre 2012
Richard Pulvar
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