Les dérives morales, hérétiques et sectaires de l'islamisme ne sont un secret pour personne depuis Ibn Taymya, le vrai père-fondateur de l'islamisme moderne, mort en prison pour apostasie au début du 14ème siècle. Les électeurs tunisiens qui ont voté pour Ennahdha dont beaucoup d'entre eux contre leur gré et avec la bénédiction de cette instance de croque-la mort de la démocratie, ils participent inconsciemment à la mise en musique du projet de société de cette secte pour la Tunisie. Un projet criminel, rétrograde et barbare. Ennahdha n'a plus le choix que dévoiler son programme politique, quel vilain mot pour une secte apostate: la guerre aux femmes célibataires, la stigmatisation des enfants élevés par ces mères. Ses desseins pour la Tunisien portent en eux le poison mortel pour les droits fodamentaux et l'éthique sociale. Elle propose aux Tunisiens qui souffrent de troubles psycho-affectifs et tous ces misogynes phallocrates l'union libre à la sauce islamique. Une sorte de mariage hyper précaire, le temps de l'acte sexuel lui-même revêtu du prétendu sceau immonde du sacré. Les futures esclaves sexuelles du macho tunisien qui vont immanquablement se retrouver seules une fois que leurs prédateurs les auraient dépecées, les risques de grossesse sont inévitables n'est-ce pas ? L'islamisme interdit les rapports protégés et l'avortement. La virilité d'un homme chez les islamistes se juge à l'aune de sa nombreuse progéniture et des femmes consommées. Nonobstant les M.S.T. et le sida mais pas seulement, quel sera le statut social et juridique de ces femmes contraintes à une forme de prostitution déguisée qui bien souvent pour échapper à leurs conditions matérielles misérables ? La société islamisée condamne ce qu'elle autorise au nom de sa religion. Une véritable schizophrénie socio-juridique. Outre le fait que le droit canon, la charia reconnaît et encourage la pratique de ce type d'union, une façon habile et pernicieuse pour ré-instaurer la polygmaie, réprouvée pénalement par le C.S.P. nonobstant son carcatère avilissant pour la condition féminine, réduisant la femme à sa seule fonction d'assouvir les pulsions sexuelles du pervers sexuel tunisien le maître du corps de la femme et le roi de sa volonté. Quel statut cette société de zoophilie, de nécrophilie, pédophilie, de kamikazes, de zombies, de violeurs, de charlatans, d'illusionnistes, d'escrocs de la foi, va-t-elle octroyer à ces enfants dont la conception est légitimée par la religion mais qui elle-même les stigmatise assimilés au fruit du pêché de leurs mères, mais rejetés par la société, leur accordera-t-elle, alors qu'ils sont nés de pères inconnus mais seulement reconnus par la mère qui n' a pas pourtant la capacité juridique de transmettre son nom dans le droit musulman ? C'est un vrai casse-tête juridique qui ne relève pas du positivisme juridique. Le droit humain est simple et limpide. Une femme transmet sa filiation. Et pourtant ces mères-célibataires créées en toute pièce par le droit canon islamique, n'échapperont pas non plus au statut de l'infamie que les islamistes vont forcément leur octroyer. L'image du père finira par disparaître aussi. Imaginez enfin les dizaines des milliers d'enfants qui naîtront sans père, ils seront comme ces enfants égyptiens qu'on désigne par le prénom de leurs mères. Enfin, ce type de relations n'est pas sans conséquence sur le développement de l'inceste. Comme ils seront tous les fils et filles de leurs mères, il n' y aura plus d'interdit sexuel. Les islamistes ne connaissent pas la génétique et le statut juridique de la filiation en droit posif et ses conséquences parce qu'ils sont rationnels pour des esprits noyés dans la fumée sombre qui obstruent leurs neurones.
En conclusion afin que les Tunisiens sachent où un tel modèle de société va les mener, je les invite à scruter le cas turc: le mariage coutumier répandu en Turquie depuis l'arrivée d'Erdogan au pouvoir a favorisé le développement de la prostitution, la polygamie, de la violence faite aux femmes plus de 1600% et l'explosion exponentielle de la courbe des enfants des rues.35 000 rien qu'à Istanboul. Eux-mêmes abandonnés par leurs mères qui n'ont pas les moyens de subvenir à leurs besoins. Le sexe islamiste est un sida génétique, social, psychologique, humain. Diagnostic, la morale sociale et le sexe islamiste sont un couple divergent. Avec l'islamisme, l'immoral est moral tant que que les actes accomplis sont légalisés par la charia. L'indignité humaine et l'ignominie sont tolérables tant qu'ils répondent à la volonté de Dieu. Ce qui est licite dans la charia est illégal et condamnable par la justice républicaine.
Salem Benammar
NB
L'union libre est par définition l'expression de la volonté consentie entre les parties qui donnent à leur relation un cadre juridique informel. Dès lors que l'on cherche à la formaliser, elle cesse d'être libre et se trouve régie par le droit commun.Le code civil. Dans sa conception islamiste, c'est une façon perverse pour contourner la loi tunisienne qui réprime pénalement ce genre de pratique aux conséquences incommensurables sur les droits de la femme et des enfants. On ferme les bordels, et on ouvre des camps sexuels, c'est ça la vraie définition des mariages coutumiers. PS Les filles de l'iinnombable et dévergondé Ghannouchi ont conclu des actes de mariage de droit civil!
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