Les derniers relents de Noël, qui cette année en raison du climat social, nous avons eu un Noël qui ne ressemblait pas vraiment à Noël, quoique dans ma ville des efforts ont été réalisés pour enjoliver ce Noël et le rendre visuellement attrayant, mais bon l'humeur n'y était pas, vu que la population est au prise avec d'immenses difficultés, du mal vivre, aux grèves de transport et devant faire face aussi à un gouvernement qui oeuvre que pour les plus nantis et les plus argentés de la société.
Evariste Zephyrin
Selon les termes du Tweet de la Présidence du Nigeria, je retiens que l' ECO sera normalement la devise de la CEDEAO et non de l' UEMOA. Le Président OUATARA mandaté de négocier le retrait des pays francophones Ouest- Africains de leur union monétaire avec la France et l' Union Européenne a rendu compte au Président BUHARI du soutien de la France que les pays de l' union (union monétaire CFA) sont libres de quitter cette union pour se joindre à l' ECO. Ceci est un désaveu cinglant à Ouatara-Macron.
Du coup l' UEMOA ne peut s' approprier du nom ECO qui est une propriété de la CEDEAO. Elle devra pour éviter un litige trouver un autre nom pour le CFA réformé en vue.
Nous les Ouest-Africains sans distinction devrons si la France et OUATARA s' obstinent demander à la CEDEAO d' ester en justice pour usurpation de marque déposée l' ECO, une propriété de la CEDEAO. Cela ne résoudra pas le problème de notre lutte pour une autonomie monétaire mais cela pousserait les usurpateurs à abandonner leur projet. Félicitations à la Présidence du Nigeria pour ce Tweet qui nous edifie.
Félix AYIKA 12.28.19
Je ne suis de ce pays, cependant j'aimerai en ressentir la pulsation, comprendre son sens et prendre le pouls de cette terre qui assoie ses vallées entre lacs et montagnes.
Ce pays semble rude, la terre quelque peu ingrate peine à nourrir son homme, l'eau abonde et l'humidité enveloppe presque tout, et pourtant son peuple s'avère amène et avenant, ne manifestant aucune hostilité à mon égard, peut-être une égale indifférence de ces montagnards qui se construisirent dans les âpretés de leur existence, des duretés du climat et de l'a-pic des montagnes; toutefois ces gens restent cordiaux, mais là où l'on s'attend à trouver la chaleur méditerranéenne, c'est la froideur des peuples du nord que l'on reçoit, cette distance qu'ils instaurent, des gens qui ne se touchent ni ne s'embrassent.
Ils furent confrontés au cours de leur histoire aux agressions de leurs puissants voisins, aux envahissements dont celui des Huns, et des siècles de soumission, de vassalité tant aux Milanais qu'aux Suisses. Ce peuple a développé une manière propre d'être eux-mêmes, on pourrait croire qu'ils se suffisent à eux-mêmes, mais ce pays est entre deux affirmations, il n'est ni vraiment suisse, ni vraiment italien, c'est un pays qui se cherche une destinée.
Suite : En verdure et en lumière recevons Noël
Le haut-commissaire aux retraites avait "oublié" de déclarer ce lien d'intérêt avec le monde des assurances, favorable à sa réforme... pas vu, pas pris ? Et si le but de cette réforme était en réalité de nous contraindre à financer nous-mêmes notre retraite avec nos fonds privés via les assurances... une réforme copains / coquins...
S. Saint-Aimé
Prendre le risque de voir encore des soldats français se faire tuer dans des opérations militaires qui officiellement du moins, sont menées afin de protéger des nations dont les populations, de bonne ou mauvaise foi, accusent la France de soutenir leurs ennemis, est une situation insoutenable pour le président de la république comme pour la France elle-même…
Dans la mesure où ces accusations sont proférées par des personnalités en vue, de ces nations et même, par certains membres des appareils d’état, ceci nécessite une clarification de la part de leurs dirigeants qui dans les faits, et même s’il est évident que la défense des intérêts français a pesé dans la décision, ont bien demandé cette intervention de l’armée française dans le cadre d’accords de défense, à l’heure où plusieurs organisations clandestines menaçaient l’intégrité de leurs territoires…
Dans ce sens, les présidents des cinq nations africaines qui participent à l’organisation de coopérations économique et militaire dite G5 Sahel, ont été convoqués en France, ce qui a déclenché une vague de mécontentement dans les populations qui ont vécu cette démarche pourtant parfaitement logique, comme une assignation, afin de lever toute ambiguïté, au moins au niveau des responsables, quant aux missions qu’ils espèrent voir accomplies par l’armée française dans cette région…
L’opération ne sera pas simple du point de vue diplomatique, mais il serait souhaitable que le chef de l’état saisisse très opportunément, voir en en exagérant la réalité, la contestation de l’engagement français par les opinions publiques africaines, pour précisément se dégager de ce guêpier dans lequel l’armée s’est trouvée fourvoyée, dans une guerre asymétrique qui comme telle, ne peut être ni gagnée ni perdue, mais dont les coûts humains et financiers ne manqueront pas de devenir de plus en plus élevés, dans une confrontation sans fin et dont la nation en subira en fin de compte bien plus de dommage qu’elle n’en tirera de profit…
Bien-sûr, ceci sera un coup très dur porté à ces nations qui dans ce qui est déjà leur désolant état de faiblesse, verront la guerre achever de totalement les ruiner. Car ce départ sera le signal donné à des assaillants puissamment armés, pour mener des offensives contre les régimes en place qu’ils honnissent, offensives qui à l’usure, ne manqueront pas de leur ouvrir tôt ou tard les portes des capitales si les armées nationales, bien trop faibles et sans moyens financiers pour se renforcer, ne sont pas soutenues par une aide étrangère, ce qui se serait d’ailleurs déjà produit s’il n’y avait eu cette intervention française.
Ceci, d’autant qu'il ne s’agit pas en ce G5 Sahel, d’une simple organisation militaire, mais d’un organisme dont l’objet principal qui curieusement demeure le moins connu, est le développement. Car il a en effet été conçu avec l’idée que ce développement soustrairait les populations les plus démunies, aux sirènes des fondamentalistes religieux qui promettent de leur offrir des conditions de vie bien meilleures, en échange de leur adhésion à leur projet de société.
C’est ainsi que cette organisation parraine plus de cinq cents projets de développement dans différents domaines, et dont le coût de leur réalisation est estimé à plus de 12 milliards de dollars, une somme absolument considérable pour ces nations. Mais il est clair que rien de tout cela ne sera engagé, tant que l’ordre ne règnera pas dans la région.
De là l’intervention de l’armée française qui, en plus de protéger les entreprises françaises qui exercent dans la région dans des domaines sensibles comme l’exploitation des mines d’uranium, et à condition bien-sûr que cette intervention se fasse dans la stricte légalité internationale, donc à la demande clairement formulée des nations concernées, s’adonnait depuis des décennies déjà à une forme bien-sûr non avouée et inavouable de “mercenariat”. Ceci, en se portant promptement candidate pour des opérations de force onusiennes à la décision desquelles la France participait en tant que membre permanent du conseil de sécurité, et pour lesquelles elle était payée par les Nations Unies…
Les gouvernements français successifs trouvaient ainsi un moyen d’entretenir à un très haut niveau de compétence et d’équipement, une puissante armée devenue professionnelle, grâce au financement onusien d’incessantes opérations extérieures, qui rentre dans une ligne budgétaire différente de celle de la défense nationale, et qui relève du secret d’état. Ceci, d’autant que les autres nations quant à elles, dont les expériences militaires ne sont bien-sûr pas au même niveau que celui de cette nation guerrière et impérialiste, rechignaient à envoyer leurs soldats aller se faire tuer sur des sites lointains, dans des opérations dont il était évident qu’elles n’avaient rien à y gagner…
Ainsi, après avoir fait reconnaitre la légitimité et la légalité de leur intervention au Sahel par les Nations Unies, les Français ont voulu faire inscrire celle-ci sous le chapitre VII de la charte de l’illustre assemblée, afin qu’elle leur soit financée par celle-ci, comme d’habitude. Mais c’est alors que les Etats-Unis et la Grande Bretagne, nations que nombre de Français continuent à vivre naïvement comme étant leur alliés, mais qui n’ont absolument aucun intérêt à défendre dans ces zones d’influence française, et qui disposent chacune d’un droit de véto, se sont farouchement opposées à ce financement…
Cette déconvenue va plonger le gouvernement français dans une grande difficulté dont le général chef d’état major des armées, qui s’offusquait bruyamment de voir les coupes sombres portées au budget régulier de la défense nationale, pour pouvoir financer sans que cela ne soit jamais révélé, ces opérations extérieures, en fera les frais…
Il est manifeste à ce sujet que la volonté du président de faire appel à l’Otan dans cette affaire, ne relève pas d’une nécessité militaire mais bel et bien d’une nécessité budgétaire, pour remplacer un financement onusien par un financement otanien…
La situation actuelle, c’est que sur les 12 milliards de dollars promis pour le développement, pas un seul centime n’a encore été donné, et que sur les 415 millions de dollars nécessaires pour équiper, entrainer, et rendre efficacement opérationnelles les troupes de la coalition militaire, à peine la moitié à été versée, les différentes nations se moquant pas mal de respecter leurs engagements pour une région désolée où elles n’y ont aucun intérêt…
C’est ainsi que l’Union européenne qui devait participer à hauteur de 100 millions d’euros, dont 7 pour la France, n’a à ce jour pas versé un seul centime, pas d’avantage que l’Arabie saoudite qui devait donner 100 millions de dollars, et les Emirats, 30 millions de dollars, les nations de la zone ne pouvant donner chacune que 10 millions de dollars. Ceci, de sorte que ce qui caractérise le plus le G5 Sahel, c’est qu’il a les poches trouées…
Si donc l’armée française s’en va, le coup sera redoutable pour ces nations car aucune autre nation que la France qui possède pourtant une longue expérience de ce genre de conflit mais qui rencontre des difficultés, et qui a des intérêts à la fois économiques et géopolitiques dans la région, ne se portera candidate pour affronter une guerre asymétrique désespérante, et n’enverra contre son opinion publique ses soldats se faire tuer dans ces pays lointains et désolés. Dès lors, la déstabilisation de toute la région qui s’en suivra, enterrera pour de longues années toutes les velléités de développement en privant ces nations instables, déjà si mal notées par les différentes agences, de tout financement, qu’il soit public ou privé…
Cependant, il semble que c’est ainsi que les choses devraient se faire pour que les populations de la région remettent une bonne fois les pieds sur la terre pour bien comprendre quelle est leur situation et où se trouve leur intérêt, et parce que la logique historique ne peut pas les priver d’endurer, comme ce fut le cas pour les autres nations, les épreuves redoutables du prix d’une indépendance, au demeurant illusoire, dont elles se réclament…
Richard Pulvar
#Facebook a cette censure plus ou moins opaque et d'aucuns s'interrogent sur les critères objectifs de censure de ce média social : "Quels sont les standards de Facebook ? Ils désapprouvent cette publication... qui est une blague qui n'a rien de polémique..."
Nous n'en sommes pas encore au point ou ce régime sera renversé par des grèves ou des émeutes, mais il est clair que tout un peuple a pris désormais pleinement conscience qu'absolument rien de bien pour lui, ne sortira des manigances de l'actuelle équipe dirigeante...
Celle-ci se trouve placée sous l'autorité d'un idéologue, mais surtout d'un homme à la psychologie problématique et qui, par delà des dispositions dont il est évident qu'elles ne peuvent que plonger chaque jour davantage le pays dans la régression, trouve un plaisir malsain à abuser de la provocation et du mépris, pour jouir du constat que malgré cela il se maintient au pouvoir, ce qui le poussera à aller toujours de plus en plus loin...
Pour l'heure, le peuple est ko, parce que personne n'imaginait que cette orgueilleuse nation qui se targe volontiers d'être un modèle de démocratie républicaine pour les autres, aurait pu se retrouver dans une telle situation...
Les oppositions sont encore trop divisées et cette société elle-même trop savamment atomisée par les équipes dirigeantes qui se sont succédées depuis des décennies, afin de régner, pour que puisse se constituer un front commun et le projet de ces dirigeants est de parvenir à se trainer comme ils le pourront jusqu'à la prochaine élection, pour que par une manipulation politico-médiatique dont ils ont le secret, ils soient tout simplement les moins minoritaires pour pouvoir s'offrir un nouvel accès au pouvoir...
Mais, l'état du pays et son aggravation inévitable avec ces gens, risque de nous conduire vers l'imprévisible...
Richard Pulvar
"- Indemnisations des agriculteurs et des pêcheurs" Ce qui influe que ceux qui ont sciemment contaminé les sols, les rivières, la mer et qui sont responsables de cette flambée de cancer, c'est à dire les bananiers qui par définition sont des agriculteurs seront indemnisés.
Serge tu te fous de la gueule du monde !
Le Guide libyen de la Révolution, s’attendait bien-sûr à être tôt ou tard attaqué par les Occidentaux et il s’était préparé contre cela. Pour éviter de voir une concentration de missiles de croisière qu’il ne pouvait faire intercepter par sa défense antiaérienne, car ceux-ci évoluent en-dessous de la couverture radar, anéantir en un seul assaut ses dépôts de munitions, son idée fut de les disperser en de nombreux endroits sur toute l’étendue de son territoire…
Cette disposition s’est révélée très efficace, car si dans les airs et au sol, son armée a été vaincue non sans grande difficulté, et au bout de plus de six mois d’une campagne furieuse menée par une coalition de vint-neuf nations, dont trois des cinq plus grandes puissances militaires au monde, son arsenal a été en grande partie épargné et va tomber presque intact dans les mains de ceux que les agresseurs auront mis en place après l’avoir assassiné le Guide, mais sans que ces dernier ne soient en mesure d’en assurer pleinement le contrôle…
C’est ainsi que le Conseil National de Transition, le fameux CNT qui devait conduire la Libye vers des lendemains qui chantent, devait reconnaitre honteusement que sur les quelques 20 000 missiles de tous ordres, quantité absolument impressionnante, que comportait l’arsenal libyen et dont ils avaient alors à charge d’en prendre le contrôle, plus de 5000 avaient disparus et particulièrement, les missiles sol-air SA-7 et SA-24, de fabrication russe, d’une efficacité d’autant plus redoutable qu’ils peuvent être portés par de simples fantassins…
Cette nouvelle ne fut bien-sûr pas rendue publique, mais dès cet instant dans les différentes chancelleries occidentales, les spécialistes comprenaient que leurs nations s’étaient elles-mêmes mises dans un piège, en ne s’étant pas assurées que noyautés qu’ils étaient déjà par des fondamentalistes, les rebelles auxquels elles avaient par ailleurs livré d’importantes quantités de matériel pour lutter contre le Guide de la Révolution, formeraient un front uni et cohérent dans une nouvelle administration libyenne qu’elles pensaient par ailleurs pouvoir contrôler…
Nous connaissons la suite des événements, des furieux fanatiques et armés jusqu’aux dents vont semer la terreur et la désolation dans tout le Sahel, au point de menacer les intérêts de ceux-là mêmes qui les avaient instrumentalisés contre le guide libyen, et qui vont devoir prendre les armes contre eux…
Quelques jours seulement avant le prétendu accident, les services qui savaient que les rebelles possédaient ces armes redoutables avaient prévenu le gouvernement que ceux-ci s’exerçaient en vue d’obtenir la maitrise parfaite des missiles sol-air à guidage infrarouge, le SA-7 dont la portée maximale est de 4,2 kilomètres et l’altitude d’évolution de 50 à 1500m, et le SA-24 dont la portée est de 5,2 kilomètres et l’altitude d’évolution portée jusqu’à 3500m.
Aujourd’hui, le pouvoir et ses propagandistes médiatiques nous racontent qu’il s’est produit une malheureuse “collision” entre deux hélicoptères lors d’une opération contre les rebelles…
Bien-sûr certains préféreront croire que dans une telle circonstance, les erreurs se pilotages constituent un bien plus grand danger que la bataille elle-même, pour ne pas s’imaginer, et on comprend qu’ils ne veulent absolument pas constater la situation dans laquelle la nation se trouve placée, que dans une bataille, c’est bel et bien et tout simplement l’ennemi qui est le plus dangereux, et qui risque le plus d’envoyer des hélicoptères au tapis. Tous ceux qui connaissent le professionnalisme des soldats d’élites engagés dans ces opérations extérieures et le matériel sophistiqué dont ils disposent, ne croient pas une seconde à ce bobard…
Richard Pulvar
1/12/12