mercredi 14 mars 2012

Sarkozy/Hollande : le ticket gagnant du cartel bancaire


L’article 123 de Lisbonne interdit à la BCE ou à la banque de France d’acquérir directement des titres de dettes de l’Etat. Alors que la BCE refinance les banques privées à 1% celles-ci prêtent aux Etats à 3, 5 ou 10% lors de la création monétaire par monétisation directe de titres de dette publique.
A cause de cette règle imposée par les grands manitous européens qui ont le projet de faire sauter l’Etat-nation et ont obtenu que les dirigeants nationaux pactisent avec eux contre leur propre pays, la France a été contrainte d’emprunter plus de 1300 milliards d’euros pour payer les seuls intérêts de sa dette. Sans l’interdiction de financement direct de la Banque de France, notre dette publique, donc sans intérêts, serait inférieure à celle de 1980.
La dialectique hégélienne THESE (UMP) / ANTITHESE (PS) sous la houlette d’une même direction occulte
Aucun des deux principaux candidats de la démonocratie aux présidentielles de 2012 n’est favorable à une remise en question de cette mécanique infernale qui contraindra mathématiquement la France à une banqueroute. On sait déjà à quoi s’attendre avec le candidat Sarkozy (puisque c’est lui qui a fait ratifier ce traité des ennemis de la nation sans passer par le référendum), voilà la réponse du mondialiste Hollande qui prétend ne pas aimer les “riches” mais fera tout pour cajoler les très riches.

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