Nous sommes nous autres qui nous revendiquons d’une qualité “humaine”, qui exige de nous que nous soyons autre chose que de simple “animaux”, habités par une conviction venant du plus profond de nos âmes et faisant échos à nos dispositions affectives, qui nous fait faire parmi tous les possibles, le choix d’un ordre préférentiel des choses et de la façon de nous envisager les uns avec les autres. Ce sentiment nous fait alors l’obligation morale, de ne pas nous laisser dominer par ces inclinations naturelles qui à l’instar des autres animaux, feraient de la satisfaction égoïste et immédiate de nos seuls besoins personnels, la raison unique ou principale de nos comportements.
C’est en cette démarche qui nous fait “hommes”, et qui nous interdit d’exercer selon un archaïsme qui nous resterait de l’animal, quelque forme que ce soit de prédation envers nos semblables, et qui crée chez nous cette intuition, cette intime conviction selon laquelle notre mieux être ne peut se tenter que selon notre dimension collective, celle qui conduit au fait de notre humanité entière, que nous nous révélons à nous-mêmes comme étant des “humanistes”, et des “progressistes”, dans notre tentative déterminée d’un monde meilleur.
Dès lors, il est de notre plus haute responsabilité, lors du choix des hommes auxquels nous confions la lourde charge d’organiser pour le mieux, et selon nos convictions, la vie de la cité, de nous assurer que par-delà les étiquettes qu’ils afficheraient volontiers et avec facilité, comme étant eux aussi des humanistes et des progressistes, afin de recueillir nos suffrages, ils ne s’emploient pas en toute félonie, afin de leurs intérêts, de la poursuite de leur carrière, et de leur quête du pouvoir, à trahir tous nos idéaux, et à nous rendre complices à travers eux, de crimes abominables.
Il semble malheureusement que beaucoup d’entre nous qui en toute bonne foi, avaient fait le choix d’hommes et de partis politiques en lesquels ils avaient placés tous leurs espoirs, en faisant sur eux un énorme investissement affectif, n’ont eu, ni la vigilance de procéder à un examen rigoureux des faits, ni le courage de se faire mal pour constater dans son évidence, la trahison dont ils ont été et dont ils demeurent les victimes, par des hommes à l’esprit pervers, des racistes de la pire espèce camouflés sous les étiquettes progressistes de leurs parti, et qui depuis plus de soixante ans, ont infligé la guerre et la désolation à des peuples innocents.
Voici cette histoire.
Dans sa clairvoyance, le général de Gaulle nous avait fait sortir sans états d’âme, de l’organisation guerrière du sinistre “Nato”, et s’était attaché à ce que nous puissions disposer par nous-mêmes des ogives, des missiles, des avions et des sous-marins, pour assurer notre défense d’une façon autonome, et mener la politique d’une nation souveraine...
Brisant tous les tabous, il se rendit ensuite à Moscou en pleine guerre froide, dans un geste courageux, spectaculaire, et fondateur, qui pour la paix et le salut du monde entier, allait amorcer enfin le dégel des relations Est-Ouest jusqu’alors si tendues, et ouvrir la voie de la coexistence pacifique entre les deux-blocs...
Ainsi, selon l’adage “si tu veux la paix, prépare la guerre”, nous étions grâce à sa politique d’indépendance nationale, dotés d’une force de frappe capable d’infliger à n’importe quel ennemi, bien plus de dommages qu’il n’aurait trouvé d’intérêt à nous attaquer. Mais, parce qu’il avait su faire la guerre, ce grand patriote comprenait la nécessité de travailler activement à la paix. Et de fait, après qu’il eut mis fin au drame algérien, et pour tout le reste de sa présidence, notre nation ne fut engagée directement dans aucune guerre. De plus, par son audacieuse reconnaissance quelques années plus tôt, selon une approche visionnaire des choses, de la Chine de Mao, et l’établissement de relations avec ce pays, geste salutaire pour cette époque, notre nation ne se connaissait plus aucun ennemi à l’horizon.
La paix était donc instaurée, il ne restait qu’à la maintenir...
Mais c’était sans compter avec ceux qui ont le bellicisme chevillé à l’âme, tel que ceux qui reçurent la “francisque” des mains d’un maréchal collabo, pour les services rendus sous ce régime d’oppression, et qui se sont mués opportunément en résistant de la dernière heure, lorsque la faveur des armes changea de camp.
Par cette supercherie, ils eurent pourtant leurs heures dans l’immédiat après-guerre. Mais, en ayant fait en toute conscience le choix d’un homme brutal, l’amiral d’Argenlieu, pour traiter de la délicate affaire du Viet Nam, et en l’ayant maintenu en poste malgré son coup de force raciste et criminel contre les civils de Haiphong, faisant dix mille morts parmi ceux-ci, ils vont engager la nation dans ce qui allait devenir la désastreuse guerre d’Indochine. C’est là que notre armée qui se trouvait alors composée pour l’essentiel, d’hommes issus de l’empire, subira la pire des humiliations qui soient, puisqu’elle sera écrasée dans la cuvette de Diem Biem Phu, par un homme, le général Giap, formé à l’école militaire de Paris...!
Cependant, à peine leurs épaules dégagées de ce fardeau par les accords d’Evian qui, en 1954, consacraient l’indépendance des nations de l’Indochine, après un conflit qui aura fait plus de 400 000 morts dont 4/5 de Vietnamiens, et tout en semant les germes d’un conflit à venir encore plus dévastateur, par une partition normalement provisoire du Viet Nam en deux, ces fous de guerre trouveront le prétexte d’engager la nation dans un autre drame, la guerre d’Algérie.
Suite aux graves émeutes de Sétif et de Guelma du 8 mai 1945, où à la faveur de la célébration de l’armistice et de la victoire, ceux qui avaient justement risqué leur vie et vu leur camarades tomber pour la libération de la métropole, exigeaient donc en toute légitimité de devenir des citoyens de pleins droits, le général Duval auquel des politiques irresponsables donnèrent sournoisement le feu vert en ce sens, procéda en réponse à une répression d’une sauvagerie inouïe, massacrant dans un bain de sang plus de 30 000 d’entre eux...!
Pourtant, conscient de l’extrême gravité de ce drame, il alerta ces politiques quant à l’urgence qu’il y avait à en finir avec ce système colonial indéfendable. Mais ces gens, pourtant de gauche, mais qui se moquaient pas mal de fouler aux pieds leur idéaux proclamés de liberté, d’égalité, et de fraternité, dès lors que les victimes des injustices étaient des colonisés que le statut de “l’indigénat” privait pratiquement de tout droit, se sont toujours opposés à toute réforme. Ceci, pour ne pas contrarier les colons dont le lobby était très actif, ni les indigènes de confession juive, ces derniers possédant à la différence des musulmans, le même statut que les colons, et parmi lesquels ces politiques entièrement acquis aux thèses “sionistes”, comptaient de nombreux sympathisants
Ce fut donc la guerre, engagée par l’attaque des maquisards de la “Toussaint rouge”, au 1er novembre 1954. Celle-ci allait également durer huit longues années, et se solder dans un océan de malheurs, d’abjections, de crimes, de cruautés et de tortures, par le terrifiant bilan de 25 000 militaires français et 153 000 maquisards algériens tués, plus de 400 000 civils algériens assassinés, auxquels il faut ajouter les 80 000 harkis exécutés après cette guerre, laquelle allait cependant coûter le pouvoir sous un putsch militaire, à ces hommes indignes et irresponsables qui l’avaient engagée.
Ces gens toujours les mêmes, c’est-à-dire ceux qui s’autoproclamaient socialistes, s’offrirent même durant ce temps le luxe d’engager parallèlement la lamentable et criminelle expédition de Suez en 1956, où en quelques heures seulement, les parachutistes français assassinèrent plus de quatre mille Egyptiens. Ceci, pour s’opposer par la brutalité militaire, et dans la plus pure tradition raciste et colonialiste, à la légitime décision du colonel Nasser, de nationaliser le canal de Suez qui constituait alors une des principales ressources de son pays...
Ces gens étaient donc dans “l’opposition”, lorsque le pouvoir décida de notre sortie du Nato. Ils se trouvaient alors en bonne compagnie dans des groupes infiltrés par des activistes atlantistes, et ils se montraient totalement prêts à exercer depuis les gradins mêmes de notre assemblée nationale, contre les intérêts de notre nation, pour tirer leur bénéfice et celui de leur clan, dans un projet obsédé, toujours le même, de domination universelle américano-sioniste.
Ils tentèrent donc de contrer la décision gouvernementale par une motion de censure, mais celle-ci échoua parce que le parti communiste qui constituait en ce temps la principale force de gauche, et pour lequel Moscou, l’ennemi désigné du Nato, constituait logiquement un allié dans la lutte anticapitaliste, se félicitait quant à lui de cette sortie.
Ces hommes durent alors subir sous les présidences de Georges Pompidou et Valery Giscard d’Estaing, la frustration de ne plus pouvoir assouvir par eux-mêmes leur obsession interventionniste, étant réduits en spectateurs, obligés pour feindre leur allégeance au drapeau, d’applaudir la droite raciste et réactionnaire des affairistes et des nostalgiques d’empire, pour ses interventions devenues systématiques en Afrique. Ceci, au titre d’accords de défense et de coopération. Mais, pour être tout aussi abjectes que les guerres de leurs prédécesseurs, celles-ci n’en eurent cependant tout de même pas, et de loin, la même ampleur criminelle.
Mais, ces “sociaux impérialistes” allaient pouvoir se rattraper avec l’accession d’un des leurs, François Mitterrand, à la fonction suprême. La présidence de celui-ci fut en effet marquée, non seulement par le retour sans l’avouer, d’une étroite coopération militaire entre notre pays et les atlantistes, mais surtout par un alignement systématique et fort peu glorieux, derrière les entreprises guerrières des américano-sionistes, comme misérables supplétifs de leur barbarie.
C’est ainsi qu’au Liban, en l’année 1982, après n’avoir strictement rien dit ni rien fait pour empêcher les bombardements dévastateurs sur Beyrouth, et l’invasion totalement illégale et illégitime du sud du pays par les hordes sanguinaires de l’état sioniste malpropre, et alors que la résistance palestinienne s’organisait pour la riposte, les Américains obtinrent comme à leur habitude, c’est-a-dire par la manipulation du conseil de sécurité des Nations Unies, la proclamation d’un “cessez le feu”. Les clauses de celui-ci prévoyaient l’envoi d’une force d’interposition, et l’évacuation vers la Tunisie, des combattants palestiniens et de leur chef, dont leur présence au Liban avait servi de prétexte aux agresseurs, au nom de leur sécurité.
Il était clair que comme telle, la force d’interposition avait pour mission de s’opposer à la poursuite de l’invasion, et qu’elle avait en charge la protection des civils palestiniens demeurés dans leurs camps, essentiellement les femmes les enfants et les vieillards, dès lors que les hommes en situation de combattre et de les défendre, avaient été évacués.
Cette force d’interposition était composée pour l’essentiel de soldats français, placés en principe sous commandement onusien. Mais, on comprend bien qu’ils ont forcément reçu des responsables politiques parisiens de l’époque, des ordres pour avoir eu un comportement si lâche et si indigne pour des soldats, en trahissant totalement leur mission sacrée. Car, non seulement ils ne s’opposèrent en rien à la poursuite de l’invasion par les sionistes barbares, mais, en laissant ceux là encercler les camps palestiniens pour qu’aucun secours ne puisse leur parvenir, ils ont permis à des hordes de phalangistes criminels, tristes exécuteurs de basse besogne, de massacrer sans retenue des civils sans plus aucune défense.
Durant cette nuit des longs couteaux, près de 3500 de ces malheureux furent assassinés dans les camps de Sabra et de Chatila, et sur les bateaux qu’ils avaient acceptés de prendre en direction de la Tunisie, afin qu’en faisant par ce geste baisser les tensions, soit favorisé un règlement pacifique de ce conflit, les partisans apprirent que dans leur dos, leur fils et leurs compagnes furent sauvagement égorgés, sans qu’ils n’aient pu tirer au moins une seule cartouche, pour tenter de protéger au moins un seul d’entre eux.
Mais, n’ayant en rien la conscience chahutée par les injustices et les cruautés infligées à ceux des autres cultures qui ne leur ressemblent pas, tout en récitant leur bréviaire sur l’amitié entre les peuples et l’égalité des races, la félonie des sociaux impérialistes, qui s’honorent sans cesse de s’offrir pour soulager les américano-sionistes, ne s’arrêta pas là.
Elle va culminer en effet, à l’occasion de la guerre d’Irak, dont l’objectif non avoué mais évident, était de détruire totalement une nation dont le développement et la puissance grandissante, risquait de menacer ceux qui depuis soixante ans, martyrisent en toute impunité et avec une brutalité bestiale, le peuple palestinien pour le déposséder de sa terre.
Toute l’intelligence de ces sociaux impérialistes sera donc mise au service de leur plus totale mauvaise foi, pour donner à leur agression des prétextes aussi fallacieux que la défense d’un droit international qui ne fut jamais écrit nul part, dans une région où il n’y eut jamais de frontières qu’issues d’un partage colonial ou de lignes de cessez-le-feu, lesquelles étaient par conséquent toutes contestables et contestée, et en évoquant également la défense de la liberté, et bien sûr la défense de la veuve et de l’orphelin.
Ceci, pour pouvoir écraser sous un tapis de bombes en y faisant plusieurs centaines de milliers de morts, tout un peuple et toute une nation qu’ils ne connaissaient ni d’Eve ni d’Adam et qui, à l’heure même où ces salopards s’en venaient d’au-delà des mers pour les massacrer avec une évidente délectation, ne leur avaient strictement rien fait.
Tout ceci, comme si dans le conflit qui opposait alors l’Irak à ce pays au régime féodal qu’était et que demeure le Koweït, le premier n’avait pas de légitimité à s’en prendre au second qui en toute déloyauté, sous l’influence des américano-sionistes, en ne respectant pas les accords de l’OPEP quant à la régulation de la production de pétrole, avait pris des mesures de nature à faire baisser les cours pour porter ainsi très gravement atteinte aux intérêts économiques de l’Irak, qui sortait d’une guerre qui l’avait épuisée, afin de la mettre à genou. Or partout ailleurs une telle manœuvre aurait bel et bien été considérée comme un “casus belli”.
S’inventer un droit de tuer des gens qu’on ne connait pas, qui ne vous ont strictement rien fait, mais qui règlent un différent avec ceux qui leurs sont hostiles et leur portent atteinte, et ce, en se prétendant désigné par le ciel pour prononcer le jugement dernier sur notre Terre, et dire les bon et les mauvais, voici quelle fut l’attitude infâme des criminels à la rose.
Cette première guerre criminelle qui fut déjà dévastatrice, fut suivi de douze longues années d’un embargo qui constitua une véritable insulte à la conscience humaine, tant ses conséquences sur la population civile furent dramatiques, en lui infligeant des souffrances du spectacle desquelles se délectaient les monstres américano-sionistes, et entraina une seconde guerre, engagée sur des mensonges encore plus cyniques et grotesques. Ceci, pour finalement abandonner ce pays autrefois si prospère, si dynamique, et si prometteur, dans un état de délabrement physique et social total, en proie aux affrontements ethniques et religieux, avec leurs attentats et leurs cortèges de morts, et selon un bilan final totalement accablant, que certains observateurs estiment à plus d’un million de morts...!
Tout cela pourquoi ?
On ne saurait dire, mais quant à savoir par quoi, par qui, et pour qui, là les éléments de ce malheur intégral sont parfaitement identifiés, et parmi eux se trouvent les criminels à la rose, tels qu’ils se plaisent de ce que la volonté de leurs comparses casseurs de Palestiniens, s’est trouvée exaucée...
Ils trouveront une autre occasion d’exercer leur malfaisance, en Somalie, même si la vigueur contre eux des patriotes locaux, a eu tôt fait de les contraindre à un repli stratégique. Mais c’est bien au Ruanda que leur infamie se révéla à son comble, avec l’incroyable bilan de plus de huit cent mille morts, dont ils ont armé et soutenu jusqu’au bout, leurs exécuteurs...
Viendra ensuite l’heure où, toujours en supplétifs honteux des américano-sionistes, qui par la manipulation médiatique étaient parvenu à installer un des leurs sur le fauteuil élyséens, ils vont soutenir avec la même malhonnêteté crasse, c’est à dire en prétendant une fois encore défendre le droit, la démocratie, et les populations civiles, des opérations d’une brutalité sans pareille qui en fait, massacreront de ces civils par dizaines de milliers, en Côte d’Ivoire et en Libye.
Ceci, pour abandonner là encore ces nations agressées et martyrisées, auparavant les plus prospères, les plus développées et les plus prometteuses du continent africain, dans une dévastation totale, en proie aux pires exactions et aux pires atteintes à la dignité humaine, dans des règlements de comptes interethniques sans fin, avec en plus l’établissement de régimes de terreur, en lieu de la démocratie promise, et jusqu’à l’instauration en Libye, d’un régime établi selon un obscurantisme religieux sorti du fond des âges, totalitaire, et attentatoire à la liberté des femmes.
Bien sûr, tout cela au profit des puissances d’argent, toujours les mêmes, qui depuis s’emploient avec la complicité de ceux qu’elles y ont placé à leur tête, à dépouiller ces nations de leurs richesses naturelles...
Aujourd’hui, s’est révélée aux yeux de tous et dans toute sa laideur, la duplicité malfaisante de ces faussaires à la rose qui en ces occasions, n’ont de cesse de trahir sans retenue et sans honte tous leurs idéaux progressistes et humanistes proclamés, dont ils n’ont par ailleurs de cesse d’en faire leçon au reste de la planète.
Ces gens, parvenus eux aussi par la manipulation médiatique, et grâce à leur soutien par les américano-sionistes, à se hisser aux commandes de notre nation, loin de s’attacher avec acharnement à régler les problèmes sans fin et de tous ordres qui nous étreignent aujourd’hui, c’est à nouveau en vue d’aventures guerrières malpropres et criminelles qu’ils mobilisent toute leur énergie. Ceci, pour nous entrainer dans un conflit contre la Syrie et l’Iran, pays qui pas davantage que le Liban, la Somalie, le Ruanda, l’Afghanistan, la Côte d’Ivoire, ou la Libye, qu’ils s’en sont déjà allés dévaster, ne nous ont absolument rien fait, et contre lesquels ils s’acharnent à s’inventer des raisons pour que nous leur fassions absolument la guerre
Et tout cela, pour mettre les capacités militaires de notre nation au service de nations étrangères racistes et prédatrices...
Il nous faut donc absolument barrer la route à ces crapules traitresses à notre nation, avant qu’elles ne parviennent à nous entrainer une fois de plus, dans les enfers de la guerre, des dévastations, des massacres, et de l’indignité...
Paris, le 30 août 2012
Richard Pulvar