L'affaire commence en 1990, elle fut dénoncée en 1993, et nous pouvions penser que depuis cette date, les choses étaient rentrées dans l'ordre... Mais des événements récent au Kenya semblent montrer qu'il n'en est rien...
C'est en 1990 que l'Organisation Mondiale de la santé, l'OMS, agence des Nations Unies, entreprend des campagnes de vaccination contre le tétanos, dans plusieurs pays du tiers monde, avec ceci que les vaccins contenaient délibérément un agent contre la fertilité, laissant supposer une volonté criminelle et anonyme, de limiter par ce moyen, la natalité dans ces pays ...
C'est curieusement un organisme de l'église catholique au Mexique, le comité Pro Vida, qui met en lumière ce problème. Ce comité fut alerté par une forte augmentation du nombre des avortements qui se produisaient au Mexique, et après son enquête, constatait que les femmes qui avaient avorté ne l'avaient pas désiré. Il semblait dont n'y avoir là, qu'un problème de santé publique.
Cependant, leurs soupçons quant à ce problème se sont portés assez vite sur la campagne de vaccination contre le tétanos que l'OMS avait opéré dans ce pays quelques mois auparavant. Ceci, parce qu'en enquêtant, ils ont découvert que seules les femmes entre 15 et 45 ans avaient été vaccinées, mais ni les hommes ni les enfants. D'autre part, ces femmes avaient reçu trois injections espacées de quelques semaines, alors qu'habituellement, une seule injection suffit à assurer une protection pendant au moins 10 ans...
Ces gens de Pro Vida ont donc fait analyser quelques échantillons des vaccins et ont découvert qu'ils contenaient un agent HCG, qui est une hormone produite naturellement par les femmes et qui leur permet de maintenir leur grossesse. Mais, lorsque cette hormone se trouve en présence d'une toxine du tétanos, cette situation provoque la production par l'organisme, d'anticorps contre justement le HCG. Ceci, de sorte que les femmes se trouvent dans l'incapacité de mener leur grossesse à terme, et avortent...
Des plaintes ont donc été déposées par différentes associations contre l'OMS, mais celle-ci s'est défendue en disant que tout cela n'était qu'une campagne mal orientée contre elle, d'associations contre l'avortement, et de l'église catholique.
L'autre partie de la défausse fut de laisser croire ensuite à une simple erreur scientifique, car le HCG a justement pour fonction de maintenir la grossesse des femmes, et il pouvait sembler judicieux de doper le vaccin en HCG, selon un programme de recherche qui fut d'ailleurs très coûteux, et qui avait pour but officiel de protéger les femmes du tiers monde durant la période de leur grossesse...
Il faut cependant noter que le HCG est précisément l'agent qui se trouve mis en oeuvre dans les vaccins anti-fertilité dont le développement est financé par la fondation Rockfeller, et qui avait pour but de se substituer, bien sûr pour les femmes qui le désiraient, aux méthodes contraceptives habituelles, jugées problématiques et incertaines, voire contraires aux moeurs, dans certains pays...
Il est donc tout à fait douteux que retrouver le même agent dans des vaccins contre le tétanos, puisse relever simplement d'une mauvaise idée, d'une l'erreur scientifique...
Ces vaccins ont donc fait des ravages au Brésil, au Mexique, au Nicaragua, et aux Philippines, là où les premières campagne ont été menées, et il est remarquable que les gouvernements eux, n'ont pas porté plainte. Ceci se comprend quant on sait que quasiment tous les experts pouvant traiter de ces questions, se trouvent sous contrat avec les grandes sociétés de l'industrie pharmaceutique et surtout, que ceux de ces experts qui se trouvaient délégués auprès des gouvernements, ont donné leur accord pour ces campagnes de vaccination, ce que l'OMS ne pouvait pratiquer sans leur autorisation...
On aurait pu croire cela fini, mais voici qu'aujourd'hui, ce sont des médecins kényans, suspicieux eux aussi et qui ayant fait analyser des vaccins contre le tétanos fournis par l'OMS, ont constaté qu'ils étaient porteurs positif de l'antigène HCG...
la malfaisance de ces gens n'a pas de limite, leur capacité destructrice non plus, soyons bien conscients de ce dont ils sont capables...
Richard Pulvar
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