Les autorités syriennes étaient à la hauteur dans la gestion de la dernière crise qui pourrait déclencher un conflit régional déjà planifié par les occidentaux. Si Damas avait riposté à la provocation israélienne, les turques auraient lancé des opérations aériennes contre des positions de l'Armée Arabe Syrienne (les bases de défense aériennes, les rampes de lancement des missiles sol-sol déjà installés tout le long des frontières au nord). Les forces spéciales occidentales dans les autres pays arabes entourant la Syrie comme la Jordanie (où le Pentagone a déployé secrètement une équipe spéciale de 150 militaires), même en Turquie, le Liban (les usa ont installé un détachement Delta de leurs forces spéciales à Harissa juste au nord de Beyrouth, la capitale libanaise. Un poste d’observation idéal pour surveiller ou s’infiltrer en Syrie déployées pour une escalade de la guerre en Syrie d'après Georges Malbrunot, le reporter du Figaro sur son blog) auraient aussi intervenir en vue de s'emparer des armes que Damas obtenait dernièrement auprès des russes. Les autorités syriennes ont fait le bon choix de garder le sang-froid suite à cette agression. Il est question de penser à sécuriser tout son patrimoine militaire avant de s'engager dans un conflit d'envergure avec l'israel. Comme les iraniens ont parvenus à piéger l'un des appareils furtifs les plus sophistiqués au monde, le RQ-170, le drone de haute altitude américain, dont les secrets de la furtivité due à la composition de ses différentes parties, est maintenant dévoilés. Le chasseur "Qahir 313" que Téhéran dévoile est aussi furtif, fait sans aucun doute à base du modèle américain. La technologie militaire soviétique est un domaine flou pour le monde occidental, c'est pourquoi, on cherche à veine à faire la guerre en Syrie.
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