CHAOS A L'UMP - La trêve n'aura duré que 48 petites heures.
Après l'échec de la médiation d'Alain Juppé pour trouver une voie de conciliation entre les deux candidats à la présidence de l'UMP, dimanche 25 novembre, les menaces de scission d'une partie des soutiens de François Fillon réapparaissent.
Le député de Haute-Savoie, Lionel Tardy, a estimé dimanche soir que "toutes les conditions [étaient] réunies pour qu'il y ait une scission au sein du groupe UMP à l'Assemblée". "Je souhaite qu'au minimum il y ait un groupe différent de celui de Jean-François Copé à l'Assemblée nationale puisqu'il y a un désaccord complet", a-t-il dit à la presse.
Comment, à quelle échéance, et dans quelles proportions une telle scission pourrait-elle intervenir ? Plusieurs scénarios sont envisageables. Rappelons qu'à cette heure, François Fillon n'a pas précisé ses intentions, préférant mener des consultations avant de s'entretenir avec les parlementaires, peut-être dès lundi. Dans tous les cas, il s'agirait d'un pari politiquement très risqué.
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