देबीदीन सहाय
Inauguration o de la
Rue Débidine Sahaï à La Jaille/Fond Sarail,
Baie-Mahault
Arrivé dans les années 1880 de l'Inde du Nord, Sri Débidine Sahaï travailla d'abord à l'Habitation La Jaille à Baie-Mahault, puis à Sainte-Marie, Capesterre, et enfin comme cultivateur à Sarcelle, Goyave, où il devint propriétaire d'un espace "allant de la montagne à la mer", et où il repose.
देबीदीन सहाय
Avec Marie Tayé Nagouman, d'origine tamoule, qu'il épousa à Baie-Mahault en 1890, il eût 15 enfants, dont tous les Sahaï de Guadeloupe sont aujourd'hui les descendants.
A l'occasion de la fête le 11 novembre 2008, la Municipalité de Baie-Mahault a décidé d'honorer cet ancêtre Indien devenu guadeloupéen en nommant une Rue Débidine Sahaï à la Jaille.
देबीदीन सहाय
Tous les membres de la famille Sahaï, ainsi que leurs parents et amis, sont vivement et cordialement invités à participer à cette inauguration.
Rendez-vous le 11 novembre 2008, à partir de 10h devant la Mairie de Baie-Mahault.
La famille SAHAÏ
देबीदीन सहाय
Blog d'informations politiques, économiques, sociologiques et culturelles offrant une vision alternative du monde et des problèmes internationaux auxquels sont confrontés le monde.
vendredi 7 novembre 2008
lundi 3 novembre 2008
GUADELOUPE… L’ILLUSION DE LYDIA P. !!!
Le parcours que j’effectue depuis 2006 en Guadeloupe m’amène à un constat choquant... Plus de 80 000 logements ne répondent pas aux normes minimales de salubrité – de nombreuses familles en grande précarité notamment les personnes âgées. Le logement social habituel surenchère électorale. A l’approche des élections les débats politiciens sont non suivis d’actes créant désillusion à ceux qui écoutent leurs promesses….
Trop c’est trop !!!... dans un silence elle s’est éteinte à 61 ans… malgré tous ses appels à l’aide, au secours. Ses cris sont restés vains. Mais Pourquoi ? Lydia P. est morte dans une maison insalubre aux sus et à la vue de tous à Capesterre Belle Eau?
Eh oui ! Elle a crue Lydia P... Elle souhaitait seulement avoir un logement décent, un minimum pour vivre dignement avec le RMI et son petit jardin. Mais après le cyclone HUGO sa maison est détruite. Comme bon nombre de Guadeloupéens Lydia P. a eu un permis de construire en 1990 pour la construction d’un logement ABC. Hélas, cette maison a été enterrée délibérément dans un trou à l’habituée Capesterre Belle Eau…, construite de manière pratiquement pour récupérer toutes les eaux de pluie de la route…, risquant « noyade » et causant des maladies à Lydia P.
Peu importait aux Maires de savoir où quoi et comment était placé votre maison ! Il leur convenait de faire du chiffre sur le marché de logement juteux….
Surdité et ségrégation à outrance : fléaux moralement inacceptable et politiquement insoutenable!... Lydia P. mère de cinq enfants, n’était pas abandonnée de sa famille. Sa fille Clara, toujours présente à ses côtés, n’arrêta pas de supplier les autorités pour aider sa mère à réaliser son simple vœu un logement décent. A en croire les nombreuses sollicitations de vive voix et courriers adressés aux collectivités territoriales (région, conseil général et ville). Lydia P. fût-elle victime pour avoir, naïvement, dévoiler à la Guadeloupe son état de vie insalubre en ouvrant la porte de sa maison à une télévision locale ?
Lydia P. n’est pas un cas isolé. Des lots de désastres récurrents sont instaurés depuis des lustres et perdurent en Guadeloupe.
On est né pour mourir un jour. Mais Lydia P. a renoncé de croire à un demain prometteur « plutôt mourir que de continuer à vivre dans l’illusion, de ces suppliques des années durant aux chefs d’édilités en vue d’une simple aide pour un logement décent, disait elle». Ainsi, Lydia P. refusa de combattre, de se soigner et de s’alimenter. Chaque être humain demande à être compris, être considéré et être respecté. Lydia P. puisses-tu reposer en paix !...
Est-ce cela laisserons-nous aux futures générations ? La Guadeloupe : une passerelle financière, Sans investissement productif… macoutes, spéculateurs, prédateurs, spoliateurs et pratiques mafieuses sont légions. Seul l’apparence des choses de notre société compte sur le territoire!...
Une urgence absolue… Ne pas les soutenir et dire STOP. Il y va de la responsabilité de chaque guadeloupéen d’agir ensemble avec détermination.
A méditer « Le monde n’est pas difficile à cause de ceux qui font le mal mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire » Albert Einstein.
Doubout é fos …
Anne-Clémence VALENTIN
Secrétaire Générale de l’UDPR
(Union Démocratique Populaire Régionale)
a.valentin74@laposte.net
Trop c’est trop !!!... dans un silence elle s’est éteinte à 61 ans… malgré tous ses appels à l’aide, au secours. Ses cris sont restés vains. Mais Pourquoi ? Lydia P. est morte dans une maison insalubre aux sus et à la vue de tous à Capesterre Belle Eau?
Eh oui ! Elle a crue Lydia P... Elle souhaitait seulement avoir un logement décent, un minimum pour vivre dignement avec le RMI et son petit jardin. Mais après le cyclone HUGO sa maison est détruite. Comme bon nombre de Guadeloupéens Lydia P. a eu un permis de construire en 1990 pour la construction d’un logement ABC. Hélas, cette maison a été enterrée délibérément dans un trou à l’habituée Capesterre Belle Eau…, construite de manière pratiquement pour récupérer toutes les eaux de pluie de la route…, risquant « noyade » et causant des maladies à Lydia P.
Peu importait aux Maires de savoir où quoi et comment était placé votre maison ! Il leur convenait de faire du chiffre sur le marché de logement juteux….
Surdité et ségrégation à outrance : fléaux moralement inacceptable et politiquement insoutenable!... Lydia P. mère de cinq enfants, n’était pas abandonnée de sa famille. Sa fille Clara, toujours présente à ses côtés, n’arrêta pas de supplier les autorités pour aider sa mère à réaliser son simple vœu un logement décent. A en croire les nombreuses sollicitations de vive voix et courriers adressés aux collectivités territoriales (région, conseil général et ville). Lydia P. fût-elle victime pour avoir, naïvement, dévoiler à la Guadeloupe son état de vie insalubre en ouvrant la porte de sa maison à une télévision locale ?
Lydia P. n’est pas un cas isolé. Des lots de désastres récurrents sont instaurés depuis des lustres et perdurent en Guadeloupe.
On est né pour mourir un jour. Mais Lydia P. a renoncé de croire à un demain prometteur « plutôt mourir que de continuer à vivre dans l’illusion, de ces suppliques des années durant aux chefs d’édilités en vue d’une simple aide pour un logement décent, disait elle». Ainsi, Lydia P. refusa de combattre, de se soigner et de s’alimenter. Chaque être humain demande à être compris, être considéré et être respecté. Lydia P. puisses-tu reposer en paix !...
Est-ce cela laisserons-nous aux futures générations ? La Guadeloupe : une passerelle financière, Sans investissement productif… macoutes, spéculateurs, prédateurs, spoliateurs et pratiques mafieuses sont légions. Seul l’apparence des choses de notre société compte sur le territoire!...
Une urgence absolue… Ne pas les soutenir et dire STOP. Il y va de la responsabilité de chaque guadeloupéen d’agir ensemble avec détermination.
A méditer « Le monde n’est pas difficile à cause de ceux qui font le mal mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire » Albert Einstein.
Doubout é fos …
Anne-Clémence VALENTIN
Secrétaire Générale de l’UDPR
(Union Démocratique Populaire Régionale)
a.valentin74@laposte.net
dimanche 2 novembre 2008
REPERES : CITE-CINE-CLUB... un nouveau Ciné-club RFI à la Cité nationale de l'histoire de l'immigration !!
REPÈRES : cité-ciné-club
Coproduction Cité nationale de l’histoire de l’immigration – Radio France International
Tous les premiers mardi du mois de novembre 2008 à juillet 2009
Mardi 4 novembre : Face à l’État
LA BLESSURE de Nicolas Klotz et Elisabeth Perceval (France 2003, 160 min)
Avec : Noëlla Mobassa, Adama Doumbia, Matty Djambo
Distributeur : Shellac
Sur le tarmac de Roissy, un groupe de demandeurs d'asile tout juste débarqués de l'avion, est placé d'autorité en rétention dans une zone discrète de l'aéroport. Parmi eux Blandine. Elle s'échappe, blessée, lors d'une procédure d'expulsion .Réfugiée dans un squat aux fenêtres murées, auprès de son mari. Blandine plonge dans le silence.
Mardi 2 décembre : Terre d’accueil, France hostile
DUPONT-LAJOIE de Yves Boisset (1974, 101 min) NE PAS INDIQUER
Avec : Jean Carmet, Pierre Tornade, Isabelle Huppert
Un cafetier parisien passe ses vacances avec des amis dans un camping du Midi. Pris de folie, un soir, il viole et tue la fille d'un de ses amis et décide de faire porter son crime par un Maghrébin employé sur un chantier voisin. Une violente dénonciation du racisme.
PANTALASKAS de Paul Paviot (France 1959, 90 min, NB)
Avec : Daniel Emilfork, Julien Carette, Bernard Lajarrige
Manœuvre lituanien immigré, Pantalaskas est un géant placide qui ne parle pas un mot de français. Un soir, au retour du travail, il trouve sa chambre meublée, vidée et relouée. Par deux fois, il tente de se suicider et se rate alors que son propriétaire et deux de ses amis, font tout pour le garder en vie. Pendant toute une nuit, ils vont vivre une équipée inattendue.
Mardi 6 janvier : Ici et là-bas
DEPUIS QU’OTAR EST PARTI de Julie Bertuccelli (France 2002, 102 min)
Avec : Esther Gorintin, Diana Droukarova, Nino Khomasuridze
Distributeur : Haut et Court
Le portrait de trois femmes de générations différentes dans la Géorgie d'aujourd'hui. La grand-mère, la fille et petite fille vivent ensemble dans l’ombre d’un absent : Otar, le fils, exilé sans papiers à Paris.
Mardi 3 février : Lieux de vie
VIVRE AU PARADIS de Bourlem Guerdjou (France 1997, 90 min)
Avec Roshdy Zem, Fadila Belkebla, Omar Bekhaled
Distributeur : Tadrart Films – 3B production
En 1961, pendant la guerre d'Algérie, Lakhdar, ouvrier du bâtiment habite dans le bidonville de Nanterre où il a fait venir sa femme Nora et leurs enfants. Sans le savoir, ils vont se retrouver chacun d’un côté de la barrière, lui travaillant pour les marchands de sommeil, elle militant clandestinement pour le FLN.
Mardi 3 mars : Au travail
LE CRI DU COEUR de Idrissa Ouedraogo (Burkina Faso 1994, 86 min)
Avec : Richard Bohringer, Clémentine Célarié, Félicité Wouassi, Alex Descas
Distributeur : Cinéma Public Films
Mokhtar, un petit malien quitte son village, avec sa mère, pour rejoindre son père qui s’est enfin fait une situation, à Lyon. Son village et son grand-père lui manquent terriblement. Il a des hallucinations et se croit poursuivi par une hyène. Il faudra toute l’amitié , de Paulo, marginal pour que l’enfant surmonte ses peurs.
Mardi 7 avril : Enracinements
L’ARMÉE DU CRIME de Robert Guédiguian
Film en tournage (sélectionné si possibilité d’avant-première)
Mardi 5 mai : Diversité
L’ESQUIVE de Abdellatif Kechiche (France 2002, 117 min)
Avec : Osman Elkharraz, Sara Forestier, Sabrina Ouazani
Distributeur : Rezo Films
Abdelkrim, dit Krimo, quinze ans, vit dans une cité HLM de la banlieue parisienne. Il traîne son ennui dans la cité, en compagnie d’une bande de copains. Deux événements vont bouleverser sa vie : le théâtre et Lydia une copine de classe vive et malicieuse.
Mardi 2 juin : Religions
DANS LA VIE de Philippe Faucon (France 2007, 73 min)
Avec : Sabrina Ben Abdallah, Ariane Jacquot, Zohra Mouffok
Distributeur : Pyramide Distribution
Esther, handicapée et solitaire, a besoin d'une garde malade, en permanence. Mais elle ne les supporte pas jusqu’au jour Sélima, une jeune infirmière, propose les services de sa mère, Halima, musulmane pratiquante. Contre toute attente, une vraie complicité se crée entre ces deux femmes que tout sépare : religion, condition sociale, famille. Ensemble, elles vont retrouver le goût de vivre.
Mardi 7 juillet : Culture
LE GONE DU CHAABA de Christophe Ruggia (France 1997, 96 min)
Avec : Bouzid Negnoug, Nabil Ghalem, Galemalah Laggra
Distributeur : TF1
Dans les années soixante, une vingtaine de familles ont fui leur village algérien, poussées par la pauvreté ou la guerre pour se réfugier Chaaba, un bidonville français. Le film raconte leurs histoires et le destin d'Omar, neuf ans, déchiré entre ce petit morceau d'Algérie et la France.
Coproduction Cité nationale de l’histoire de l’immigration – Radio France International
Tous les premiers mardi du mois de novembre 2008 à juillet 2009
Mardi 4 novembre : Face à l’État
LA BLESSURE de Nicolas Klotz et Elisabeth Perceval (France 2003, 160 min)
Avec : Noëlla Mobassa, Adama Doumbia, Matty Djambo
Distributeur : Shellac
Sur le tarmac de Roissy, un groupe de demandeurs d'asile tout juste débarqués de l'avion, est placé d'autorité en rétention dans une zone discrète de l'aéroport. Parmi eux Blandine. Elle s'échappe, blessée, lors d'une procédure d'expulsion .Réfugiée dans un squat aux fenêtres murées, auprès de son mari. Blandine plonge dans le silence.
Mardi 2 décembre : Terre d’accueil, France hostile
DUPONT-LAJOIE de Yves Boisset (1974, 101 min) NE PAS INDIQUER
Avec : Jean Carmet, Pierre Tornade, Isabelle Huppert
Un cafetier parisien passe ses vacances avec des amis dans un camping du Midi. Pris de folie, un soir, il viole et tue la fille d'un de ses amis et décide de faire porter son crime par un Maghrébin employé sur un chantier voisin. Une violente dénonciation du racisme.
PANTALASKAS de Paul Paviot (France 1959, 90 min, NB)
Avec : Daniel Emilfork, Julien Carette, Bernard Lajarrige
Manœuvre lituanien immigré, Pantalaskas est un géant placide qui ne parle pas un mot de français. Un soir, au retour du travail, il trouve sa chambre meublée, vidée et relouée. Par deux fois, il tente de se suicider et se rate alors que son propriétaire et deux de ses amis, font tout pour le garder en vie. Pendant toute une nuit, ils vont vivre une équipée inattendue.
Mardi 6 janvier : Ici et là-bas
DEPUIS QU’OTAR EST PARTI de Julie Bertuccelli (France 2002, 102 min)
Avec : Esther Gorintin, Diana Droukarova, Nino Khomasuridze
Distributeur : Haut et Court
Le portrait de trois femmes de générations différentes dans la Géorgie d'aujourd'hui. La grand-mère, la fille et petite fille vivent ensemble dans l’ombre d’un absent : Otar, le fils, exilé sans papiers à Paris.
Mardi 3 février : Lieux de vie
VIVRE AU PARADIS de Bourlem Guerdjou (France 1997, 90 min)
Avec Roshdy Zem, Fadila Belkebla, Omar Bekhaled
Distributeur : Tadrart Films – 3B production
En 1961, pendant la guerre d'Algérie, Lakhdar, ouvrier du bâtiment habite dans le bidonville de Nanterre où il a fait venir sa femme Nora et leurs enfants. Sans le savoir, ils vont se retrouver chacun d’un côté de la barrière, lui travaillant pour les marchands de sommeil, elle militant clandestinement pour le FLN.
Mardi 3 mars : Au travail
LE CRI DU COEUR de Idrissa Ouedraogo (Burkina Faso 1994, 86 min)
Avec : Richard Bohringer, Clémentine Célarié, Félicité Wouassi, Alex Descas
Distributeur : Cinéma Public Films
Mokhtar, un petit malien quitte son village, avec sa mère, pour rejoindre son père qui s’est enfin fait une situation, à Lyon. Son village et son grand-père lui manquent terriblement. Il a des hallucinations et se croit poursuivi par une hyène. Il faudra toute l’amitié , de Paulo, marginal pour que l’enfant surmonte ses peurs.
Mardi 7 avril : Enracinements
L’ARMÉE DU CRIME de Robert Guédiguian
Film en tournage (sélectionné si possibilité d’avant-première)
Mardi 5 mai : Diversité
L’ESQUIVE de Abdellatif Kechiche (France 2002, 117 min)
Avec : Osman Elkharraz, Sara Forestier, Sabrina Ouazani
Distributeur : Rezo Films
Abdelkrim, dit Krimo, quinze ans, vit dans une cité HLM de la banlieue parisienne. Il traîne son ennui dans la cité, en compagnie d’une bande de copains. Deux événements vont bouleverser sa vie : le théâtre et Lydia une copine de classe vive et malicieuse.
Mardi 2 juin : Religions
DANS LA VIE de Philippe Faucon (France 2007, 73 min)
Avec : Sabrina Ben Abdallah, Ariane Jacquot, Zohra Mouffok
Distributeur : Pyramide Distribution
Esther, handicapée et solitaire, a besoin d'une garde malade, en permanence. Mais elle ne les supporte pas jusqu’au jour Sélima, une jeune infirmière, propose les services de sa mère, Halima, musulmane pratiquante. Contre toute attente, une vraie complicité se crée entre ces deux femmes que tout sépare : religion, condition sociale, famille. Ensemble, elles vont retrouver le goût de vivre.
Mardi 7 juillet : Culture
LE GONE DU CHAABA de Christophe Ruggia (France 1997, 96 min)
Avec : Bouzid Negnoug, Nabil Ghalem, Galemalah Laggra
Distributeur : TF1
Dans les années soixante, une vingtaine de familles ont fui leur village algérien, poussées par la pauvreté ou la guerre pour se réfugier Chaaba, un bidonville français. Le film raconte leurs histoires et le destin d'Omar, neuf ans, déchiré entre ce petit morceau d'Algérie et la France.
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