mardi 16 mars 2010

Pourquoi l’Afrique ne se développe pas

LA THESE DU COMPLOT CONTRE L’AFRIQUE.
Pourquoi l’Afrique ne se développe pas
ISBN : 978-2-296-11202-5, 318 pages.

Mesdames, Messieurs,
Chères amies et Chers amis,

Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication de notre nouveau livre intitulé : « La thèse du complot contre l’Afrique. Pourquoi l’Afrique ne se développe pas », Paris, L’Harmattan, mars 2010, 318 pages. Prix : 30 euros.

Si vous n’avez jamais su les raisons profondes pour lesquelles l’Afrique ne se développe pas et si vous souhaitez connaître les remèdes pour sortir l’Afrique de l’impasse, le politologue Fweley Diangitukwa vous donne tous les éléments de réponse dans ce livre magistral : Voici, à titre indicatif, quelques thèmes traités :

►Comment l’Europe occidentale contribua au sous-développement des pays d’Afrique. Parmi les facteurs externes du sous-développement, il faut souligner l’ignorance des mécanismes de production de la domination et de la pauvreté, les programmes scolaires qui ne répondent pas prioritairement aux besoins des Africains. L’Afrique a perdu ses industries traditionnelles là où la Chine les a gardées et modernisées. L’Afrique est géographiquement située loin de principaux centres financiers du monde.

►Parmi les causes historiques du sous-développement, il est à retenir : l’homme noir a été humilié et infériorisé au cours de l’histoire, l’esclave et la traite négrière ont duré plus de trois siècles et ont marqué profondément l’homme noir, l’histoire africaine été volontairement falsifiée par l’Occident alors qu’avant la colonisation, l’Afrique était un continent dynamique. Avec la colonisation, les Africains ont perdu ce qu’ils avaient de précieux et de sacré. Il y a, et on ne le dira jamais assez, le pillage systématique des richesses du continent par les firmes occidentales. L’Occident refuse de reconnaître ses cruautés et ses crimes commis en Afrique pour ne pas réparer ses fautes monstrueuses.

►Parmi les causes structurelles du sous-développement, il y a entre autres : une formation et une préparation insuffisantes des leaders au moment où les pays africains ont accédé à l’indépendance ; l’absence d’une accumulation de capital ; l’idéologie de la division internationale du travail défavorable à l’Afrique ; la convoitise du continent africain par tous les États puissants et par toutes les entreprises transnationales ; les investissements directs étrangers (IDE) ne contribuent pas au développement des pays africains ; l’Afrique se développe avec des langues d’emprunt qu’elle ne maîtrise guère ; l’absence de techniciens bien formés et de centres de recherche adaptés aux besoins des Africains ; les dirigeants des États africains sont devenus les représentants attitrés de la Françafrique et de la mafia internationale.

►Parmi les causes conjoncturelles du sous-développement, l’auteur avance : la dette étrangle les pays d’Afrique ; il y a la persistance de la monoculture ; l’Africain a perdu sa personnalité ; l’État importé en Afrique est inadapté ; l’Afrique souffre d’un excès de théories de développement ; l’Afrique est un continent encerclé et surveillé à partir de points stratégiques ; les frontières artificielles héritées de la colonisation n’ont pas réussi à créer des États-nations viables ; les droits de l’homme sont bafoués par ceux qui prétendent les défendre dans les assises internationales ; les institutions internationales défendent les intérêts des États puissants qui financent leur fonctionnement contre ceux des États faibles ; l’aide publique occidentale crée une dépendance avilissante en Afrique parce qu’elle participe au complot contre l’Afrique ; les banques occidentales refusent de coopérer pour restituer l’argent détourné par les hommes politiques africains.

►Dans le chapitre sur la corruption qui paralyse les caisses de l’État, l’auteur s’attarde sur l’impunité des cadres dirigeants qui est à l’origine de la grande corruption. Pour combattre la corruption, il faut lutter à la fois contre le corrupteur et contre le corrompu. La captation de l’État est la forme de corruption la plus subtile et la plus pernicieuse. Beaucoup de dirigeants africains assoiffés d’argent facile ne savent pas négocier.

►Quant à la thèse du complot, il faut dire que la presse occidentale participe au complot contre l’Afrique. La France refuse de poursuivre les tyrans africains avec lesquels elle a toujours collaboré. L’Afrique n’a pas de leçons de morale, de démocratie ou de bonne gouvernance à recevoir de l’Occident. Le G8 complote en secret pour planifier, contrôler et orienter les affaires du monde. Les chefs d’État des pays du Sud sont généralement choisis et soutenus par les réseaux mafieux du Nord. La Somalie est devenue le pays modèle du complot contre l’Afrique.

4ème page de couverture :
Les grandes puissances, qui tiennent les anciennes colonies en laisse comme des chiens de compagnie, freinent délibérément le développement des pays africains afin de les rendre fortement dépendants et de refuser ainsi toute concurrence. Le développement de l’Afrique est bloqué à cause de la division internationale du travail dans laquelle les pays africains sont contraints à produire et à vendre des matières premières sans valeur ajoutée. La transformation de ces matières premières est souvent faite à l’étranger et beaucoup de pays africains sont incapables d’acheter leurs propres produits après leur transformation.
Le complot contre l’Afrique consiste à affaiblir les États afin que les puissances étrangères et les firmes transnationales influencent négativement l’évolution de l’Afrique. Il consiste à « endormir » les Africains tout en faisant croire qu’on s’intéresse à eux afin de faciliter la soumission des hommes et l’exploitation des ressources naturelles car il est plus facile d’exploiter des femmes et des hommes qui ne sont pas fiers d’eux-mêmes. Ce complot s’explique également par la vente des armes démodées aux pays africains. Des armes qui ne servent pas à gagner une guerre mais à terroriser uniquement les populations pour asseoir des régimes tyranniques et pour s’enrichir rapidement et illicitement. Ce complot se manifeste concrètement dans le pillage des ressources naturelles et des produits agricoles comme le cacao, dans la manière de traiter l’information et de gérer les conflits armés (Darfour, RDC), ainsi que dans la destruction des langues nationales qui ont été supplantées par les langues coloniales. La mondialisation, telle qu’elle fonctionne, est au service de cette stratégie car elle s’emploie à favoriser l’affaiblissement des États africains. Le G8 et certaines organisations travaillent aussi dans le même sens.
C’est en refusant la reconduction des pactes coloniaux préjudiciables au développement du continent et en faisant d’autres choix qui privilégient le développement du continent tout en luttant contre les tyrans locaux que l’Afrique parviendra à décourager les stratèges occidentaux qui entretiennent astucieusement la sujétion des Africains.

Ce livre, dans lequel Fweley Diangitukwa déverse son amour infini pour l’Afrique, dérange profondément parce que la vérité y est dite ouvertement, sincèrement et directement, sans détour, sans recourir à la langue de bois. Ce livre va faire date dans la mesure où la prise de conscience des Africains ne sera plus la même. A partir de cette publication, il y aura un avant et un après complot contre l’Afrique.

Les associations et groupes qui souhaitent organiser un débat avec Fweley Diangitukwa sur les questions traités dans ce livre peuvent contacter directement l’auteur. Une tournée de débats aura lieu en France, en Suisse, en Belgique et en Grande-Bretagne mais aussi dans d’autres pays sur invitation. Si votre association est intéressée, veuillez le signaler, dès que possible, à l’auteur en lui envoyant un e-mail : afriquenouvelle@bluewin.ch
Merci pour votre intérêt !

« Le complot contre l’Afrique » est un livre fondamental dans lequel se trouvent des clés qui permettent de comprendre les raisons pour lesquelles l’Afrique ne développe pas.

Pour se procurer ce livre, veuillez contacter Mme Virginie ROBERT, éditions L’Harmattan, Tél. : 00 33 (0)1 40 46 79 23 ou vous adresser directement à l’auteur : afriquenouvelle@bluewin.ch ou aux éditions Afrique Nouvelle, case postale 112, 1806 Saint-Légier, Suisse ou encore adresser directement votre demande à une grande librairie de votre ville d’habitation en indiquant le numéro ISBN : 978-2-296-11202-5.


Les publications de l’auteur aux éditions L’Harmattan :

- « Les grandes puissances et le pétrole africain. Etats-Unis – Chine : une compétition larvée pour l’hégémonie planétaire », Paris, 2009, 200 pages
- Migrations internationales, codéveloppement et coopération décentralisée (essai), Paris, 2008, 290 pages. Préface de M. Mohamed Sahnoun, Ancien envoyé spécial du Secrétaire Général des Nations Unies dans la région des Grands Lacs.
- Les fraudes électorales. Comment on recolonise la RDC, Paris, 2007, 226 pages.
- Le règne du mensonge politique en RD Congo. Qui a tué L.-D. Kabila ?, Paris, 2006, 135 pages.
- Géopolitique, intégration régionale et mondialisation (essai), Paris, 2006, 319 pages.
- Qu’est-ce que le pouvoir ? (essai), Paris, 2004, 276 pages
- Pouvoir et clientélisme au Congo-Zaïre-RDC (essai), Paris, 2001, 308 pages.
- Qui gouverne le Zaïre ? La République des copains (essai), Paris, 1997, 337 pages. Préface de Jean-Claude Willame, ancien professeur à l’Université catholique de Louvain, Belgique.

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