vendredi 21 février 2014

ET POURTANT...!


Et pourtant, ils nous reste tant de choses à faire, tant d'extraordinaires parmi celles-ci pour que dans la foulée, puissent être accomplies les plus ordinaires sans que dès lors, d'aucun ne puisse utiliser quelque prétexte de raison que ce soit, pour prétendre s'y opposer... Il nous reste tant de choses à découvrir, tant d'espaces et de mondes à conquérir, tant de saines ambitions à assouvir...

Par la définition même de ce qu'est le "civis", c'est-à-dire l'associé avec d'autres dans un "projet de cité", il n'y pas de réelle "civilisation" sans un projet commun de mieux devenir, sans la poursuite du "progrès", lequel n'est pas un état prédéfini, mais la quête permanente d'un mieux-être arbitraire, établi selon nos désirs exprimés, et selon ceux-là uniquement, auxquels ne peuvent pas venir se substituer les élucubrations délirantes de brêles maçonniques...

Nous laisser détourner de cette saine détermination, celle vers le progrès, serait donc refuser de nous considérer comme étant encore des êtres "civilisés", et voir parmi nous, la bête prédatrice supplanter l'homme socialisé...

Il y a donc urgence pour nous, pour que nous nous débarrassions au plus vite de cette équipe de mafieux et de malades mentaux qui, par la combine politico-médiatique et le soutien de nations étrangères hostiles à le nôtre, se sont emparés des rênes du pouvoir. Car, ces malfaisants ne savent nous proposer comme projet de société, que de consacrer une part de plus en plus grande de notre effort, pour payer les intérêts pour un endettement dans lequel ils ont des années durant, engagé la nation, et ce, pour le bénéfice de leurs commanditaires...

Il nous faut de toute urgence nous débarrasser de ces traitres, faire "défaut" sur cette dette devenue l'instrument d'une volonté véritablement esclavagiste, et reprendre le bon sens de la marche de notre humanité, celui du progrès, car il n'en va rien de moins que de la survie de toute une civilisation...

Richard pulvar

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