Marianne annonce la mort d'Yves Debay, journaliste et reporter de guerre tué ce jeudi à Alep par un tireur embusqué.
Jean-Dominique Mercier lui un rend un éloge presque dithyrambique, rappelant que le "géant blond" est né en 1954 dans l'ancien Congo Belge, servira dans l'armée belge avant d'aller rejoindre l'armée "rhodésienne - l'armée du régime blanc qui combat la guerilla africaine d'inspiration marxiste." Un homme proche des idées de l'extrême droite, un homme aimant "par dessus tout la guerre, les soldats, l'odeur du canon", puis il se reconvertira en journaliste de guerre couvrant tous les conflits mondiaux.
Allain Jules voit en cet homme un imposteur, un raciste, un défenseur de la race blanche, une barbouze, un soutien aux terroristes syriens, bref Yves Debay n'aurait pas volé la balle qui l'a tué.
Allain Jules voit en cet homme un imposteur, un raciste, un défenseur de la race blanche, une barbouze, un soutien aux terroristes syriens, bref Yves Debay n'aurait pas volé la balle qui l'a tué.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.