Les langues se délient sur DSK. Ce matin, Libération consacre sa page 11 au "making of" du journal et en raconte les coulisses. Dans cet article, on peut apprendre par la bouche d'une journaliste que le quotidien avait décidé de ne jamais envoyer de femme seule interroger le patron du FMI. "A partir du moment où l'on ne peut pas envoyer une femme seule l'interviewer, c'est une forme de violence, un homme politique doit pouvoir se tenir !" Même son de cloche en… Australie. Une journaliste affirme dans un entretien à The Australian que DSK lui a proposé une interview en échange d'un "week-end avec lui à Paris ou ailleurs". Selon la journaliste, le directeur du FMI aurait obtenu son numéro de téléphone par son ambassade ou l'Institut Français et se serait montré "incroyablement insistant". De son côté, le quotidien suisse Le Temps, a dévoilé des témoignages d'anciennes collaboratrices de DSK mais également celui de la députée socialiste Aurélie Filippetti. Aujourd'hui porte-parole du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, elle a gardé un mauvais souvenir d'une tentative de drague "très lourde, très appuyée" de son camarade de parti DSK. Et elle affirme: "Depuis cet évènement, je me suis arrangée pour ne pas me retrouver seule avec lui dans un endroit fermé"
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