dimanche 29 décembre 2019

Les derniers relents de Noël


Les derniers relents de Noël, qui cette année en raison du climat social, nous avons eu un Noël qui ne ressemblait pas vraiment à Noël, quoique dans ma ville des efforts ont été réalisés pour enjoliver ce Noël et le rendre visuellement attrayant, mais bon l'humeur n'y était pas, vu que la population est au prise avec d'immenses difficultés, du mal vivre, aux grèves de transport et devant faire face aussi à un gouvernement qui oeuvre que pour les plus nantis et les plus argentés de la société.


Evariste Zephyrin

Il y aura de l' électricité dans l' air à propos de l'eco


Selon les termes du Tweet de la Présidence du Nigeria, je retiens que l' ECO sera normalement la devise de la CEDEAO et non de l' UEMOA. Le Président OUATARA mandaté de négocier le retrait des pays francophones Ouest- Africains de leur union monétaire avec la France et l' Union Européenne a rendu compte au Président BUHARI du soutien de la France que les pays de l' union (union monétaire CFA) sont libres de quitter cette union pour se joindre à l' ECO. Ceci est un désaveu cinglant à  Ouatara-Macron.

Du coup l' UEMOA ne peut s' approprier du nom ECO qui est une propriété de la CEDEAO. Elle devra pour éviter un litige trouver un autre nom pour le CFA réformé en vue.

Nous les Ouest-Africains sans distinction devrons si la France et OUATARA s' obstinent demander à la CEDEAO d' ester en justice pour usurpation de marque déposée l' ECO, une propriété de la CEDEAO. Cela ne résoudra pas le problème de notre lutte pour une autonomie monétaire mais cela pousserait les usurpateurs à abandonner leur projet. Félicitations à la Présidence du Nigeria pour ce Tweet qui nous edifie.

Félix AYIKA 12.28.19

vendredi 20 décembre 2019

En verdure et en lumière recevons Noël


Je ne suis de ce pays, cependant j'aimerai en ressentir la pulsation, comprendre son sens et prendre le pouls de cette terre qui assoie ses vallées entre lacs et montagnes.

Ce pays semble rude, la terre quelque peu ingrate peine à nourrir son homme, l'eau abonde et l'humidité enveloppe presque tout, et pourtant son peuple s'avère amène et avenant, ne manifestant aucune hostilité à mon égard, peut-être une égale indifférence de ces montagnards qui se construisirent dans les âpretés de leur existence, des duretés du climat et de l'a-pic des montagnes; toutefois ces gens restent cordiaux, mais là où l'on s'attend à trouver la chaleur méditerranéenne, c'est la froideur des peuples du nord que l'on reçoit, cette distance qu'ils instaurent, des gens qui ne se touchent ni ne s'embrassent.

Ils furent confrontés au cours de leur histoire aux agressions de leurs puissants voisins, aux envahissements dont celui des Huns, et des siècles de soumission, de vassalité tant aux Milanais qu'aux Suisses. Ce peuple a développé une manière propre d'être eux-mêmes, on pourrait croire qu'ils se suffisent à eux-mêmes, mais ce pays est entre deux affirmations, il n'est ni vraiment suisse, ni vraiment italien, c'est un pays qui se cherche une destinée.

Suite : En verdure et en lumière recevons Noël

lundi 9 décembre 2019

Les copains coquins !


Le haut-commissaire aux retraites avait "oublié" de déclarer ce lien d'intérêt avec le monde des assurances, favorable à sa réforme... pas vu, pas pris ? Et si le but de cette réforme était en réalité de nous contraindre à financer nous-mêmes notre retraite avec nos fonds privés via les assurances... une réforme copains / coquins...


S. Saint-Aimé

dimanche 8 décembre 2019

G5 SAHEL, COMMENT EN SORTIR… ?



Prendre le risque de voir encore des soldats français se faire tuer dans des opérations militaires qui officiellement du moins, sont menées afin de protéger des nations dont les populations, de bonne ou mauvaise foi, accusent la France de soutenir leurs ennemis, est une situation insoutenable pour le président de la république comme pour la France elle-même…

Dans la mesure où ces accusations sont proférées par des personnalités en vue, de ces nations et même, par certains membres des appareils d’état, ceci nécessite une clarification de la part de leurs dirigeants qui dans les faits, et même s’il est évident que la défense des intérêts français a pesé dans la décision, ont bien demandé cette intervention de l’armée française dans le cadre d’accords de défense, à l’heure où plusieurs organisations clandestines menaçaient l’intégrité de leurs territoires…

Dans ce sens, les présidents des cinq nations africaines qui participent à l’organisation de coopérations économique et militaire dite G5 Sahel, ont été convoqués en France, ce qui a déclenché une vague de mécontentement dans les populations qui ont vécu cette démarche pourtant parfaitement logique, comme une assignation, afin de lever toute ambiguïté, au moins au niveau des responsables, quant aux missions qu’ils espèrent voir accomplies par l’armée française dans cette région…

L’opération ne sera pas simple du point de vue diplomatique, mais il serait souhaitable que le chef de l’état saisisse très opportunément, voir en en exagérant la réalité, la contestation de l’engagement français par les opinions publiques africaines, pour précisément se dégager de ce guêpier dans lequel l’armée s’est trouvée fourvoyée, dans une guerre asymétrique qui comme telle, ne peut être ni gagnée ni perdue, mais dont les coûts humains et financiers ne manqueront pas de devenir de plus en plus élevés, dans une confrontation sans fin et dont la nation en subira en fin de compte bien plus de dommage qu’elle n’en tirera de profit…

Bien-sûr, ceci sera un coup très dur porté à ces nations qui dans ce qui est déjà leur désolant état de faiblesse, verront la guerre achever de totalement les ruiner. Car ce départ sera le signal donné à des assaillants puissamment armés, pour mener des offensives contre les régimes en place qu’ils honnissent, offensives qui à l’usure, ne manqueront pas de leur ouvrir tôt ou tard les portes des capitales si les armées nationales, bien trop faibles et sans moyens financiers pour se renforcer, ne sont pas soutenues par une aide étrangère, ce qui se serait d’ailleurs déjà produit s’il n’y avait eu cette intervention française.

Ceci, d’autant qu'il ne s’agit pas en ce G5 Sahel, d’une simple organisation militaire, mais d’un organisme dont l’objet principal qui curieusement demeure le moins connu, est le développement. Car il a en effet été conçu avec l’idée que ce développement soustrairait les populations les plus démunies, aux sirènes des fondamentalistes religieux qui promettent de leur offrir des conditions de vie bien meilleures, en échange de leur adhésion à leur projet de société.

C’est ainsi que cette organisation parraine plus de cinq cents projets de développement dans différents domaines, et dont le coût de leur réalisation est estimé à plus de 12 milliards de dollars, une somme absolument considérable pour ces nations. Mais il est clair que rien de tout cela ne sera engagé, tant que l’ordre ne règnera pas dans la région.

De là l’intervention de l’armée française qui, en plus de protéger les entreprises françaises qui exercent dans la région dans des domaines sensibles comme l’exploitation des mines d’uranium, et à condition bien-sûr que cette intervention se fasse dans la stricte légalité internationale, donc à la demande clairement formulée des nations concernées, s’adonnait depuis des décennies déjà à une forme bien-sûr non avouée et inavouable de “mercenariat”. Ceci, en se portant promptement candidate pour des opérations de force onusiennes à la décision desquelles la France participait en tant que membre permanent du conseil de sécurité, et pour lesquelles elle était payée par les Nations Unies…

Les gouvernements français successifs trouvaient ainsi un moyen d’entretenir à un très haut niveau de compétence et d’équipement, une puissante armée devenue professionnelle, grâce au financement onusien d’incessantes opérations extérieures, qui rentre dans une ligne budgétaire différente de celle de la défense nationale, et qui relève du secret d’état. Ceci, d’autant que les autres nations quant à elles, dont les expériences militaires ne sont bien-sûr pas au même niveau que celui de cette nation guerrière et impérialiste, rechignaient à envoyer leurs soldats aller se faire tuer sur des sites lointains, dans des opérations dont il était évident qu’elles n’avaient rien à y gagner…

Ainsi, après avoir fait reconnaitre la légitimité et la légalité de leur intervention au Sahel par les Nations Unies, les Français ont voulu faire inscrire celle-ci sous le chapitre VII de la charte de l’illustre assemblée, afin qu’elle leur soit financée par celle-ci, comme d’habitude. Mais c’est alors que les Etats-Unis et la Grande Bretagne, nations que nombre de Français continuent à vivre naïvement comme étant leur alliés, mais qui n’ont absolument aucun intérêt à défendre dans ces zones d’influence française, et qui disposent chacune d’un droit de véto, se sont farouchement opposées à ce financement…

Cette déconvenue va plonger le gouvernement français dans une grande difficulté dont le général chef d’état major des armées, qui s’offusquait bruyamment de voir les coupes sombres portées au budget régulier de la défense nationale, pour pouvoir financer sans que cela ne soit jamais révélé, ces opérations extérieures, en fera les frais…

Il est manifeste à ce sujet que la volonté du président de faire appel à l’Otan dans cette affaire, ne relève pas d’une nécessité militaire mais bel et bien d’une nécessité budgétaire, pour remplacer un financement onusien par un financement otanien…

La situation actuelle, c’est que sur les 12 milliards de dollars promis pour le développement, pas un seul centime n’a encore été donné, et que sur les 415 millions de dollars nécessaires pour équiper, entrainer, et rendre efficacement opérationnelles les troupes de la coalition militaire, à peine la moitié à été versée, les différentes nations se moquant pas mal de respecter leurs engagements pour une région désolée où elles n’y ont aucun intérêt…

C’est ainsi que l’Union européenne qui devait participer à hauteur de 100 millions d’euros, dont 7 pour la France, n’a à ce jour pas versé un seul centime, pas d’avantage que l’Arabie saoudite qui devait donner 100 millions de dollars, et les Emirats, 30 millions de dollars, les nations de la zone ne pouvant donner chacune que 10 millions de dollars. Ceci, de sorte que ce qui caractérise le plus le G5 Sahel, c’est qu’il a les poches trouées…

Si donc l’armée française s’en va, le coup sera redoutable pour ces nations car aucune autre nation que la France qui possède pourtant une longue expérience de ce genre de conflit mais qui rencontre des difficultés, et qui a des intérêts à la fois économiques et géopolitiques dans la région, ne se portera candidate pour affronter une guerre asymétrique désespérante, et n’enverra contre son opinion publique ses soldats se faire tuer dans ces pays lointains et désolés. Dès lors, la déstabilisation de toute la région qui s’en suivra, enterrera pour de longues années toutes les velléités de développement en privant ces nations instables, déjà si mal notées par les différentes agences, de tout financement, qu’il soit public ou privé…

Cependant, il semble que c’est ainsi que les choses devraient se faire pour que les populations de la région remettent une bonne fois les pieds sur la terre pour bien comprendre quelle est leur situation et où se trouve leur intérêt, et parce que la logique historique ne peut pas les priver d’endurer, comme ce fut le cas pour les autres nations, les épreuves redoutables du prix d’une indépendance, au demeurant illusoire, dont elles se réclament…

Richard Pulvar


Facebook une censure à n'y rien comprendre !



#Facebook a cette censure plus ou moins opaque et d'aucuns s'interrogent sur les critères objectifs  de censure de ce média social : "Quels sont les standards de Facebook ? Ils désapprouvent cette publication... qui est une blague qui n'a rien de polémique..."

jeudi 5 décembre 2019

CE N'EST PAS ENCORE LE MOMENT MAIS TÔT OU TARD, TOUT CELA SE TERMINERA MAL, PARCE QU'IL N'Y A DÉSORMAIS PLUS AUCUNE POSSIBILITÉ POUR QUE CELA SE TERMINE BIEN...




Nous n'en sommes pas encore au point ou ce régime sera renversé par des grèves ou des émeutes, mais il est clair que tout un peuple a pris désormais pleinement conscience qu'absolument rien de bien pour lui, ne sortira des manigances de l'actuelle équipe dirigeante...

Celle-ci se trouve placée sous l'autorité d'un idéologue, mais surtout d'un homme à la psychologie problématique et qui, par delà des dispositions dont il est évident qu'elles ne peuvent que plonger chaque jour davantage le pays dans la régression, trouve un plaisir malsain à abuser de la provocation et du mépris, pour jouir du constat que malgré cela il se maintient au pouvoir, ce qui le poussera à aller toujours de plus en plus loin...

Pour l'heure, le peuple est ko, parce que personne n'imaginait que cette orgueilleuse nation qui se targe volontiers d'être un modèle de démocratie républicaine pour les autres, aurait pu se retrouver dans une telle situation...

Les oppositions sont encore trop divisées et cette société elle-même trop savamment atomisée par les équipes dirigeantes qui se sont succédées depuis des décennies, afin de régner, pour que puisse se constituer un front commun et le projet de ces dirigeants est de parvenir à se trainer comme ils le pourront jusqu'à la prochaine élection, pour que par une manipulation politico-médiatique dont ils ont le secret, ils soient tout simplement les moins minoritaires pour pouvoir s'offrir un nouvel accès au pouvoir...

Mais, l'état du pays et son aggravation inévitable avec ces gens, risque de nous conduire vers l'imprévisible...


Richard Pulvar

dimanche 1 décembre 2019


"- Indemnisations des agriculteurs et des pêcheurs" Ce qui influe que ceux qui ont sciemment contaminé les sols, les rivières, la mer et qui sont responsables de cette flambée de cancer, c'est à dire les bananiers qui par définition sont des agriculteurs seront indemnisés.


Serge tu te fous de la gueule du monde !

9K32 SRELA ET 9K38 IGLA OU SA-7 ET SA-24 SELON L’OTAN LES MISSILES AVEC LESQUELS LES REBELLES ONT PROBABLEMENT ABATTU LES HELICOPTERES FRANÇAIS…


Le Guide libyen de la Révolution, s’attendait bien-sûr à être tôt ou tard attaqué par les Occidentaux et il s’était préparé contre cela. Pour éviter de voir une concentration de missiles de croisière qu’il ne pouvait faire intercepter par sa défense antiaérienne, car ceux-ci évoluent en-dessous de la couverture radar, anéantir en un seul assaut ses dépôts de munitions, son idée fut de les disperser en de nombreux endroits sur toute l’étendue de son territoire…

Cette disposition s’est révélée très efficace, car si dans les airs et au sol, son armée a été vaincue non sans grande difficulté, et au bout de plus de six mois d’une campagne furieuse menée par une coalition de vint-neuf nations, dont trois des cinq plus grandes puissances militaires au monde, son arsenal a été en grande partie épargné et va tomber presque intact dans les mains de ceux que les agresseurs auront mis en place après l’avoir assassiné le Guide, mais sans que ces dernier ne soient en mesure d’en assurer pleinement le contrôle…

C’est ainsi que le Conseil National de Transition, le fameux CNT qui devait conduire la Libye vers des lendemains qui chantent, devait reconnaitre honteusement que sur les quelques 20 000 missiles de tous ordres, quantité absolument impressionnante, que comportait l’arsenal libyen et dont ils avaient alors à charge d’en prendre le contrôle, plus de 5000 avaient disparus et particulièrement, les missiles sol-air SA-7 et SA-24, de fabrication russe, d’une efficacité d’autant plus redoutable qu’ils peuvent être portés par de simples fantassins…

Cette nouvelle ne fut bien-sûr pas rendue publique, mais dès cet instant dans les différentes chancelleries occidentales, les spécialistes comprenaient que leurs nations s’étaient elles-mêmes mises dans un piège, en ne s’étant pas assurées que noyautés qu’ils étaient déjà par des fondamentalistes, les rebelles auxquels elles avaient par ailleurs livré d’importantes quantités de matériel pour lutter contre le Guide de la Révolution, formeraient un front uni et cohérent dans une nouvelle administration libyenne qu’elles pensaient par ailleurs pouvoir contrôler…

Nous connaissons la suite des événements, des furieux fanatiques et armés jusqu’aux dents vont semer la terreur et la désolation dans tout le Sahel, au point de menacer les intérêts de ceux-là mêmes qui les avaient instrumentalisés contre le guide libyen, et qui vont devoir prendre les armes contre eux…

Quelques jours seulement avant le prétendu accident, les services qui savaient que les rebelles possédaient ces armes redoutables avaient prévenu le gouvernement que ceux-ci s’exerçaient en vue d’obtenir la maitrise parfaite des missiles sol-air à guidage infrarouge, le SA-7 dont la portée maximale est de 4,2 kilomètres et l’altitude d’évolution de 50 à 1500m, et le SA-24 dont la portée est de 5,2 kilomètres et l’altitude d’évolution portée jusqu’à 3500m.

Aujourd’hui, le pouvoir et ses propagandistes médiatiques nous racontent qu’il s’est produit une malheureuse “collision” entre deux hélicoptères lors d’une opération contre les rebelles…

Bien-sûr certains préféreront croire que dans une telle circonstance, les erreurs se pilotages constituent un bien plus grand danger que la bataille elle-même, pour ne pas s’imaginer, et on comprend qu’ils ne veulent absolument pas constater la situation dans laquelle la nation se trouve placée, que dans une bataille, c’est bel et bien et tout simplement l’ennemi qui est le plus dangereux, et qui risque le plus d’envoyer des hélicoptères au tapis. Tous ceux qui connaissent le professionnalisme des soldats d’élites engagés dans ces opérations extérieures et le matériel sophistiqué dont ils disposent, ne croient pas une seconde à ce bobard…

Richard Pulvar
1/12/12

mardi 26 novembre 2019

Le démantèlement progressif du système de retraites par répartition


"Le démantèlement progressif du système de retraites par répartition, fondé sur la solidarité entre les générations nous fait passer d'une civilisation du " tous ensemble" à une civilisation du " chacun seul". L'objectif réel des réformes est d'assécher la retraite par répartition ( qui ne génère aucun profit) pour faire une place de plus en plus grande à la capitalisation au bénéfice des assurances privées et des fonds de pension, au détriment de la population active comme retraitée. Au détriment de la solidarité et donc de la réduction des inégalités. " Manuel indocile de sciences sociales.

En bref nos retraites sont en danger parce que les capitalistes veulent faire des profits sur cette manne financière. J'espère qu'après avoir compris vous sentirez la nécessité de défendre ce droit social !

source

dimanche 10 novembre 2019

La nostalgie du communisme


Le 9 novembre d'aucuns fêtaient la chute du mur de Berlin, et en voyant un homme habillé comme un "communiste", grosse veste en laine marron, écharpe rouge, chapka sur la tête, il m'a rappelé cette époque dont je m'aperçois que je suis nostalgique.


Le communisme qui aujourd'hui apparaît comme une utopie, à l'époque était créateur d'une manière d'être, d'une manière de vivre, de solidarités, de théories juridiques, économiques, architecturales, politiques.

Le communisme s'opposait à la bourgeoisie, au capitalisme, à l'église quoique qu'il empruntait l'essentiel au catholicisme, c'était un foisonnement d'idées, de postures et ils occupaient l'espace médiatique, il offrait une alternative au capitalisme triomphant qui s'est mu en un impérialisme libéral qui tend à faire de l'homme un être dédié au marché, faire de l'homme une marchandise, un monde où les profits et les intérêts d'une minorité l'emportent sur les volontés et les choix des peuples, un monde ultralibéral dont la majorité des individus n'en veulent.

Combien de temps cela pourra durer avant la grande révolte des peuples ?

Evariste Zéphyrin

dimanche 27 octobre 2019

Messe en mémoire de Roland Pierre-Charles

En l'honneur du musicien martiniquais Roland Pierre-Charles, l'homme à la chevelure éparse, une messe est organisée jeudi à 14h30 en l'église du Saint Esprit à l’avenue Daumesnil, Paris 12 à 14h30.

DIEU, LA FRANCE, ET L’OCCIDENT (3)


L’Occident aura été le “bras sacrificateur” nécessaire pour l’exécution d’un “choix”, autrement dit d’une sélection, non pas naturelle celle-ci mais “culturelle”, par laquelle s’opère forcément le devenir de notre humanité, et qui demeure généralement insoupçonnée parce que s’opérant sur des siècles par-delà les générations, elle n’est pas immédiatement observable…

Il s’agit alors en ce choix de celui qui, afin de ce devenir, s’opère par le passage d’une pluralité d’options possibles qui sont des dispositions proposées par les différents peuples en autant de civilisations, à l’option singulière effectivement retenue pour celui-ci qui est notre actuelle civilisation devenue universelle. Selon une implication du “cosmos” qui est “l’ordre” logique et obligé de la succession des choses selon lequel se développe le temps, l’Occident s’est trouvé chargé de détruire toutes les autres propositions pour qu’il n’en resta qu’une. Ceci, avant qu’un autre “pas” de notre humanité ne rende nécessaire le développement de nouvelles propositions et ne provoque pour cela après qu’ils se soient trouvés rassemblés dans cette intégration que nous disons “mondialisation”, une nouvelle dispersion de ses peuples.

C’est alors de la “convergence” d’un ensemble de données culturelles qui se trouvaient déjà largement rassemblées dans bien des civilisations antérieures telles que l’égyptienne, la grecque, et la latine, mais dont les origines lointaines sont les plus diverses et se perdent dans la nuit des temps, que selon une multitude de développements historiques au cours des siècles et qui ne doivent rien à l’aléa, sera finalement issu ce fait exceptionnel qu’est “l’Occident”. Ceci, par la grâce d’une métaphysique, la “Mère universelle” qui constitue “ce qui fait un”, et dont 180 de ses 450 représentations dans le monde, qui sont dites “vierges noires”, se trouvent en France, en révélant ainsi le patronage particulier de cette nation qui fera naitre l’Occident.


Par l’usage nous identifions à tort l’Occident à toute l’Europe alors qu’en fait, il s’agit au départ des nations de la seule partie occidentale de celle-ci, issues du démantèlement de l’empire romain d’occident, d’où son appellation, dont certaines se trouveront un moment rassemblées dans l’empire carolingien, et sous la domination desquelles va principalement se trouver forgée cette étendue culturelle qui sera d’abord dite “la Chrétienté”, avant d’être dite plus précisément “Europe”, quand cette Chrétienté se trouvera prolongée au-delà des mers. Il s’agit donc en l’Occident plus précisément, des nations de la façade atlantique de l’Europe qui par cette ouverture vers la constitution d’immenses empires coloniaux, domineront le monde, et qui vont naturellement trouver leur prolongement plus à l’ouest, en Amérique du nord…

En fait, l’Occident prend fondamentalement naissance par l’alliance historique des rois de France avec l’église de Rome, alliance sans laquelle cette dernière aurait manqué plusieurs fois de disparaître, le royaume des Francs étant alors le plus puissant des royaumes chrétiens. Il s’agit donc d’une alliance exceptionnelle du pouvoir temporel avec le pouvoir spirituel, qui débute avec le baptême de Clovis, premier roi barbare à se convertir au christianisme et qui sera dit pour cela “fils aîné de l’église”. Elle sera officialisée par le sacre de Pépin le bref, fils de Charles Martel, maire du palais qui aura défait le dernier roi mérovingien, et qui donnera son nom à la nouvelle dynastie fondée avec son fils Pépin, celle des Carolingiens. Ce dernier, un usurpateur, sera cependant reconnu comme étant bien le roi des Francs par le pape, parce qu’il se sera très opportunément porté au secours de l’église qui se trouvait alors grandement menacée par les Lombards, peuple de furieux barbares non encore christianisés.

A l’occasion de ce sacre et en reconnaissance de ce sauvetage, il sera alors rédigé un testament en lequel le roi des Francs portera le titre de “ Roi très chrétien, fils aîné de l’église” et au terme duquel désormais le roi des Francs et ses successeurs sont officiellement faits “protecteurs de l’église de Rome”, charge à laquelle aucun d’eux ne manquera. Ceci, jusqu’à Napoléon III qui s’en ira faire campagne en Italie pour contrer les troupes de Garibaldi qui menaçaient le pape en ses états…

Cette alliance sera confirmée par le sacre de Charlemagne, fils de Pépin le bref et donc roi des Francs, et qui ayant constitué à partir de son royaume un immense empire que nous appelons aujourd’hui “empire carolingien”, lui donnera l’appellation “d’empire d’Occident”. Ceci, en référence à l’ancien empire romain d’Occident qu’il rêvait de reconstituer. Après son sacre, son empire portera le nom de “Saint empire romain germanique”, nom dans lequel le mot “romain” ne fait pas référence à ceux de l’antiquité, mais aux fidèles de l’église de Rome dont ce roi était en tant que roi des Francs, le défenseur testamentaire…

Lors du partage de l’empire au traité de Verdun en 843, la partie orientale conservera le nom de Saint empire romain germanique, mais la partie occidentale retrouvera quant à elle le nom de “royaume des Francs” et c’est donc son roi, qui était de toutes les façons le plus puissant, et non l’empereur, qui reprendra la charge testamentaire de protecteur de l’église de Rome. A l’arrivée d’Hughes Capet, autre usurpateur fondateur de la dynastie des Capétiens, au nom “royaume des Francs” sera substitué en 987, celui de “royaume de France”. Dès lors, en 1066, un désormais “français”, duc de Normandie, s’en allant à la conquête de l’Angleterre et s’en faisant le roi, exportera l’Occident selon son essence française, en ce pays…

Un de ses successeurs, Richard 1er d’Angleterre dit “cœur de lion”, séjournant en ses territoires français en vassal du roi de France, Philippe Auguste, se liera à celui-ci pour s’en aller mener une croisade en Terre Sainte contre les musulmans au nom de la religion et de ce qui sera désormais dit, “l’Occident chrétien”, alors que l’autorité de l’église s’imposera aux rois catholiques partis à la reconquête de la péninsule ibérique. C’est également au nom de la religion, au prétexte de rallier des peuples païens à la “vraie foi” afin de leur salut, que l’Occident s’en ira se constituer d’immenses empires au-delà des mers.

A la révolution française, la souveraineté passera de la personne physique du roi, à la personne morale du peuple alors proclamé souverain. Partant de là, c'est donc par nécessité la nation française elle-même qui sera finalement reconnue par le Vatican comme étant la “fille ainée de l’église”…

Ce qu’il faut donc retenir de cela, c’est que le fait occidental avec sa civilisation qui deviendra celle de toute l’Europe, est fondamentalement lié au départ à un “fait de religion”, quoi qu’en diront ceux qui actuellement nient cette évidence, et dans cette affaire, la nation française par laquelle s’est opérée cette union fondatrice entre le spirituel et le temporel, y aura joué un rôle prépondérant. Ceci, selon une “vocation” due au patronage exercé sur elle depuis les temps lointains par la Mère universelle que les templiers diront “Notre-Dame”…

Ce qui nous concerne ici, c’est d’établir quelles sont, la réalité, les raisons, et les origines lointaines de cette exception française, selon une vocation dont alors bien peu de ses citoyens prennent conscience, pour montrer que cette nation qui, soutenue par une puissante métaphysique, se trouve à la convergence d’une grande diversité de courants culturels voués à se fondre dans son exception, se trouve en même temps à la croisée des chemins.

Car le risque pour elle, c’est de ne pas comprendre la logique historique et surtout métaphysique qui la condamne à son actuelle déconcertante mais nécessaire “défiguration”, qui doit conduire à sa remise en capacité selon des formes nouvelles, et donc de ne pas se défaire des sentiments qui demeurent les siens concernant la qualité d’une société humaine. Ceux-ci lui font encore privilégier la forme de cet Occident auquel elle a donné naissance, mais avec lequel elle risque de sombrer car celui-ci est historiquement parvenu à la fin de sa nécessité. Si tel devait être le cas, elle manquerait sa vocation qui, sous le patronage de la Mère universelle, est précisément de conduire notre humanité sur la voie de l’universalité…

Cependant, tout cela demeure méconnu du grand nombre et pour le développer, il nous faut tout d’abord nous aventurer quelques temps, dans les méandres de la haute métaphysique.


Pour les catholiques d’aujourd’hui, l’appellation “Notre-Dame” ne fait référence qu’à la vierge Marie, mère de Jésus. Mais pour les Templiers qui à l’appellation “Notre seigneur” qui célébrait le Christ, lui ont substitué celle de “Notre-Dame” pour une tout autre célébration, cette appellation faisait référence à un concept beaucoup plus général et fondamental…

Les Templiers avaient cessé d’être strictement chrétiens, parce qu’ils contestaient non pas les enseignements de celui-ci, mais la divinité de Jésus précisément en tant qu’homme. Ceci, même si “l’inspiration” de celui-ci ou celle qui lui sera prêtée par différents collèges, était bien quant à elle d’essence divine. Cependant, cette contestation leur vaudra le bûcher…

Ayant visiblement été eux aussi les objets d’une “divine inspiration”, à moins qu’ils ne reçurent des enseignements en Terre Sainte, il s’agissait alors pour eux, en faisant construire pour cela les magnifiques cathédrales, d’en revenir logiquement au culte ancien d’un des deux cas contradictoires du divin à savoir “l’Immanence”, c’est-à-dire le fait de tout ce qui lui étant inhérent, se trouve situé en “substance” à “l’en-deçà” de tout ce qui formellement “est”. Ceci, en opposition à la “Transcendance” qui quant à elle, est l’autre cas du divin situé à “l’au-delà” de tout ce qui est et qui notons le tout de suite, n’a précisément pas par cela même, “lieu” d’être, autrement dit, pas lieu d’exister, dans ce qui n’est justement pas un lieu d’existence…

Notre difficulté vient du fait que dans notre volonté de savoir quelle est l’essence de l’existence, soit par l’étude des traditions religieuses, soit par la recherche scientifique, nous ne traitons spontanément que de ce qui existe et il ne nous viendrait pas une seconde à l’idée qu’il y aurait lieu de traiter symétriquement de “ce qui n’existe pas”. Ainsi nous contentons nous de ne considérer dans nos différentes investigations, que l’étendue de “l’existence”, c’est-à-dire de l’ensemble de tout ce qui “est”, en manquant de remarquer que cette étendue est forcément limitée puisque d’évidence, tout n’existe pas de toute éternité ni pour toujours.

Il ne peut donc s’agir dans tous les cas, dans ce que nous considérons comme étant l’existence, que de l’étendue de celle-ci à un instant donné, étant entendu que ce qui a cessé d’exister ou ce qui n’existe pas encore, n’en font évidemment pas partie. Or, seule une limite peut différencier cette étendue d’un instant de l’existence, de celle d’un autre instant. Si donc cette existence se trouve limitée, c’est forcément en ayant été déterminée à partir d’un illimité duquel elle se trouve extraite, corrélativement à l’implication fondamentalement “extractive” du verbe “exister” que signale le préfixe “ex” de ce terme, qui vient du verbe latin “exsistere”, lequel décrit directement le fait de ce qui “se maintient” (sistere), “hors” (ex).


Existe donc selon ce terme, “ce qui se maintient hors”, autrement dit “ce qui émerge”, selon une procédure extractive et donc limitative, et toute la question est alors de savoir hors de quoi l’existant émerge, et par l’exercice de quoi ? Cependant, il est clair de par le principe même de cette procédure extractive, que l’existence ne peut procéder que de ce qui au départ la contient, qui s’étend donc au-delà d’elle, et qui par le fait la “peut”, mais qui n’a pas lieu de s’extraire de lui-même pour pouvoir ainsi exister lui-aussi.

Comprenons alors qu’il s’agit en cet au-delà d’existence, de ce que nous concevons habituellement comme étant “l’Au-delà” proprement dit. Il s’agit du lieu de la “confusion” des choses qui toutes, ont vocation selon la logique du temps, à se fondre tôt ou tard en lui par leur fatale “disparition”, après avoir existé. Il s’agit ainsi du lieu où toutes les choses sont condamnées à se confondre en se trouvant réduites en une “disparité” de leurs parties.

L’Au-delà est en ce sens le domaine de la disparité indéterminée en laquelle plus rien ne se trouve encore constitué “sous forme”, et donc en laquelle plus rien n’est distinctement identifiable, ce qui revient à dire en laquelle plus rien “n’est”, puisqu’il ne se peut “d’être”, que constitué comme étant justement “un”. C’est donc la disparité en laquelle se confondent tous les êtres disparus, et dont la représentation la plus spectaculaire pour nous est bien-sûr la disparité des objets célestes dont les peuples font depuis toujours le séjour de la divinité.

A cet instant, nous apercevons que l’erreur curieusement commune des croyants et des athées, les premiers proclamant l’existence de la divinité, ce qui n’a aucun sens puisqu’elle se situe au-delà de cette existence, et les seconds contestant l’existence d’une telle divinité pour se justifier de n’en rien considérer, réside dans le fait que les uns et les autres réduisent l’étendue de tout ce qui nous concerne sur cette Terre, à la seule étendue de l’existence. Ceci, en ne considérant jamais, ni un en-deçà d’elle où il n’est encore rien, ni un au-delà d’elle où il n’est plus rien, qui sont les deux cas du Néant qui encadrent en le déterminant ainsi, l’Etant…

De cela, nous comprenons que la démarche des Templiers était parfaitement fondée, puisque la Transcendance qui est par définition “ce qui nous dépasse”, n’a en fait simplement pas d’existence et ne nous est envisageable en aucune façon. Nous ne pouvons ni la percevoir avec nos sens, ni même la concevoir afin de nous en faire une représentation avec notre sens, puisque située au-delà de tout ce qui “est”, elle ne peut en aucune façon constituer un “objet”, pour que nous puissions formellement la qualifier et nous en faire ainsi une représentation, serait-elle simplement conceptuelle.

Ainsi, même si nous pouvons malgré tout la signifier comme telle, La Transcendance, l’Amon des Egyptiens, ne nous est définitivement pas connaissable, nous ne pouvons rien en dire ni nous organiser autour de ce qui serait des manifestations d’elle, de sorte que le divin ne nous est envisageable que selon son immanence, dans le fait de tout ce qui “est”. Or, la manifestation du divin dans tout ce qui est, réside précisément dans le fait que ce divin est ce qui le fait “un”, donc tout fait déterminé, fini, et ainsi “singularisé” distinctement des autres…

Dès lors, ne pouvant envisager la Transcendance qui est l’aspect inconnaissable du divin, la préoccupation des Templiers fut logiquement de ne considérer que “ce qui fait un”, qui est l’aspect immanent du divin, parce que c’est précisément “ce qui fait être” et qui fait donc être tout, en étant en ce sens “universel”. Il s’agit alors en “ce qui fait un”, de la “Mère universelle”, la métaphysique de l’Etre. Elle s’est trouvée représentée par une femme, parce que le “rassemblement” d’une pluralité d’éléments en la singularité d’un tout, qui est rendu de la sorte “indivis” en étant ainsi “un”, est un principe qui sera dit “féminin”. Ceci, parce que dans sa fonction génitrice, la femme qui rassemble en son sein les éléments qui vont se trouver structurés en la singularité d’un être ainsi fait 1, est pour nous la représentation la plus évidente de “ce qui fait un”, ce principe selon lequel se trouve cependant structuré notre univers dans tous ses autres aspects.

Le principe de cette immanence du divin ayant été représenté par une femme, celle-ci, une mère portant dans ses bras son fils qu’elle a fait 1, est devenue toujours dans l’illustration de ce principe, la représentation de notre Terre dont l’exercice gravitationnel correspond bien également à la manifestation d’un rassemblement de parties afin de la constitution d’un tout.

Ce principe féminin, représenté par une femme, la Mère universelle portant son fils dans ses bras pour signifier qu’elle est “ce qui fait 1”, est donc finalement “ce qui fait être”, et son identification avec la Terre fait qu’elle sera représentée par une femme de couleur noire. Ceci, tout d’abord pour célébrer sa fécondité parce qu’elle est ainsi la mère de tout ce qui est, et qu’au contraire de la couleur blanche qui symbolise la pureté et corrélativement, la stérilité, la couleur noire symbolise la fertilité et particulièrement, justement celle de la terre à laquelle la Mère universelle se trouve identifiée. Mais il y a également pour expliquer cette couleur, le fait qu’elle fut longtemps comprise comme étant la déesse Egyptienne Isis, qui comme telle, se trouve représentée par une femme noire puisque les Egyptiens qui la conçurent selon ce qu’ils étaient, se désignaient eux-mêmes comme étant “les noirs” (Kamitu).

Selon la Tradition, elle est celle dont le frère et époux Osiris fut tué par leur frère Seth, et dont le corps fut dépecé par celui-ci qui en dispersa les parties. Elle parcouru alors la Terre pour rassembler celles-ci et reconstituer le corps de son époux, afin de pouvoir s’unir avec lui pour donner vie, mais il manquait encore le sexe de celui. C’est donc avec un artifice de sexe qu’elle fabriqua et posa sur lui, qu’elle simula une union avec lui, et c’est à la faveur de ce simulacre qu’elle en conçu leur fils Horus.

Il nous faut alors comprendre ici par le terme “simulacre”, tant le geste, que l’objet qui permet le geste et qui constitue la corrélation physique nécessaire à la “détermination” d’une “métaphysique”. Ceci, compte tenu que la métaphysique étant par définition située “au-delà” (meta) de la singularité physique des choses, donc des limites liées aux formes de celles-ci, elle ne possède pas elle-même de limites pour pouvoir se trouver déterminée selon elle-même. C’est ainsi que l’Immanence se trouve déterminée sous la forme des êtres qu’elle sous-tend, ce qui nous la rend envisageable, alors que la Transcendance demeure elle, indéterminée…


Isis est donc bien celle par laquelle s’opère le rassemblement de parties en un tout, celle qui fait 1 et qui par cela fait être, selon son fils Horus qu’elle est représentée en le tenant dans ses bras, et elle correspond bien ainsi au principe de la Mère universelle. Cependant, remarquons bien ici qu’elle n’a pas pu être effectivement fécondée par la dépouille momifiée de son époux privé de sexe, mais par un “artifice” de sexe qui, étant de sa propre fabrication, permet de dire qu’elle s’est en ce sens “autofécondée”, en procédant à ce simulacre…

Comprenons bien ici que tel était le sens initial du concept de la “vierge”, qui était relatif au principe féminin dans une manifestation de celui-ci ou la “conception” se passait du concours d’un facteur masculin. Ainsi, la “Vierge”, qui n’est qu’une autre façon de désigner la Mère universelle représentée par Isis, était-elle célébrée, non pas pour sa “virginité” selon le sens moderne et sexuel de ce terme, mais tout au contraire pour sa grande fécondité, compte tenu que comme Isis, elle était “autoféconde”. Ceci étant entendu que “l’infécondité” de la pucelle ne constitue justement pas une manifestation du divin, car c’est la parturiente qui voit précisément exercer en son sein “ce qui fait 1”. L’infécondité n’avait donc absolument pas lieu d’être célébrée et c’est selon une variation de sens due à son usage par métaphore, que ce terme vierge a fini par décrire la femme qui n’a pas encore connu d’homme, la pucelle.

Ainsi la Mère universelle est-elle bien la “Vierge noire”, celle qui se trouve à l’origine de tout ce qui est, et c’est pourquoi elle fut l’objet de la grande vénération des Templiers qui la reconnurent comme étant “Notre-Dame”, c'est-à-dire comme étant la “maîtresse” (domina), qui non seulement fait 1 des individus, mais qui fait également 1 de la pluralité de ceux-ci.
C’est donc elle qui en tant que maîtresse, nous “oblige” à un au-delà de nos individualités et qui nous détermine à nous constituer en un fait commun, une collectivité qui est alors “notre”, puisque ce qui est notre est ce qui nous est commun. Elle préside donc au fait de civilisation et à l’universalité qui en constitue l’aboutissement. Il s’agit donc bien telle que nommée, de Notre-Dame, de la Mère universelle, ou encore de la Vierge noire…

Elle possédera au cours des temps et précisément selon son immanence qui implique sa manifestation sous différentes formes, plusieurs représentations locales et occasionnelles telles que Isis, Neith, Astarté, Athéna et d’autres vierges, et plus près de nous la vierge Marie à laquelle les Templiers l’ont identifiée comme étant bien une de ses formes occasionnelles, et qui vont lui ériger de magnifiques temples dans des endroits où anciennement, s’étaient déjà trouvés édifiés des sanctuaires dédiés à Isis sous la représentation de vierges noires…

Observons alors que toutes les parties continentales ou insulaires de notre planète se trouvent liées et par le fait “communiquent” forcément par la mer qui est en ce sens ce qui les fait “une”, étant entendu que communiquer consiste précisément à faire “comme un”. Ainsi, la “mer” par laquelle s’établit une communication entre toutes les parties de notre planète se présente comme un instrument de la “Mère” universelle dans sa fonction de rassemblement, en l’occurrence le rassemblement des différentes parties du monde.

Dans cette fonction, la Mère universelle était représentée par Isis parcourant le monde afin de rassembler les parties dispersées d’Osiris. Cette Isis parcourant les mers afin de l’unité du monde était envisagée pour cela dans le monde grec comme étant la “maitresse des mers”, sous l’appellation de “Isis Pelagia”, et c’est logiquement sous la protection de celle-ci que les Phéniciens qui étaient alors de hardis navigateurs, se plaçaient en installant son effigie à la proue de leurs navires.


C’est dans ce lieu qui lui fut consacré justement par ces Phéniciens qui y fondèrent un sanctuaire lui étant dédié, le “Par-Isis”, lequel va donner son nom à sa capitale et constituera ainsi son “ile”, autrement dit, son “lieu d’émergence” qui sera précisément dit “Ile de France”, que sous le patronage de la divinité va se trouver édifiée la nation française qui sans plus le savoir, puisque la voix des Templiers fut étouffée sous leurs cendres, doit à ce patronage, celui de Notre-Dame, de la Vierge noire célébrée en ses temples, sa brillante civilisation…


Ceci fait que, quoi que diront les identitaires qui se lamentent de la voir investie par tant d’hommes venus d’ailleurs, la ville de Paris est logiquement, selon sa vocation même, le lieu de rassemblement d’hommes venus de toutes les parties du monde, et son emblème qui est la trirème phénicienne qui a emmené ses fondateurs en cet endroit, signifie sa vocation à l’excellence. Quant à sa devise “fluctuat nec mergitur”, elle signifie que si la cité ne manquera pas d’être secouée au cours des temps par de terribles épreuves, pour autant elle ne sombrera pas parce qu’elle se trouve sous la haute protection de la Mère universelle, Isis…

Oui, la grande révolution universaliste prendra bel et bien naissance à Paris. Ceci, du fait de l’exercice en ce lieu et dans une mesure exceptionnelle précisément liée à cet endroit, d’un “tropisme” qui, en sous-tendant le développement de leur pensée, constitue une faveur pour les hommes engagés dans une quête d’excellence, et qui sont venus d’ailleurs jusque-là.

Ce tropisme qui résulte d’une “disposition” particulière du divin face à l’humain en cet endroit précis, et qui est donc lié à la Terre dont nous avons déjà établi la corrélation avec la Mère universelle, est en fait ce par quoi se trouve établi notre détermination à “concevoir”, autrement dit à faire 1, selon la fonction d’Isis, ce qui sur le plan psychique, s’opère par le rassemblement et la constitution d’une pluralité de “significations”, autrement dit de données informelles immatérielles, en la singularité d’un objet conceptuel…

Tout ceci revient à dire que c’est par l’exercice en nous de l’immanence du divin, que nous nous trouvons en capacité de concevoir, et l’exception parisienne de cet exercice signifie qu’il s’agit bien là d’une faveur particulière de Notre-Dame, à laquelle se trouve justement attachée la notion de “conception”. La capacité qu’en tirent les humains est donc le bénéfice pour eux de la “grâce” que leur dispense cette Mère dite en ce sens, “pleine de grâce”. Ceci, parce qu’elle constitue la faveur de notre “gré”, c’est-à-dire de notre détermination à nous accomplir, tant individuellement que collectivement, puisqu’il s’agit dans les deux cas de se faire pleinement 1. Cette Mère universelle constitue ainsi sous ses différentes appellations occasionnelles tout au long de l’histoire, ce qui sous-tend finalement le “fait de civilisation”…

Ainsi, la grande révolution universelle sera-t-elle l’occasion d’une “renaissance” qui mettra fin à ce qu’est actuellement devenu l’Occident qui, n’ayant pas vocation à l’éternité, est parvenu à la fin de son ère historique de positivité, donc à son “échéance” fonctionnelle et qui, du fait de son maintien tel quel malgré cela, contre le cours logique des temps, se trouve désormais plongé dans une totale “incohérence”.

Ceci, étant entendu qu’au-delà de l’échéance se produit fatalement la “déchéance”. Celle-ci se traduit par une perversion de ses principes tels que ceux de liberté, d’égalité, et de fraternité, qui se trouvent désormais totalement trahis par cet Occident lui-même, ce qui ne peut qu’engager plus encore notre monde occidentalisé dans les égarements qui sont ceux de nos sociétés actuelles, tels que nous les constatons déjà…

Ainsi l’Occident périra-t-il logiquement là où il a pris naissance mais également là où il reprendra naissance, puisque d’une façon générale mais insoupçonnée, il ne peut y avoir de naissance, que par renaissance. Ceci, compte tenu de la résolution cyclique et non pas linéaire du temps, laquelle ne possède pas davantage de début que n’en possède un cercle et qui est due au fait que tout ce qui n’est pas, “se peut”, à la fois avant d’être, mais également après avoir été. Il vient de là qu’il ne peut y avoir de début inscrit en ce temps, qu’à la fois, en succédant et en précédant une fin de son objet. Cependant, par l’action d’Isis rassemblant les parties et siégeant en Notre-Dame, cet “Osiris” reprendra naissance fort heureusement sous des formes nouvelles, compte tenu de la grande diversité des hommes et des apports culturels qui participeront cette fois à cette nouvelle fondation.


Parce que devenue universelle, cette civilisation doit périr pour renaitre autrement en se débarrassant de son sectarisme, racial, social, et culturel, et parce qu’ayant été initiée en cet endroit par les Phéniciens (Phoinikes), elle renaitra logiquement de ses cendres (Phoinix), et tel est le présage qu’aura constitué l’incendie, accidentel ou criminel, de Notre-Dame, laquelle renaitra également de ses cendres, incendie qui aura alors été le “simulacre” de cette fin de civilisation, et de sa renaissance…

En effet, selon ce simulacre, la reconstruction de la “voûte” (voluta) de Notre-Dame, rétablira la “volonté” (voluntas) de celle-ci sur la “cité du Parisis” (civitas parisiorum), afin d’atteindre l’universalité selon Isis qui est sa fonction de rassemblement, et la reconstruction de sa “toiture” (tectum), rétablira sa “protection” (protectum), sur cette cité…


Paris, le 28 octobre 2019
Richard Pulvar

samedi 26 octobre 2019

Les chiens du système


Partout les chiens de l'ordre établi ou la milice des puissants ont toujours la même attitude, tuer, matraquer, éborgner, réprimer.

Le summum de la démocratie eut été des pays expurgés de cette sanie excrétée par la nocivité des dominants.

E-Z

mercredi 23 octobre 2019

EN AMÉRIQUE DU SUD, LE SYSTÈME DE DOMINATION ET D'EXPLOITATION SEMBLE ÊTRE CONTESTE...


La question est de savoir s'il s'agit d'un véritable mouvement politique progressiste, ou s'il s'agit tout simplement d'une des nombreuses manigances du système, qui sait très bien permettre aux tensions sociales de se décharger au prix de quelques bagarres de rue, voire même par le changement d'une équipe dirigeante, pour ne pas être fondamentalement remis en cause...

La simultanéité du mouvement dans différents pays a quelque chose d'organisé, donc de suspect...

Nous fera-t-on le coup d'un printemps sud-américain...?

Richard Pulvar

lundi 21 octobre 2019

Hommage à Jean-Michel Martial - mercredi 23 octobre à 19h


Chers amis,

La famille et les amis de Jean-Michel Martial ont décidé d’organiser un hommage en son honneur à la Région Île-de-France.

Comme les militants du CREFOM qui l'ont connu, j'ai de la peine.

Au lancement du CREFOM, je l’avais choisi pour être mon vice-président, nous étions devenus amis et sa loyauté ne m’avait jamais fait défaut.

Très vite, j'avais perçu le militant engagé, sous l'artiste lumineux, et je l'avais formé pour prendre ma suite, ce qu'il fit avec abnégation quand mes engagements auprès de Nicolas Sarkozy m’avaient poussé à quitter mes fonctions de Président.

Jean-Michel était un personnage unique par sa gentillesse et la force de son engagement pour les Outre-mer. Il ne se plaignait jamais malgré les traitements médicamenteux lourds qui parfois le contraignaient à des séjours en hôpital. Mais il nous revenait dans la foulée et se mobilisait avec encore plus de détermination pour nos outre-mer, alors qu'il se savait condamné.

La semaine dernière encore, il sollicitait mon appui pour faire aboutir son combat pour la valorisation de la mer dans l’économie des Outre-mer. Il m’avait fait cette demande alors même qu’il était sur son lit d’hôpital et je lui avais réaffirmé tout mon soutien. C'était un vrai militant !

Afin de lui rendre le plus beau des hommages, je vous invite tous à vous joindre à nous ce mercredi 23 Octobre de 19h à 23h au Conseil régional d’Île-de-France au 33, rue Barbet de Jouy 75007 à Paris.

Vous trouverez ci-dessous le message préparé en son honneur par ses proches.

Patrick Karam

Vice-président du Conseil régional Île-de-France
Ancien délégué interministériel à l’égalité des chances des Français d’Outre-mer

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Chers Amies, Chers Amis, Chères Toutes, Chers Tous,Jean-Michel MARTIAL, notre Jean-Michel, Jean-Mi pour ses intimes, était quelqu’un de simple, discret, spirituel, positif, bienveillant et toujours souriant à la Vie !

Courageux il a affronté la maladie avec une verticalité qui force le respect

Déterminé il a œuvré jusqu’au bout pour des causes qui défendent l’humain et l’environnement

Engagé il s’est attelé à promouvoir la visibilité des cultures des outremers et du continent africain

Humaniste il a engrangé des amitiés dans le monde entier

Ces images de lui, nous les gardons précieusement et voulons lui dire combien nous l’aimons à travers un hommage digne de Lui, la musique, les Textes qu’il aimait tant les images qui ont parsemé sa carrière cette voix sublime qui allait chercher nos émotions au fond de nous-même nous aideront à l’accompagner dans son grand voyage

Notre manière de lui dire que nous ne pourrons l’oublier et qu’il restera gravé dans notre Mémoire, riches que nous sommes des moments que chacun a partagé avec lui de près ou de loin. Une communion et un rassemblement Amical, Affectueux et Chaleureux !

Le RDV se fera donc le Mercredi 23 Octobre de 19h à 23h : 33, rue Barbet de Jouy 75007 Paris au conseil régional d’Île-de-France

Nous vous y attendons nombreux pour un bel Hommage !

vendredi 18 octobre 2019

Jean-Michel Martial est mort


Appris hier soir avec une certaine tristesse le décès de Jean-Michel Martial. C'est un homme que j'ai découvert lors de la fondation du CREFOM, sa stature et sa voix impressionnait, toutefois se montrait discret, presque effacé lors des réunions fondatrices quoique affable et souriant.


Je garde cette image où la fin d'une réunion ou il me remettait le flyer d'une des pièces où il jouait, mais c'est surtout lors d'une réunion en petit comité de cette organisation où se trouvait : Patrick Karam, Claude Ribbe, Claudy Siar, Daniel Dalin, Jean Michel Martial, Serge Romana, Jacques Ambrosio et moi-même, afin de déterminer le rôle de ces cadres susnommés que cet homme m'a impressionné, il était plein de charisme, d'assurance et de tempérance, d'intelligence et il s'avérait que Jean-Michel faisait consensus.

Par la suite il accédât à la présidence du CREFOM dont je me suis éloigné, mais nous nous croisons parfois, échangions de manière amicale, cependant la dernière fois où je l'ai croisé, je ne l'ai pas reconnu, il ressemblait à Manu Dibango, il avait perdu de sa superbe, la maladie avait fait son oeuvre.

Ce fait m'avait attristé.

L'ancien docteur en chirurgie dentaire devenu comédien dans les années 80, frère aîné de Jacques Martial président du MACTE est mort hier soir.

J'adresse mes sincères condoléances à sa famille, que son âme repose en paix et la terre lui soit douce !.

Evariste Zephyrin

lundi 14 octobre 2019

Douze ans de prison pour Raùl Romeva


Raùl Romeva ancien député européen avec lequel j'ai beaucoup travaillé au Parlement Européen notamment sur la question de la pêche côtière où nous avions co-écrits des amendements a été condamné à 12 ans de prison ce matin par la cour suprême espagnole. Les autres indépendantistes écopent de peines entre 3 et 12 ans

Ces indépendantistes étaient poursuivis pour les prétextes fallacieux de "sédition, malversation de fonds publics et désobéissance".

Le verdict du procès des dirigeants indépendantistes catalans est tombé lundi 14 octobre à Madrid. Deux ans après la tenue du référendum d’autodétermination du 1er octobre 2017 et de la déclaration d’indépendance qui a suivi, la Cour suprême a rendu ses conclusions. C'est un coup dur pour la démocratie et le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes par l'Espagne avec la complicité des États-Nations européens et l'inaction de l'UE.


Jean Jacob Bicep

jeudi 10 octobre 2019

Syrie : arrêtons d'urgence l'engrenage


Les livres d’histoire retracent le cynisme sans limites de responsables politiques maniant la ruse, la déloyauté, la cruauté…

L'actualité de ces derniers jours nous fait vivre cela.

Trump, le Président américain, s’est entendu avec Erdogan, le Président turc, pour que le second puisse s’attaquer aux Kurdes. Ceux-là mêmes qui ont joué le rôle décisif pour détruire les troupes de Daech en Syrie, permettant aux soldats américains de n’être engagés qu’en soutien.

Trump explique son lâchage par le fait que « les Kurdes n’ont pas participé au débarquement de 1944 en Normandie ». S’adressant aux critiques venant d’Europe, Erdogan affirme dans un meeting va-t-en-guerre à Ankara,

« Reprenez-vous, Union européenne. Je le dis encore une fois, si vous essayez de présenter notre opération comme une invasion, nous ouvrirons les portes et vous enverrons 3,6 millions de migrants ».

Les temps semblent révolus où la parole donnée, l’accord conclu, le compromis établi étaient respectés. Un monde sans foi ni loi est un monde où le plus fort dicte sa loi, où le plus faible n’a rien d’autre à faire que des actions de vengeance désespérées.

Ce monde n’est pas un monde de tous les droits de l’Homme. Ce monde est un monde qui court à sa perte.

L’espoir ne reviendra que si ceux qui ne veulent pas un monde dirigé par la barbarie sauvent le peuple kurde du sort que Trump et Erdogan veulent sceller.

Il faut arrêter l’engrenage. La LDH demande aux autorités françaises d’agir pour arrêter cela. Maintenant !

Communiqué LDH
Paris, le 10 octobre 2019

Doha de nuit a une autre couleur


La nuit fait ressortir le gigantisme et la démesure des bâtiments et des infrastructures. Le stade situé dans l'Aspire zone - quartier démesuré voué aux sports - n'est pas en reste comme par un coup du sort, l'architecte du stade Roger Taillibert - celui de Montréal et du Parc des princes- s'en allait.












Harry Méphon

Doha, 10/10/19

mercredi 9 octobre 2019

Trump: “Intervenir au Moyen-Orient fut la pire décision de l’Histoire des Etats-Unis”


Il en aura fallu des morts et des années pour en arriver là... Les USA ont commandité les attentats du 11 septembre pour envahir l'Afghanistan (essentiellement pour la drogue) et l'Irak (pour les ressources naturelles) avant de semer le désordre dans l'ensemble de la région (pour soutenir le projet du Grand Israël). Les USA ont créé Al Quaïda, financé Ben Laden pour ensuite former et entraîner les terroristes de Daesh.

Aujourd'hui, après la tempête américaine, l'Irak est mort, l'Afghanistan est mort, la Libye est morte, l'Egypte n'est plus que l'ombre d'elle-même, la Syrie est détruite, la Tunisie s'écroule et le Yémen est à feu et à sang. Israël, la Turquie et l'Arabie saoudite ont pris le pouvoir dans la région. Rassasié, l'ogre américain peut maintenant s'en aller...

Quel bilan catastrophique pour l'humain ! Que de vies perdues, que d'enfants tués, que d'innocents blessés !

Comble de l'ironie, c'est Trump, Président Républicain qui finit par reconnaître publiquement que son prédécesseur - Républicain également - G.W. Bush a menti au monde entier lors du déclenchement de l'invasion de l'Irak de Saddam.

Pas sûr que cela serve Trump dans le cadre de la procédure de destitution dont il fait l'objet et pour laquelle il aura pourtant besoin du soutien de l'ensemble des....Républicains...

A lire 


Laurent Louis
9/10/19

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