mercredi 17 avril 2013

Pourquoi je suis opposé au mariage gay



Dans aucun de ces pays ont a voulu effacer les mots "père" et "mère" des actes d'état civil, ect....Qui a autorisé une minorité organisée à faire cela ? Il est normal que des parents se sentent agressés quand ils apprennent cela. Ce n'est pas le mariage en lui même, le détonateur... c'est la combinaison des concept LGBT qui a causé tout ces problème. Les français s'en foutent que deux homos aillent signer un bout de papier à la Mairie...

A force de refuser le débat au parlement, ils ont crée du conflictuel; quand on cherche à imposer sa vision du réel aux familles (une partie), il ne faut pas s'attendre à de la sympathie. Voici la liste des points de tensions :

1- Parent1/Parent2 à la place de père et mère, une insulte faite à la culture hétéro ;
2 - Association homo dans les écoles sans autorisation des parents ; 
3 - Droit de l'enfant d'avoir une mère et un père ;
4 - Enseignement de l'homosexualité dans les écoles contre l'avis des parents ;
5 - Volonté des parents de valoriser leurs modèle de vie hétérosexuel procréatif. 

Ironie du sort,  le mariage en lui-même a déjà été validé sur le plan moral par le PACS (un compromis moral et juridique). 

Le refus du mot mariage pour les homos est dû aussi à la particularité de la constitution française; en France le mariage relève du droit constitutionnel. Si la constitution est modifiée alors les LGBT seront en droit d'imposer la promotion de l'homosexualité dans tout les supports de cours scolaires. 

Ce qui commence à être fait en toute illégalité depuis plusieurs années et qui motives des plaintes d'association de parents d'élèves; plaintes qui donnent de plus en plus raison aux parents d'élèves devant un juge. 

Tout ces événements font ressortir finalement que les oppresseurs sont les LGBT plus que les familles hétérosexuels procréatives; voilà pourquoi la haine est profonde, lourde et que nous voyons maintenant une lame de fond "réactionnaire" (sans préjugé moral de ma part) changer la France par la province. 

Les cinq points évoqués plus haut aurait dû faire l'objet d'un débat sur une année pour dégager des solutions, des compromis et éliminer les phobies.

J-L A

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