Comment pourrait-il se produire les profonds changements qu’avec à la fois lassitude et impatience, tout le monde espère voir se produire dans l’actuelle société française, sans qu’il ne se produise corrélativement une altération de ce qui constitue, pour autant bien sûr qu’on puisse à peu près l’identifier selon des caractères généraux tels que sa couleur blanche, la race d’origine des Français...?
D’où pourrait bien venir cette capacité au changement...?
Nous pouvons formuler cette question autrement en demandant comment les choses pourraient-elles devenir “autres”, sans justement rien d’autre...?
Il est pourtant manifeste que depuis quelque temps déjà, et même bien trop longtemps, absolument rien ne bouge dans ce pays totalement anesthésié et, sur la durée, ce simple constat permet d’entrevoir qu’à l’origine de cet immobilisme que tout le monde déplore, c’est probablement quelque chose de fondamental concernant les dispositions selon lesquelles s’établit normalement le “dynamisme d’une nation”, et par là sa capacité au changement, qui en ce moment se trouve en insuffisance. Ceci aurait du alerter depuis longtemps les citoyens de ce pays pour qu’ils tentent de comprendre, et c’est tout de même la moindre des choses, ce qui leur arrive...!
Or, il n’en est rien, ils n’ont même plus la capacité à tenter de comprendre ce qui, depuis leur grandeur du passé, les a rendu à ce point velléitaires. Et ceci, alors que le simple constat du vieillissement graduel et constant de la population du pays, dont ils se moquent tous royalement en se persuadant aveuglément qu’il leur sera toujours possible de faire avec, ce qui est totalement faux car telle est justement là, l’origine de toutes les difficultés qui étreignent ce pays, aurait du mettre depuis longtemps ces citoyens en voie de comprendre le dysfonctionnement aux conséquences sans appel, qui les frappe collectivement...
Car, on peut bien se raconter ce que l’on veut et s’offrir toutes les excuses de crétins pour tenter de justifier une défaillance sociale dont on ignore la cause, mais lorsqu’un peuple manque de faire en heure et en quantité suffisante, les enfants qui lui sont nécessaires pour qu’il ne sombre pas dans une vieillerie totalement handicapante, il ne s’agit là ni de quelque chose d’anodin, ni le simple effet d’une mode passagère.
En fait, ceci signifie clairement que ce peuple a tout simplement perdu une “capacité”, et c’est précisément cette perte de capacité aux multiples implications qui s’est traduite, non seulement par la modification des mœurs qui va priver les citoyens du goût d’avoir davantage d’enfants, ce que tout le monde évoque, mais également par une baisse effective de la fertilité des couples, sujet dramatique qui quant à lui demeure d’autant plus tabou, que les personnels de la santé n’en possèdent pas d’explication. Ces deux carences, sociologique et biologique, ont alors conduit à la dramatique dénatalité que le pays a connue.
Et qu’on ne se rassure pas en affichant crânement le taux de fécondité flatteur mais trompeur de 2,1 enfants par femme, en manquant de remarquer que même s’il est un des plus élevés d’Europe, il demeure malgré tout un brin insuffisant puisqu’il faudrait qu’il soit pour le moins de 2,2, qu’il était dans les années soixante, à cette époque enthousiaste et optimiste dite des trente glorieuses, de 2,6, et qu’il s’est ensuite trainé au plus bas, à 1,6, des années durant. Car, si aujourd’hui il tend à se rétablir, c’est parce qu’il se traduit pour une part essentielle par des enfants issus de l’immigration, ce que tout le monde dans ce pays veut absolument taire, alors qu’il suffit de jeter un regard autour de soi pour en faire le simple constat...
C’est donc, même si certains ne veulent le reconnaitre, par cet apport de “sang neuf” que s’opère le rétablissement du dynamisme “biologique” de la nation. Mais, ce que bien peu de gens dans ce pays sont disposés à comprendre et à admettre, c’est que corrélativement, ce n’est qu’à la faveur de ce nouvel apport, et simplement parce que cela ne peut être par rien d’autre, et dès lors que des dispositions afin de son intégration seront prises pour le positiver, que pourra s’opérer le rétablissement du dynamisme “sociologique” de celle-ci, en ouvrant ainsi et enfin la voie à sa profonde et impérative rénovation, celle que tout le monde attend...
Les racistes de tous bords, et pas seulement les blancs, parce que malheureusement il y en a tout autant sinon plus chez les nègres, ne manquent pas une occasion de faire étalage de leur pauvreté d’esprit et de leur illettrisme. Et on demeure totalement atterré de constater que malgré tout le luxe de moyens documentaires dont nous pouvons disposer aujourd’hui, ces gens conservent une mentalité totalement archaïque qui traduit le fait qu’il ne se sont offert à aucun moment de profiter de ces moyens, pour accéder à la compréhension des choses.
Pour ces attardés, il n’y a d’explication quant à la félicité d’une nation, que par la race à laquelle appartient sa population. Ainsi, celle qui aura développé une brillante civilisation sera réputée chez ces gens comme étant une race supérieure, et celle qui n’aura à ce jour rien encore manifesté d’exceptionnel, sera jugée comme étant une race inférieure d’incapables.
En fait, ce que ces gens manquent de comprendre dès le départ, c’est que les grandes civilisations possèdent à la fois leur “endroit”, et leur “instant”, et ceux là seulement, et c’est ainsi qu’une grande civilisation comme par exemple celle de l’Egypte ancienne, telle qu’elle fut dans sa magnificence, accomplie entre lotus et papyrus, n’a pu prendre naissance qu’en cet endroit, et bien sûr qu’à cette période de l’histoire.
Ceci pour dire que les grandes civilisations sont logiquement distribuées tout à la fois, dans le temps, et dans des espaces avec les races des populations qui alors les occupent, selon ce temps, de sorte que chaque race selon sa contrée, possède son instant de faveur historique, qu’il soit alors par rapport à nous, du passé, du présent, mais bien sûr également, et c’est sur ce dernier point qu’il nous faut être attentif, de “l’avenir”.
Ceci signifie que ce n’est pas parce que les Grecs constituaient une race inférieure à celle des Egyptiens, qu’ils étaient encore si arriérés du temps où s’élevaient déjà en Egypte, d’audacieuses pyramides, mais tout simplement parce que leur heure n’était pas encore venue selon la logique de l’Histoire, et nous savons que cette heure viendra, puisque un de ces Grecs s’en viendra soumettre l’Egypte, et que son successeur se fera couronner pharaon d’Egypte.
De la même façon, ce n’est pas parce que les Germains constituaient une race inférieure à celle des Romains, qu’ils croupissaient encore dans les brumes des épaisses forêts de la Germanie, à l’heure même où à Rome fleurissaient les temples et les théâtres, et où les Romains se passionnaient pour les jeux du cirque, mais tout simplement parce que leur heure n’était pas encore venue. Et nous savons qu’elle viendra, puisque ces Germains s’en viendront saccager Rome, et que quelques temps plus tard, un des leurs se rendra pourtant jusque là-bas, pour se faire sacrer empereur des Romains.
Ainsi, ce n’est pas parce qu’à l’heure des Européens, laquelle semble déjà se terminer, bien des peuples du sud semblent ne pas avoir encore produit, ce qui signifie tout simplement que selon la logique de l’Histoire, leur heure n’est pas encore venue, qu’il s’agit de races inférieures et incapables et toute la sottise de ces racistes consiste à procéder à un recensement des seules civilisations du passées qu’ils connaissent, plus le constat de celles d’aujourd’hui, pour prétendre établir à partir de cela une hiérarchie entre les races, et qui bien sûr établirait la leur comme étant supérieure aux autres.
Tous ces gens font comme si la grande aventure de notre humanité à travers les siècles était achevée, et que nous étions donc en situation d’en faire le bilan et d’établir par cela un classement, alors qu’il doit être bien clair pour nous tous que, sauf cataclysme planétaire qui éliminerait d’un coup définitivement toute notre espèce, pour l’essentiel, les plus grandes et les plus fastueuses des civilisations de l’histoire de notre humanité sont encore à ce jour tout simplement logiquement “à venir”, et qu’à leurs occasions, bien des peuples qui aujourd’hui semblent insignifiants, se révéleront...
Notre difficulté dans cette affaire, c’est que si l’intégration ne se fait pas correctement en France et que ce pays demeure privé à cause de cela de sa seule chance de rénovation, c’est parce qu’ils sont encore légions ici les racistes attardés qui demeurent intimement convaincus que le nombre grandissant de citoyens appartenant à des races d’hommes différentes de la leur et que bien sûr, sans jamais l’avouer, ils jugent secrètement comme étant inférieure, ne peut avoir mécaniquement pour effet que d’affaiblir la capacité de la nation à tenter l’excellence.
Leur raisonnement consiste alors à dire que puisque la race d’origine des Français a produit la magnifique civilisation que l’on sait, il importe au plus haut point de la préserver de toute “altération”, pour que puisse être conservée intacte sa capacité créatrice, et ce, alors que de toute évidence, comme nous pouvons le constater par la façon désolante dont les choses désormais se passent dans ce pays, cette fameuse race des Français ne possède justement plus rien de la fantastique capacité qui la fit exercer avec tant bonheur des siècles durant...
C’est là, concernant précisément la capacité d’un peuple à exercer positivement que les racistes, seraient-ils de bonne fois, sont totalement hors du coup, en faisant d’un caractère qui est strictement réductible à la “physique des individus” c’est-à-dire leur génétique, un caractère de la “métaphysique de leur collectivité”, ce qui n’a aucun sens.
Car, s’il y eut effectivement en ces siècles de sa splendeur, indéniablement quelque chose de supérieur dans le fait européen, qui lui permit de s’imposer sur toute la planète, ce fut une supériorité “sociologique”, autrement dit “culturelle et occasionnelle”, principalement sous-tendue par le christianisme qui curieusement, n’est justement pas d’origine européenne, mais certainement pas une supériorité “biologique”, autrement dit “naturelle et pérenne”, qui serait liée à une génétique prétendument supérieure des hommes blancs.
Car, la diversité des races de notre humanité, dont quelques "culculs" exaltés par soucis de combattre le racisme, vont jusqu’à en contester stupidement la réalité en proclamant sans rire, qu’absolument rien ne différencie le Suédois du Pygmée et qu’en les croisant dans la rue, on ne serait pas en mesure de les identifier, ne forment qu’une seule et unique espèce “homo”.
Il est temps de sortir de cette sottise “bienpensante”, car ce n’est pas par l’incohérence qu’on parviendra à lutter efficacement contre le racisme, bien au contraire. Les races existent bel et bien et sont évidentes, tant il est vrai que le Martiniquais présente un autre aspect que le Japonais, et que le Suédois présente un autre aspect que le Pygmée, et même s’il faut bien sûr éviter de donner au fait de ces races des significations qu’il n’a pas, convenons de désigner ces différences indéniables d’aspects, et puisqu’il faut bien les identifier, comme étant tout simplement des différences de races, ainsi qu’on le comprend depuis des lustres...
Toute la confusion dans cette affaire résulte du fait que la notion de race telle que nous en avons l’évidence, ne relève pas du “génotype”, autrement dit de la génétique des individus, selon ce qui serait alors un caractère “qualitatif”, mais du “phénotype” c’est à dire de différentes combinaisons de gènes, dont les implications sont quant à elles “quantitatives”. Ceci, de sorte qu’il ne s’agit finalement en ce que nous percevons comme étant la race, de rien d’autre que du “degré d’accentuation” selon différentes catégories d’individus, de caractères qui quant à eux sont communs à notre humanité tout entière, selon son espèce unique “homo”.
Ceci fait que la notion “phénotypique” de race ne possède justement pas de pertinence génétique, et que prétendre établir une hiérarchie “qualitative” entre les races comme le font les racistes, en prétendant certaines mieux dotées par la nature que d’autres n’a absolument aucun fondement.
Cependant, ces différences “quantitatives” d’accentuation des caractères selon le phénotype, conduisent à des différences de “sensibilité” selon les races, et particulièrement selon qu’elles aient plus ou moins de mélanine dans la peau et dans le cerveau, de sorte que les différentes races d’hommes ont fait tout autour de notre planète, des “choix culturels” qui d’évidence sont différents. Mais, ceci ne traduit en rien des différences de “capacité”, telles que certaines seraient plus capables que d’autres et comme on le voit, cette affaire se situe logiquement et exclusivement, au niveau “culturel”, puisque nous parlons précisément de “civilisation”, et certainement pas au niveau des capacités biologiques des individus. Ceci, étant bien entendu que quelle que soit sa race, aucun individu ne nait avec ce qui deviendra son bagage culturel qu’il lui reste à acquérir, aussi magnifique que pourrait être son génome.
Nous avons d’ailleurs à ce sujet, une illustration du caractère strictement “culturel” et certainement pas biologique de ce qui fut la “supériorité européenne”, dans le fait que les Asiatiques qui ont fait largement acquisition de données culturelles européennes dont ils ont fait maintenant les leurs, s’en viennent aujourd’hui faire une concurrence terrible à ce mêmes Européens, à l’aide de tout le bagage culturel qu’ils ont hérité d’eux. Et il est manifeste que la race que certains voudraient supérieure des Européens, et qui paradoxalement a elle-même abandonné et tel est bien son drame, beaucoup de ces éléments culturels tels que “l’exigence” qui fut si longtemps la sienne, ne parvient plus à faire face à ses élèves.
Si donc il est logique et légitime de se battre pour préserver des acquis culturels, se crisper avec une telle rage dans une attitude totalement obsédée de “protection de la race”, c’est-à-dire de la blanche, comme cela se fait actuellement dans ce pays de France, ceci dans un climat d’une puanteur raciste qui commence à provoquer des écœurements dans le monde entier, est non seulement totalement idiot dans le principe, vain dans la finalité, mais surtout, totalement malsain et terriblement pénalisant, dans la réalité...
Car, toute la subtilité de cette affaire réside dans le fait que si les nations européennes ont pu développer cette belle civilisation, c’est grâce à des capacités “sociologiques” et non pas biologiques, qui furent établies lors de leurs différentes constitutions, lesquelles en leurs différents endroits, ont résulté de la rencontre qui fut presque toujours conflictuelle, d’ethnies au départ différentes, et qui vont sur la durée se fondre en un même peuple.
Ainsi en fut-il de la rencontre des Hellènes avec les Pélasges, des Latins avec les Etrusques, et pour ce qui concerne la France, de ces deux éléments fondateurs que furent l’invasion de la Gaule par les Romains, et l’invasion de la Gaule gallo-romaine par les Francs, suivis plus tard par les Bretons, les Maures, et les Normands, puis par les migrants...
Ce n’est qu’à l’occasion de tels événements que s’établit la “capacité sociologique” d’un peuple, selon des dispositions qui résultent de la constitution de rapports contradictoires entre des catégories différentes d’individus, lesquels rapports transcendent donc la “physique” de ces individus, en constituant une “métaphysique” établissant “l’intentionnalité” du groupe. Ceci, étant entendu que l’intention qui détermine un individu n’est évidemment pas réductible à sa singularité, et qu’elle s’établit selon le principe que rappelait le sage Egyptien disant :
“ Rien n’agit qui ne soit composé...”
Il ne s’agit alors appliqué à la sociologie, que de ce que nous connaissons aujourd’hui en physique comme étant le “second principe de la thermodynamique”, et qui établit qu’il faut qu’il y ait absolument “différence”, qu’il s’agisse alors de hauteur, de température, de charge, de pression, ou autre, pour qu’il puisse y avoir “dynamisme”...
C’est donc clairement de la constitution d’un peuple à partir d’éléments qui au départ sont différents, avant qu’ils ne se fondent en lui-même, et par la suite, et c’est là que se situe le problème français et plus largement européen, de son nécessaire “entretien permanent” au fil du temps avec des apports exogènes, que dépend son dynamisme...
Car le problème c’est qu’une fois établie cette “capacité” et que les peuples en usent, et bien elle s’use tout simplement...!
Tout l’aveuglement des racistes blancs européens, c’est de croire encore jusqu’à notre époque, que la capacité dont ils ont usé pendant des siècles, était fondamentalement liée à leur génétique, ce qui est complètement idiot, et que dès lors qu’ils demeureraient toujours blancs, il pourraient continuer à “user” sans fin d’une capacité qui curieusement, serait “inusable”…!
Il est temps de sortir de tout cet amas de sottises et comprendre le plus simplement du monde, qu’en aucune circonstance nous ne saurions “user” de quoi que ce soit “d’inusable”, que tout ce dont nous usons, serait-ce la capacité sociologique d’un peuple, fatalement s’use. Comprenons dès lors que ce qui frappe aujourd’hui ces Européens qui constatent pourtant bien leur totale incapacité à régler quelque problème que ce soit, mais qui ne comprennent absolument rien à ce qui leur arrive, c’est que pour autant qu’ils ont justement usé avec un tel succès des siècles durant des capacités selon lesquelles il s’étaient trouvés établis, pour avoir manqué à cause de leur nombrilisme raciste et méprisant, de s’être “ entre-tenus”, c’est-à-dire clairement maintenus selon un rapport favorable avec d’autres qu’eux, ils sont aujourd’hui totalement “ à vide” de capacité.
On ne comprendra d’ailleurs absolument rien à “l’avidité” furieuse dans laquelle à totalement sombré tout ce continent, avec tous les problèmes monétaires et financiers dus au champ libre accordé à la prédation sociale, à la loi des plus forts, et au chacun pour soi, si on manque de remarquer que ces comportements sont logiques du fait que ces Européens sont tout simplement bêtement tombés sans s’en apercevoir, en “panne sèche” d’intentionnalité, et qu’ils sont privés de ce qui pourrait sous-tendre chez eux une action socialement positive. Dès lors, il n’y a plus que les nécessités matérielles de “l’animalité” qui constitue en contradiction de son “humanité”, l’autre aspect de l’humain, pour les faire agir...
Sans vouloir être injurieux ni inconvenant, ceci signifie que selon la logique même des choses et corrélativement à sa riche histoire au cours de laquelle elle s’est beaucoup “dépensée”, la race des européens est comme nous le constatons aujourd’hui une race vieillie et fatiguée, à la capacité usée, ce qui se traduit d’une façon spectaculaire par sa dénatalité, et elle ne pourra retrouver de la capacité et se dynamiser à nouveau, qu’en “s’entretenant” avec d’autres.
Or, au milieu de tout cela, la France est la nation européenne qui possède et de loin la plus grande diversité sociologique de sorte qui si sa population se constituait en une véritable société, par une “conjugaison” positive de ses différentes composantes raciales, c’est-à-dire par le fait que celles-ci “s’obligent”(joug), les unes envers les autres selon un projet commun de société qui mettrait ses “contradictions dynamiques” à profit, elle ne manquerait pas par une forte “intentionnalité” ainsi reconstituée, de redevenir une très puissante nation.
Mais le racisme décomplexé et triomphant qui s’est abattu sur cette nation, en étant constamment exploité par la classe dirigeante, et qui proclame que l’autre dans son état, constitue un dommage pour la nation, alors même que s’il se trouve dans cet état, c’est parce qu’il ne se produit plus aucun “entretien” dans cette société française, nous éloigne de cette réalisation...
Il serait temps de songer à reconstruire une société française, en se libérant une bonne fois de ces obsessions malsaines, archaïques, et totalement imbéciles, d’exclusivité raciale...
Paris, le 22 octobre 2013
Richard Pulvar