lundi 30 mars 2020

CORONAVIRUS... QU'EST-CE QU'ON ESSAIE DE NOUS FAIRE AVALER...?



On veut nous faire croire qu'un pays qui produit l'Airbus, la fusée Ariane, le TGV, et des sous-marins nucléaires, et combien même se serait-il trouvé un instant dépourvu à cause de l'impéritie de gouvernements précédents, ne se trouve pas, au bout de deux mois et demie, en mesure de fabriquer des masques en papier...?

Qui aura le culot de dire qu'il n'était pas possible de mandater des professionnels du papier qui fabriquent des quantités de produits similaires, pour qu'ils puissent modifier au prix de quelques outils spécifiques, leurs lignes, afin de produire dans l'urgence des masques, et que la pénurie depuis deux longs mois et demie, ne s'expliquerait que par cette difficulté, comme s'il s'agissant d'un problème insurmontable au delà de la capacité des ingénieurs et industriels français...?

Il est clair dans cette affaire que notre difficulté du moment découle tout simplement de l'inadéquation de décisions prises au plus haut niveau de l'état, et il faudra forcément un jour, que ces gens s'expliquent pour savoir quelles sont les raisons qui ont fait qu'ils ont manqué de mettre autant que possible, la population de ce pays dans les meilleures conditions pour pouvoir faire face efficacement à l'épidémie...?

Richard Pulvar

CHRONIQUE AUX TEMPS DU CORONAVIRUS JOUR 13. Texte 2, 30 mars 2020.


 Chères amies, , chers amis, comme annoncé,, voici le deuxième texte de notre chronique, en lien avec l'Inde, ses mouvements de masse actuelles liées au confinement et la mémoire de l'engagisme ou du coolie trade, que j'ai rappelé brièvement ce matin, dans une réflexion liée au travail au temps du coronavirus.

Un article intitulé « What India Has Now Is A Clone Emergency: Just Ask The Police » (1), écrit le 28/3/ par Sunil Menon, me donne à réfléchir en rapport avec ma propre histoire et celle des engagés ou coolies.
Ce sera le troisième texte de ma chronique d’aujourd’hui.
Sunil Menon part d’un constat : l’état de droit, tout comme les Indiens, semble avoir été mis en confinement en Inde. L’espace public s’est vidé, la contestation contre la contestable réforme de la citoyenneté est rentrée à la maison en temps de pandémie.
Rappelons que cela vaut pour les mouvements citoyens et grognes en France, en Espagne ou ailleurs. Sauf dans le sud de l’Italie, souvent vivant d’économie informelle (une similitude avec l’Inde), où on fait entendre des voix dissonantes face aux pénuries que le confinement engendre. Il ya eu des actes de violence et de pillage, ceux qui vivent du petit boulot, souvent au noir, n’ayant plus d’argent pour se nourrir. Ici, je pressens que la fracture Nord-Sud de la péninsule italienne laisse entrevoir ses failles sociales et biopolitiques, une donnée à prendre en compte dans l’après-pandémie. La même configuration s’installe au Brésil, où l’état dominé par les évangélistes, les ultra nationalistes et populistes, fait peu de cas aux défavorisés des favelas, où des dealers assurent la sécurité des habitants face au coronavirus, face aux carences de l’état. Bolsonaro, lui, préfère faire tourner la machine économique, même s’il y a des morts, pratiquant une forme de darwinisme social et d’eugénisme. Chaque soir, aux balcons, les brésiliens, non pas pour encourager les équipes soignantes invisibles, tapent sur leurs casseroles, pour dire qu’ils ne sont pas d’accord avec Bolsonaro. Cela laisse présager des jours troubles au pays du Trump tropical. Le confinement est donc révélateur de beaucoup de tensions, divisions, méfiances et comportements puisant de l’inconscient collectif des peuples et de leur Histoire.
L’Inde, après la crise des lois de citoyenneté, qui a montré que la démocratie indienne était engoncée dans le populisme et l’hindouisation à tout-va, générant des violents actes des supporters du pouvoir BJP, fait face ici à un autre choc de nature biopolitique, cette fois. Après le populisme des rues, elle est confrontée aux temps d’une démocratie des espaces publics vacants. Les bastonnades de la police révèlent cette maladie autoritaire. Aussi, l’analyse de Menon m’interpelle sur quelques points.
Le premier, c’est la peur du policier en Inde. Il explique que les coups de bâton sont légion en raison du confinement à mettre en oeuvre « sans tarder ». Le citoyen lambda, recevant ces coups de lathi ou de matraque, n’a d’autre réaction que d’avaler son cri de douleur, la rage au cœur. D’autres, dans un réflexe pavlovien, on le voit sur les téléviseurs du monde, approuvent ces coups de matraque, sensés sauver des vies, car des « gens sont
irresponsables »…
Une habitude devenue méthode de gouvernance ?
La police, on l’a vu à l’œuvre lors des manifestations contre les lois de citoyenneté exclusives du BJP, parti ultra nationaliste au pouvoir, critiquées par l’ONU pour son aspect discriminant à l’encontre des minorités. On l’a accusée d’être « partisane », aux bottes du pouvoir Hindutva. Les vidéos ont relayé par milliers les coups de matraque sur les minorités, prenant fait et cause pour des « goons » ou nervis proches du pouvoir. Des Indiens, soucieux de préserver leurs diversités, ont protesté contre ces lois divisives et les brutalités policières. Lors de ce que certains qualifient de « pogrom de Delhi », il y a un mois, la police a été montrée du doigt pour des violences contre des manifestants et inefficacité dans la « gestion » de la crise. Des coups pleuvaient sur les gens opposés, pacifiquement, au projet ultra nationaliste du pouvoir. L’Inde et sa police malade de l’autoritarisme… Lors de l’exode, prélude au confinement, l’Inde retrouve donc ses vieux démons et les blessures de son Histoire violente.
Menon a bien raison de souligner que si le coronavirus renvoie certains à pied chez eux pour se confiner dans leurs habitats lointains, souvent à la campagne, ces pauvres hères y vont à pied, en courbant l’échine. En route, ils ne sont pas à l’abri d’un certain sadisme policier. Cette image de foules rentrant précipitamment chez elles, à pied, en interminables files désordonnées, révèle une constante de la psyché indienne, celle du déplacement (de masse) forcé. Et aussi, actuellement, celle de la soumission à l’autorité punitive.
Sunil Menon rappelle que durant la colonisation, la police était un instrument au service du pouvoir et de l’assujettissement des Indiens. Cette mentalité, selon lui, expliquerait pourquoi les policiers battent les gens à tout va, encore imprégnés de cette mentalité répressive bordant sur le sadisme. Les gens, habitués à subir la force du dominant, semblent prendre cela comme un fait intangible de leur quotidien, comme un aspect régulateur de la démocratie la plus peuplée du monde. La police, en somme, c’est le représentant du pouvoir en place, dans une Inde développée, mais pas tout à fait...
Menon nous rappelle que celle-ci a conservé sa mentalité coloniale et se sent investie du pouvoir de réprimer le peuple à tout-va.
Cette relation que l’auteur décrit comme « sadique » me rappelle des faits semblables presque au même moment à l’île Maurice. En effet, là aussi, la police s’est livrée à des actes répréhensibles sur la population, pour faire respecter le confinement. Les citoyens ont protesté, les responsables ont promis une enquête. Menon m’aide à dire que là-bas aussi, nous avons, à des échelles différentes, ce même rapport de sadisme entre la police et le citoyen. Nous avons une histoire commune d’exode de populations par le coolie trade, Maurice étant le centre névralgique du despatching des coolies dans l’océan Indien et en Atlantique, elle a accueilli des centaines de milliers de colies. Dans l’île britannique, la police a été un instrument au service des planteurs et du pouvoir pour confiner le coolie dans la plantation comme dans les dépôts des errants ou vagabonds (Vagrants depot), se livrant à des actes de brutalité que la mémoire coolie a intégrés.
Sans surprise, donc, ces déplacements difficiles avant confinement nous ramènent au coolie trade. Sunil Menon fait état de la photo d’une vieille dame de 90 ans, rentrant chez elle à pied, marchant sur 400 kms. Indubitablement, cela fait remonter aux temps d’exode du 19ème siècle. Jadis, c’était l’inverse, le laboureur allait de la campagne vers les villes, avant de camper au bord d’un port, dans un coolie dépôt. Peggy Mohan, auteure de Trinidad, pays de Naipaul, descendant de coolies ou engagés indiens, fait état d’un pathos historique lié au coolie trade. En effet, elle rappelle que des gens marchaient sur des centaines de kilomètres, avant d’embarquer sur des coolie ships. Ensuite, ils voguaient, contrat en poche, vers l’eldorado, à travers le kala pani ou eaux sombres. Cela m’évoque le même souvenir. Le coolie marchait vers la mer. Ici, c’est le laboureur devenu citadin qui retourne dans son village, renversant le flux.
L’auteur Sanyasini Atmaprajnananda évoque aussi, l’épisode de la Partition de l’Inde, tellement les mouvements de population se déplaçant à pied pour le confinement est massif. Inutile d’ajouter que ces migrations ne laissent rien présager de bon. Le cas italien fait état de la propagation du virus au sud et dans d’autres régions de la péninsule, suite aux flux migratoires des italiens du nord. En France, un million de Franciliens ont probablement aidé à la propagation de celui-ci, en plus de saturer les structures de soins de la province. L’on saura, pour l’Inde, les conséquences épidémiologiques de ce transfert massif des populations des villes vers les campagnes. Je présage une situation intenable, sauf miracle. Réfléchissant à ces scènes migratoires, Menon parle de la « bestialisation » des masses. Cela me rappelle que, d’un point de vue de l’engagisme, l’autre nom du coolie trade, le coolie était une bête de somme, un serf de la glèbe, une paire de bras. Le sort de ses ancêtres serait-il différent après le coolie trade, dans la Grande Péninsule qui se targue d’avancer vers le Progrès ? Dans l’ère où une partie des masses indiennes subit une pauvreté accrue et une marginalisation aggravée par une politique mettant des castes basses à l’index, on pourrait en douter. Je pense que, fondamentalement, nous assistons aux mêmes mouvements des masses pauvres d’un point à l’autre de l’Inde, jadis vers la mer, dans le but d’échapper à leur sort de marginaux sociaux et économiques. En route, ces bêtes de somme sont victimes d’un abêtissement des représentants de l’ordre, ce qui laisser présager des jours compliqués pour l’Inde, dont l’autoritarisme du pouvoir est une réalité amère et mortifère.
Rappelons que l’Inde, à son tour, a construit des centres de détention, certains les appellent des camps de concentration, pour des personnes ne pouvant prouver leur citoyenneté ou n’ayant pas leurs précieux documents de citoyens indiens. Une Inde qui instaure dans sa loi des citoyens de seconde zone. L’Inde, en somme, est en train de continuer une mentalité coloniale non seulement dans les agissements de sa police mais aussi dans son traitement des populations minoritaires. Ces camps sont, pour moi, des répliques des dépôts de vagabonds, ces « vagrants’ depots » où l’on enfermait ceux et celles qui n’avaient pas des « pass » (maintenant, la carte d’identité indienne), au nom d’une politique d’exploitation et de contrôle des mouvements des coolies. Actuellement, ils indiquent un troublant espace de confinement de l’identité indienne, déclinée sur la base de la religion et des castes.

L’Inde et l’île Maurice… Deux pays du coolie trade, à travers les mouvements des masses liées au confinement, et à des degrés divers, semblent remettre l’exode des engagés au goût du jour. Leurs histoires de colonisation et de coolie trade, qui expliquent en partie la violence policière, est un fait partagé, avec leurs propres déclinaisons. L’île Maurice et l’Inde, pendant le confinement, devraient travailler à décoloniser leurs polices, en faisant d’elles des « services » de l’ordre et non des « forces de l’ordre », comme le propose Sunil Menon avec beaucoup d’à-propos…

© KT, 29/03/2020

dimanche 29 mars 2020

Les sociopathes qui nous gouvernent


Vous vous focalisez sur le confinement, qui est juste une stratégie comme une autre, les Coréens et les Allemands ne confinent pas, testent et soignent et ont de meilleurs résultats que les pays qui confinent.


Le professeur Raoult le dit explicitement il faut tester, et soigner, et confiner les malades.

Ils vont vous dire que la Chine a confiné et que ça a fonctionné, mais ils oublient de dire que la Chine a testé, séparé les individus en fonction qu'ils soient sains sans gène du corona dans le corps, porteurs sains du coronavirus et les malades, puis les a soignés.

La France ne fait rien de tout cela, ne teste pas, ce n'est qu'article de la mort que le SAMU vous prend en charge et ce n'est pas général, car beaucoup meurent chez eux ou arrivent trop tard à l'hôpital.

Alors, le gouvernement français est soit composé d'incompétents ou de sombres abrutis ou de personnes qui déroulent un plan pré-établi qui consisterait à se débarrasser des plus vieux, des personnes fragiles ou malades, voire autre chose, car il interdit le seul médicament susceptible de sauver sa population, puis l'autorise avant d'en limiter la portée, en autorisant qu'il ne soit administré que pour les cas grave, alors que l'on sait que ce médicament est efficace au début de l'infection, et pas après.

https://blogs.mediapart.fr/…/080510/alain-minc-veut-tuer-le…

https://ripostelaique.com/pour-attali-lennemi-cest-le-vieux…

Donc, ces gens qui gouvernent ce pays sont directement responsables de tous ces morts et de la situation actuelle, et il va falloir à un moment qu'ils soient jugés, qu'ils soient mis face à leurs responsabilités.

Quant aux partisans de "rester chez soi sauve des vies !", je voudrais leur dire que la limite du confinement est qu'à un moment il s'arrête, et que nous allons devoir sortir de nos maisons, reprendre nos vies sociales et nous confronter à des porteurs sains ou non.

Quant à cette décision de justice, elle sera certainement cassée, vu que le conseil d'état, vient de prendre un arrêt contraire à celui du T.A de la Guadeloupe.

https://francais.rt.com/…/73313-covid-19-conseil-etat-rejet…

https://www.rci.fm/…/Coronavirus-lUGTG-obtient-gain-de-caus…

Victoire totale pour l'UGTG qui avait déposé une requête et un mémoire mercredi 25 mars et hier vendredi 27 mars, devant le juge des référés du Tribunal Administratif de Guadeloupe. Celui ci a statué et vient de lui donner entièrement raison. Le Syndicat de l'Union Générale des Travailleu...

Evariste Zephyrin

jeudi 26 mars 2020

Coronavirus : Rappelons nous la vigilance autant que possible


 Mon mari et moi sommes habitués au confinement car nous avons des loisirs de solitaires. Lire, écrire, les échecs, le silence… Nous nous sommes toujours laver les main, etc.

J´ai toujours dit que l´Union Européenne n´est pas solide, ceci dû aux différences linguistiques et culturelles. Les Suédois ont leur propre théorie sur leur stratégie, qui ne semble pas être celle des autres, afin d´éliminer le virus. Selon ce que j´ai compris, ce serait de laisser les jeunes se contaminer et protéger les vieux dont je fais parti depuis aujourd´hui.

En attendant, nous avons de la chance d´avoir un bel intérieur, des voisins pleins d´égards et je profite pour regarder sur Youtube tout ce qui se passe en France car je nageais dans l´ignorance des nouvelles célébrités, cancans et consort. J´étais encore à Coluche et Simone Signoret. Hahahaha ! A propos de l´Europe, élevée à la Guadeloupe, puis en Métropole en passant par l´Afrique, la Belgique, pour arriver en Suède… Il n´est pas facile d´unir cette cacophonie européenne. Et je peux vous assurer que la Suède n´est pas la Guadeloupe et encore moins la France.

Let us remember vigilance as much as possible. My husband and I are used to confinement because we have solo leisure. Read, write, chess, silence ... We always wash our hands, etc.

I always said that the European Union is not solid, this due to linguistic and cultural differences. The Swedes have their own theory on their strategy in order to eliminate the virus which does not seem to be that of others. From what I understood, it would be to let the young people contaminate themselves and protect the old people.

In the meantime, we are lucky to have a beautiful interior, respectful neighbors and I take the opportunity to watch on Youtube everything that is happening in France because I swam in ignorance of new french celebrities, gossip and the like. I was still at Coluche and Simone Signoret. Hahahaha! About Europe, raised in Guadeloupe, then in Metropol via Africa, Belgium, to arrive in Sweden… it´s not easy to unite all this European cacophony. And I can assure you that, Sweden is not Guadeloupe and even less France.

Maxette Olsson
26/03/20

lundi 23 mars 2020

CORONAVIRUS... QUI SERA SURPRIS DU CONSTAT D’UN RAPPORT EXISTANT ENTRE UNE MALADIE RESPIRATOIRE ET LA POLLUTION ATMOSPHERIQUE... ?



Selon une autre piste insuffisamment considérée, dans la recherche d’une explication quant à la fulgurance de la propagation de l’épidémie, il semble que les particules fines, les PM 10, autrement dit, des particules d’une dimension inférieure à 10 microns, sous forme solide ou liquide, soient des porteuses du coronavirus, comme elles le sont d’autres virus, selon des observations faites depuis longtemps...

Ceci expliquerait l’inefficacité manifeste, voire la dérision, de dispositions prises pour lutter contre la propagation, telles que se laver les mains ou se tenir à un mètre de distance les uns des autres, puisque le virus se trouverait dans l’air même que nous respirons, du fait de la charge de celui-ci en particules fines, lesquelles sont produites par l’activité industrielle et par différents moyens de transport et particulièrement, par les poids lourds et les automobiles...

Un premier coup d’œil sur l’illustration montre en haut, les principaux foyers de l’épidémie en France et en Italie, et en bas, les cartes de la pollution de ces pays en PM 10, et il est manifeste qu’elles se superposent. C’est également le cas en Chine, la région de Wuhan d’où est partie l’épidémie, ayant subi durant deux mois une très forte pollution, et la baisse d’activité due au confinement, y est certainement pour beaucoup dans l’amélioration de la situation...


Jusqu’alors on pensait que seuls les aérosols émis par la toux, contenaient du matériel infectieux. Mais selon une expérience réalisée en 2018 aux Etats-Unis, qui consistait à faire des personnes atteintes de la grippe saisonnière, respirer durant 30 minutes dans un cône relié à un réservoir, les chercheurs ont constaté que l’air expiré contenait de nombreuses particules virales infectieuses.

De plus, en ayant fait des prélèvements de sécrétions nasales, ils ont constaté que les patients qui présentaient de fortes concentration du virus dans le nez, n’était pas forcément les plus contagieux, que ce soit par leur toux ou leur respiration, car ce sont les particules qui proviennent des portions étroites du système respiratoire, près des alvéoles pulmonaires, qui se montrent les plus infectieuses...

Ainsi, pas besoin de tousser ou d’éternuer pour transmettre le virus, une simple expiration d’air suffit, et ces aérosols infectieux restent en suspension dans l’air pendant une longue période, même quand les personnes qui les émettent ne toussent pas...

Il faut noter à ce sujet que les particules fines, dont on aperçoit qu’elles seraient un des principaux facteurs de la transmission du coronavirus, sont déjà responsables en France d’environ 5000 décès par an, dont près d’un millier par un cancer des poumons, sur un total de 48 000, pour toutes les formes de pollution atmosphérique...

Que par-delà la tourmente, cette épidémie soit l’occasion d’une discussion approfondie quant à cette question de la pollution due aux activités humaines, qui risque de dévaster nos sociétés par des problèmes sans fin et sans solution...

Richard Pulvar

dimanche 22 mars 2020

Confinement à cause du coronavirus


On a toujours tendance à s'imaginer que les gens vivent comme vous, qu'ils ont de grand appartement, de grand frigo, un congélateur, un cellier, une cave, des placards, mais non, plus à Paris qu'ailleurs, j'ai vu des gens qui vivaient dans des appartements qui font en superficie moins de la moitié de la taille de ma chambre, vu des chambres où les gens avaient juste une plaque chauffante tout juste suffisante pour chauffer l'eau du café.

Ces gens ne sont pas en mesure d'ensiler, de stocker.

Ensuite, bon nombre de personnes dont des étudiants et des retraités ne disposent pas 3 euros par jour pour vivre, comment voulez-vous que ces gens fassent des stocks, le supermarché leurs feront crédit ?

Si on ne veut pas que les gens sortent faire des courses, faut faire comme en Chine leur livrer ou apporter la nourriture à domicile.

Evariste Zephyrin

mardi 10 mars 2020

Dans le bus

Pour le plaisir des yeux !

lundi 9 mars 2020

Le coronavirus épargne les Africains et les enfants


Depuis quelques jours, les spécialistes se perdent en conjectures face au constat totalement imprévu du fait que cette terreur universelle que constitue cette soudaine épidémie, semble curieusement épargner le continent africain et ses 1,2 milliards d’hommes, vivant dans des nations qui sont pourtant bien éloignées de posséder les moyens de détection et de lutte contre un tel malheur, que possèdent les nations les plus touchées...

Bien des hypothèses circulent mais aucune ne semble tenir la route, tant tout le monde s’attendait bien au contraire, à ce que cette épidémie prenne des proportions apocalyptiques dès lors qu’elle aurait atteint ce continent insuffisamment équipé et que visitent de plus de très nombreux Chinois...

Mais fort heureusement cela ne s’est pas produit, l’Afrique demeure un continent relativement épargné...

Il appartient donc maintenant aux spécialistes de la médecine et de la biologie de tenter une explication de ce phénomène surprenant. Mais il se pourrait selon l’hypothèse que je formule ici, que cette explication soit d’une “terrible simplicité”, d’autant plus terrible qu’elle est simple et ne demande pour sa compréhension aucune savante connaissance, mais seulement un peu de bon sens, et de courage pour constater la réalité des choses Cependant, ceci imposera aux vieilles nations occidentales, que celles-ci portent enfin sur elles-mêmes, ce qu’elles auraient du faire depuis longtemps, un regard de vérité, qui constituera pour elles une épreuve redoutable, tant par la signification du constat qu’elles en feront, que par la difficulté qui sera alors la leur de revoir les choix et les orientations sociétales qui demeurent les leurs...

En effet, il apparait du débat actuel que le coronavirus provoque une maladie qui frappe non exclusivement, mais très majoritairement les vieux qui, étant les plus sérieusement atteints, sont par le fait les vecteurs les plus contaminants de cette épidémie. Partant de là, il est facile de comprendre et d’admettre que plus une société aura un nombre élevé de vieillards par rapport à sa population globale, plus la propagation de la maladie sera élevée...

Exprimé différemment, ceci revient à dire que plus l’âge “médian” de la population d’une nation sera élevé, plus la propagation de cette maladie en son sein prendra de l’ampleur...

Si tel est le cas, il devrait alors être possible de mettre en évidence une corrélation entre l’âge médian élevé de la population d’une nation, et le degré de contamination dont elle est l’objet...

L’âge médian de notre humanité tout entière est de 30,4 ans...

Pourquoi l’Afrique est-elle bien plus épargnée qu’ailleurs... ?

Tout simplement parce que l’âge médian de ce continent est seulement de 20 ans... !

Face à cela, l’âge médian de la Chine est de 38,4 ans, presque deux fois celui de l’Afrique et il est facile de comprendre que l’épidémie qui a pris naissance en ce pays, s’est trouvée sur un terrain bien plus favorable qu’en Afrique, pour se développer...

L’âge médian de la Corée du sud, désormais le 3ème pays le plus touché est de 43,4 ans ! Là également le terrain est favorable...

L’âge médian des nations de l’Europe est de 42,2 ans, et c’est logiquement sortie de la Chine, dans ce continent que la maladie va faire des ravages...

L’âge médian de la France, pays très touché, est de 40,5 ans...

L’âge médian de l’Italie, pays désormais le plus touché après la Chine est de 44 ans...!

Ce pays de vieillards n’avait donc aucune chance de passer à travers...

L’âge médian de l’Allemagne, pays encoure plus touché que la France, mais avec cependant moins de morts, est de 44,3 ans...

Il est remarquable que les Etats-Unis qui entretiennent certainement avec la Chine encore plus de contacts que les nations européennes, s’en sortent bien mieux compte tenu de l’ampleur de leur population, avec un âge médian de 38 ans, et beaucoup mieux que le Japon pourtant trois fois moins peuplé, mais avec un âge médian de 46 ans... !

Face à cela, l’immense Brésil, pays membre des Brics qui ne peut donc manquer d’avoir de nombreux contacts avec la Chine, n’est pas touché grâce à son âge médian de seulement 31 ans...

De tout cela il apparait clairement que le coronavirus provoque une maladie qui frappe principalement et d’une façon logique, les populations vieillissantes dont par extraordinaire, les membres de celles-ci, particulièrement les citoyens des nations européennes, continuent dans une totale déraison de croire que leurs populations peuvent continuer indéfiniment à vieillir, sans jamais que cela ne finisse un jour par leur poser un problème définitif...

Comment des millions de gens ont-ils pu se convaincre d’une telle incohérence, et manqué un moment de se souvenir que le vieillissement conduit à la mort, et que les populations vieillissantes sont naturellement et le plus logiquement du monde, des populations menacées...

Oui, il en est des individus comme de leurs collectivités, les uns et les autres meurent de vieillesse, et voila, rendez-vous compte, ce qu’après vingt cinq siècles de civilisation, les Européens devront redécouvrir...

Il se peut fort bien comme certains en font l’hypothèse, que ce virus soit un produit le laboratoire. Cependant, il n’est pas nécessaire d’aller jusque là pour trouver une explication à ce drame, car il faut comprendre le plus simplement du monde que des germes que ne posent que quelques difficultés bénignes dans des populations saines dont les atteintes de l’âge ne frappent qu’une faible proportion d’elles, ne peuvent manquer de provoquer des dévastations dans les populations vieillissantes et par le fait logiquement fragilisées et affaiblies, ce qui laisse croire à un malheur fabriqué...

Les Européens tireront-ils cette conclusion... ?

C’est tout à fait improbable, mais l’avenir dira...

Paris, le 9 mars 2020
Richard Pulvar

dimanche 1 mars 2020

CELUI-CI EST BEL ET BIEN AVEC D'AUTRES, L'INSTRUMENT D'UN PROJET DE DOMINATION UNIVERSELLE, DONT LES TENANTS VEULENT ASSURER LE SUCCES PAR LE CHAOS...



Son rôle est bel et bien comme tout le monde de constate dans les faits, mais en pensant à tort qu'il ne s'agit là que d'un effet de son inadéquation à la fonction présidentielle et de son incompétence, de détruire à la fois les capacités et les solidarités de cette nation, pour qu'elle puisse être soumise à un clan de "pontifes" autoproclamés, en renonçant à ses fondamentaux historiques...

Tout le monde constate bien les conséquences désastreuses de ses manoeuvres dans tous les domaines. Mais ignorant pour le grand nombre, à la fois la stratégie et l'identité de ses commanditaires, la réalité du clan de ceux qui l'ont choisi pour son instabilité psychique qui lui laisse croire par son narcissisme exacerbé, qu'il est le produit de lui-même, et qui lui ont ouvert les allées du pouvoir par la manipulation politico-médiatique, il est difficile d'organiser une cohérence dans l'opposition, laquelle rassemble des gens qui ne comprennent pas réellement contre quoi exactement ils se battent...

Pour la plupart d'entre eux, les opposants en restent aux différents aspects sectoriels, matériels, et immédiats, du problème global posé, et dispersent la lutte dans des actions sans issues, parce que la réalité du problème ne se situe pas dans les questions politiques ou administratives habituelles, mais dans le défi lancé par un clan de dominants, de soumettre les peuples et les nations à leur loi...

Ceci, sur la base de considérations métaphysiques qui se situent bien au-delà des préoccupations habituelles des citoyens, lesquels sont bien éloignés de comprendre qu'il s'agit bien à l'occasion de tous ces désordres, d'un défi lancé à l'homme tout simplement, par des exaltés qui se prétendent nommés pour le soumettre, au nom de la Transcendance...

Richard Pulvar