FATOU BENSOUDA LA PROCUREURE DE LA CPI OU LA CARICATURE DU NÈGRE SERVILE ET VEULE !

Je me l'étais toujours dit : il n'y a pas plus dangereux au monde qu'un nègre travaillant pour les soi-disant Organisations Internationales. C'est là où on trouve un ramassis d'Africains pourris jusqu'à la moelle, corruptibles à souhait, prêts à toutes les bassesses pour leurs per-dièmes, leurs avantages en nature, leurs enfants scolarisés aux frais des Illumanatis dans les écoles Américaines et françaises du monde, leurs dix mille dollars de salaire, leurs trucs, leurs machins... C'est dans cette catégorie qu'on trouve les plus vendus des Africains, ceux prêts à tout brader pour leur médiocre bien-être au détriment de leur continent. Oui, l'Africain le plus dangereux au monde n'est pas contrairement à ce que l'on croit, le président, le dictateur, l'intellectuel ou l'homme d'affaires... Que nenni ! C'est bien celui là qu'on appelle fonctionnaire International, dont le gosier est étranglé d'une cravate aux couleurs sales, dont la couleur de la peau elle-même s'est grisifiée.. C'est bien celui-là qui aide au pillage de l'Afrique, à la mise à mort de ses enfants, complotant avec l'esclavagiste, l'impérialiste, le néo-colonisateur. Il suffit de voir la Fatou Bensouda, la procureure de la CPI pour s'en convaincre ! Ses chairs comme sa félonie déborde des larges boubous dont elle s'enveloppe sans réussir à en cacher la laideur, cette excroissance toute en forfaiture. Là voilà sans honte qui clame à la face de l'humanité, qu'elle ne saurait poursuivre pour crime de guerre ceux qui ont tué les enfants de Gaza au vu et au su du monde entier. Là voilà évoquant son incompétence alors qu'en Afrique, dans des endroits où cette saloperie de cour n'avait aucune compétence, elle y poursuit les Ivoiriens, les Libyens, les Soudanais sans preuve, tout simplement sous des ouïes dires ! Que ceci soit clair : Si la Bensouda ne poursuit pas les criminels de guerre qui ont sévi à Gaza ces derniers jours, c'est parce qu'elle a reçu l'ordre de ses maîtres de fermer ses yeux déshumanisés et sa bouche si gourmande ! Pauvre Afrique ! 

 CALIXTHE BEYALA