vendredi 16 juillet 2010

Une journée estivale



Hier, le temps fut agréable nous n'avions pas ces chaleurs caniculaires connues ces derniers jours, interrompues par un intermède pluvieux et orageux les 13 et 14 juillet.

Les températures permettaient de flâner tranquillement dans la capitale, de déjeuner à la table d'un restaurant du Marais en regardant les juillettistes le pas ralenti se promener dans les rues, tout en dégustant des fruits de mer.

Dans le métro, la proximité aidant, c'est le décolleté des femmes qui attirait l'œil, j'ai pu m'apercevoir plus que d'habitude les soutiens avaient été remisés dans les armoires, puis en passant aux Halles voir que le jardin en partie en travaux, le reste des pelouses était envahi par la foule composée de gens multicolores et des amoureux s'affectionnant sur le gazon, d'autres en famille conversaient.

Le jour était tranquille, fleuri, il exhalait parfois des parfums de noix de coco, de vanille et des odeurs de femme.

Mais malheureusement, nous avons ces imbéciles de petits crétins (Noirs et Arabes) à l'agressivité exacerbée issus de la banlieue à faire n'importe quoi et dire n'importe quoi.

C'est la seule mauvaise note de la journée, ensoleillée avec des vents comme les alizés fraichissant l'air.

Le soir les boulevards étaient fluides, peu de monde dans les rues, mais les bars et cafés relativement fréquentés, les terrasses étaient achalandés.

Lors du souper dans un restaurant du 12 e, j'ai pu découvrir ce que c'était un Morito royal, je n'y ai pas goûté car je ne bois pas d'alcool, mais l'amie m'accompagnant m'a expliqué que c'était du champagne, du rhum, citron, feuille de menthe et des glaçons pillés.

Evariste Zephyrin





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