samedi 21 avril 2018

LES “CONVOYEURS” DE LA DESCENTE AUX ENFERS…




Dans la traite esclavagiste transatlantique, les “convoyeurs” étaient ceux des Africains qui, traitres à leurs peuples, constituaient et encadraient les convois de captifs pour les conduire vers les esclaveries où ceux-ci étaient alors négociés, avant d’être embarqués vers l’enfer des Amériques. Leurs descendants sont ceux des Africains d’aujourd’hui qui portent des noms espagnols ou portugais, alors qu’ils ne sont visiblement issus d’aucun métissage…

Serait-ce par le fait d’une sanction de la destinée, mais il se trouve qu’une des nations qui furent esclavagistes, aura vu ces dernières années apparaitre en son sein, trois convoyeurs sans morale et sans dignité, qui auront entrepris de former un convoi de la nation tout entière, pour qu’elle soit négociée entre ces nouveaux négriers que constituent les maitres du marchés, et les nouveaux planteurs que constituent les puissances financières occultes. Ceci, afin qu’elle soit esclavagée et exploitée à leur service, sans qu’il fut nécessaire pour autant de la transporter aux Amériques où siègent ces nouveaux esclavagistes, car ceux-ci ont décidé de faire du sol même de la nation, une gigantesque plantation.

Ces convoyeurs ont été formés par les nouveaux négriers, dans des écoles où il leur fut promis qu’ils échapperaient à la condition de leurs semblables, s’ils acceptaient de participer à les contraindre. Et, c’est par les techniques qu’ils y ont appris, qu’ils s’emploient à détruire toutes les structures de solidarité qui permettaient aux individus à faire front à l’exploitation, et pour de plus les déshumaniser, afin qu’il finissent par s’admettre comme étant des citoyens du commun, donc d’une race inférieure à celle de leur maitres technocrates…

Le parallèle entre ce qui se passe en ce moment en France, où une suite de trois convoyeurs tous issus du même sérail, et auxquels les négriers ont fourni les armes de la finance et de la manipulation politico-médiatique, pour qu’ils puissent soumettre les leurs, non par la violence physique, mais par la contrainte psychique, et qui ont engagé cette nation dans la voie d’une véritable descente aux enfers, avec ce que fut la traite esclavagiste transatlantique est absolument frappant…

Avec ceci cependant que les nouveaux esclavagistes ont compris toute la limite des techniques anciennes qui consistait à contraindre les esclaves par les chaines, les fers, et le fouet, dont la violence entretenaient cependant chez ceux-là, la pleine conscience de leur condition, et le désir secret de révolte, ce qui finira par se produire.

Désormais, les chaines n’entravent plus les corps, mais les cervelles, selon des arguments de raison qui conduisent les entravés à admettre leur condition et leur rôle dans cette société, comme relevant d’un ordre logique et incontestable des choses, soumettant la race des “perdants” dont manifestement ils relèvent, à celle des gagnants chéris des dieux.

Ce sont ces chaines qui ont permis aux nouveaux négriers, d’imposer au peuple les traitres à la nation qui se sont faits volontiers convoyeurs à leur service, en parvenant à les faire élire par ce peuple lui-même, en prétendant habillement l’élection de ceux-ci, comme étant le dernier rempart contre le fascisme, dont ils s’employaient alors à agiter le spectre… 
Les fers sont les dispositions légales et administratives telles que “état d’urgence”, censure du net, saisine du conseil d’état, ou d’autres dispositions d’exception, qui limitent la capacité des captifs à contester le système, à tenter de s’y soustraire ou pire, à tenter de semer les graines de la révolte…

Quant au fouet, il porte les noms de concurrence internationale et de dérèglementation, et il permet d’exiger toujours plus d’effort, toujours plus de renoncement au bien-être, en frappant dans leur intégrité sociale pour les pousser dans une “marge” d’exclusion et de désespérance, ceux des captifs qui n’auront pas voulu ou n’auront pas pu, se livrer à une concurrence effrénée des uns contres les autres, par laquelle ils ne pouvaient que se porter tort, les uns aux autres…

Bien-sûr il existe malgré tout quelques “blancs-marrons” tels que ceux de la Zad de Nantes, qui ont bien compris que la seule façon de s’évader de la plantation était de renoncer à son mode de vie, mais contre ceux-là, les négriers en sont revenus aux méthodes anciennes, ils leur ont envoyé les chiens et les chasseurs de prime…

Il est remarquable que parmi ces trois convoyeurs traitres à la nation, on en trouve un de droite, un de gauche, et un qui n’est ni de gauche ni de droite, ce qui prouve bien que nous n’avons pas à faire là, aux représentants d’une diversité de proposition politiques, puisque leur actions confinent au même désastre, mais bel et bien à des “agents” des services de puissances étrangères volontiers hostiles à la nôtre, et qui opèrent impunément sur le territoire national depuis des années, grâce aux “taupes” dont ils ont permis l’infiltration. Ceci, dans les hautes sphères de la finance, de l’administration, des différents partis politiques, et dans les médias…

La politique dictée par leurs maitres et menée contre ce pays par ces malfaisants aura eu pour conséquence évidentes pour tous :

Une régression économique, une régression sociale, une régression morale, un désastre budgétaire, une dévastation industrielle, un effondrement culturel, et un anéantissement diplomatique, pour qu’il ne demeure plus rien d’une souveraineté qui ne permettant pas la totale docilité des captifs, aurait été un empêchement au bon fonctionnement de la plantation.

Ce qui fait que les citoyens français demeurent généralement bien éloignés de se savoir dans une telle situation, c’est parce qu’ils pensent posséder encore la pleine liberté de leur jugement, alors que tous les éléments à partir desquels ils construisent ceux-là, et devant les informer des réalités de ce monde, ont été falsifiés depuis longtemps par les manipulateurs, et parce que les convoyeurs sont leurs frères de race qu’ils ne soupçonnent pas prêts à les trahir et à les vendre…

Or, ceux d’Afrique étaient également les frères de race de ceux dont ils ont fait le malheur, et la deuxième guerre mondiale à montré au Français que certains des leurs n’ont pas hésité à les trahir pour un plat de lentilles…
Richard Pulvar
21/04/18

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