dimanche 26 novembre 2017

En Libye on vend comme esclaves des jeunes africains


En Libye on vend comme esclaves des jeunes africains que la misère a jetés sur les routes .On fait semblant de découvrir l' esclavagisme en Afrique,un peu d'histoire pour rappeler que depuis 652 et même avant cela n'a jamais cessé.
Il est grand temps à ce que l’on ouvre une des pages des plus sombres et plus sanguinaire de l’histoire du monde arabo-musulman : Leur "génocide voilé"
Nous ne devons pas cacher certaines vérités. Les Arabes lors de leurs premières conquêtes en Afrique amenèrent avec eux beaucoup de malheurs. Dix-sept millions, oui 17 millions, d’Africains furent razziés, capturés, massacrés, castrés et déportés vers le monde arabe,et l Afrique du nord dont la Tunisie. Les musulmans tenaient à la fois le Coran d’une main et les couteaux aux nuques de l’autre.

La traite négrière en afrique par les arabes a débuté dès le VIIe siècle et plus exactement en 652 lorsque l’émir et général arabe Abdallah Ibn Saïd a imposé aux Soudanais et au roi nubien Khalidurat, un « bakht » (accord), les obligeant à livrer annuellement des centaines d’esclaves. L’article 5 de ce bakht stipule clairement que les nubiens doivent «livrer chaque année trois cent soixante esclaves des deux sexes, qui seront choisis parmi les meilleurs de votre pays et envoyés à l’imam des musulmans» ! 

Trouvant ce commerce très juteux les arabes poussèrent leurs razzias jusqu’aux confins de l’Afrique noire d’est en ouest et du nord au sud. De Zanzibar (actuelle Tanzanie au bord de l'océan indien) à l'empire du Ghana en passant par l'empire du Mali. 

Bien que l’asservissement des peuples noirs remonte à la nuit des temps pharaoniques, ce n’est hélas, qu’avec les arabes qu’il prend une «dimension industrielle» puisque c’est en 652 donc, que pour la première fois la traite négrière sera inventée et planifiée par les Arabes. 

On croyait que ce mal absolu qui a plongé pendant plus de treize siècles des millions de peuples noirs dans les ténèbres s’était « officiellement » arrêté au début du XXe siècle, avec une primeur pour la Tunisie du XIXe siècle qui a aboli en premier l’esclavage en 1846. Mais voila que les libyens retrouvent ces ignominieux réflexes et que de temps en temps, et cela dans un incroyable silence assourdissant des pays africains ,l ONU ,l Europe...Nous entendons qu’ici ou là, au Soudan, en Arabie ,Qatar ,Koweit .. et surtout en Mauritanie, que certains s’adonnent encore à ce rite moyenâgeux. 

Ces derniers auront ainsi ouvert en premier une longue période de tragédies faites d’humiliations, de sang et de morts et ils seront hélas, les derniers à la refermer soit disant officiellement au siècle dernier.

C'est en regardant l histoire en face que nous pourrons guérir de nos tares et intégrer enfin l'Histoire de l'Humanité qui se fait sans nous. Pardon à toutes nos sœurs et à tous nos frères africains. Nous aussi on est en colère !

samedi 25 novembre 2017

BLACK FRIDAY


En anglais, vendredi noir se dit black friday. Aux USA, ce mot faisait référence jusqu’à récemment au vendredi 11 novembre 1887, après l’exécution de quatre anarchistes arrêtés suite à l'explosion d'une bombe, à Chicago, événement historique devenu presque inaudible de nos jours. 1929 ? Ce krach n’a rien à voir avec un quelconque vendredi noir puisqu’il est fait allusion à un jeudi noir (plongeon vertigineux de la bourse jeudi 24 octobre 1929), suivi d’un mardi tout aussi noir (mardi 29 octobre 1929) 5 jours plus tard.

Inutile d’aller chercher également du côté de l’esclavage, aucune source ne mentionne un éventuel jour de vente d’esclave correspondant spécifiquement à un vendredi, juste après la Guerre de sécession comme le supputent certains. Ces ventes se décidaient lorsque chaque bateau négrier voyait la nécessité de mettre les voiles, et dans 90 % des cas c’est un commissionnaire qui raflait la mise à bon compte, et ce dernier revendait ses esclaves à l’occasion, parfois même le dimanche après la messe au grand dam de l’Eglise qui essayait vainement de freiner cette pratique immorale, vu que les acheteurs venaient de prendre l’hostie. Même en Martinique, cela se passait de la sorte avec une espèce de parc à esclaves au rebus du côté du Mouillage, sur la route du Carbet, à St Pierre, et une autre à pointe Simon, au Fort-Royal. N’importe quel jour de la semaine, on pouvait y aller acheter un esclave, comme on fait maintenant en allant à l’épicerie du coin. Et de toute façon, le mot black désignant les Noirs, est contemporain, le terme « nigger » ayant fait référence. 

L’origine du black Friday est plutôt liée à une pratique commerciale qui a démarré à Philadelphie en 1961, quand les vendeurs à la criée de la place du marché décidèrent d’instaurer un jour propre au coup d’envoi de leurs ventes d’articles de la période de noël. Les autres commerçants de la place, profitant de l’aubaine proposèrent eux-aussi leurs produits, et ce jour-là fut appelé vendredi fou (à cause des folles affaires), vendredi parce que qu’ils avaient choisi le lendemain de Thanksgiving comme date (tout comme nous, nous avons choisi le lendemain du jour des morts pour lancer nos cantiques de noël). En 1966, dans les rapports de police de Philadelphie, on notait l’allusion à un black Friday, probablement vu la pagaille qu’il y avait en ville ce jour-là. C’est ce 2ème vocable qui est resté, de toute façon lié au commerce, à l’achalandage, aux bouchons et embouteillages exceptionnels, sans compter les vols et les rixes. Pour la petite histoire, dès 1951 certaines entreprises aux Etats-Unis parlaient déjà de vendredi noir (au lendemain de Thanksgiving également), mais pour une toute autre raison, vu qu’elles dénonçaient la quantité de travailleurs qui se portaient malades pour profiter d’un plus long week-end de congé, ceci avec la complaisance des médecins de la place. De nos jours, la petite tradition Philadelphienne a conquis toute la planète, y compris les Antilles. Mentionnons avant de prendre congé de vous que certains commerçants du pays de l'oncle Tom avaient également pour habitude de tenir leur journal comptable avec de l'encre rouge pour les périodes négatives et de l'encre noir dès lors que cela redevenait positif. Cette habitude est susceptible de corroborer le Black Friday au lendemain de Thanksgiving avec le retour des bonnes affaires.

Josépha Luce

mercredi 1 novembre 2017

Guédés


Les Guédés sont les esprits de la mort dans le vaudou.
Ils sont traditionnellement menés par les Barons comme: 
- Baron Samedi 
- Baron La Croix 
- Baron Cimetière
- Baron Kriminel
- Maman Brigitte
Les Guédés forment une famille bruyante, grossière (bien qu'allant rarement jusqu'à l'insulte), sexuelle, et qui aime habituellement rire et s'amuser. Ayant déjà vécu, ils ne craignent rien, et manifestent souvent leur état d'esprit lorsqu'ils surgissent - mangeant du verre, des piments crus, et enduisant leurs parties sensibles de piment et de rhum. Leurs couleurs traditionnelles sont le noir et le violet. Ils sont vus comme des psychopompes, car ils ont pour rôle de mener les morts vers l'autre vie. Ils sont fêtés les 1e et 2 novembre, qui est aussi la fête des morts dans le culte catholique.
*Liste de Guédés* 
- Baron Samedi 
- Maman Brigitte 
- Baron Cimetière 
- Baron Kriminel 
- Guédé Nibo 
- Guédé Fouillé 
- Guédé Loraj
- Papa Guédé 
- Guédé Ti-Malice 
- Guédé Plumage 
- Brave Guédé 
- Gede zareyen