Il convient donc savoir quelle est à l’aube de cette nouvelle année, la “tendance à être” selon l’exercice des astres, ce qui constitue traditionnellement le travail de “l’augure”, pour y inscrire notre “choix”, celui-là même dont la “grande Tradition ésotérique” nous dit que Dieu l’a abandonné aux hommes, pour ne pas risquer de faire de choix hors de cette offre qui constituerait une rupture avec ce fait des astres que nous appelons précisément le “désastre”, ce qui revient comme le redoutaient les Gaulois, à prendre le ciel sur la tête…
Il n’y a en effet de “possible”, c’est-à-dire de “passage autorisé” d’une situation vers une autre, que selon un “choix”, corrélatif à une “chute de potentiel”, puisqu’il s’opère depuis la pluralité des options possibles, située à l’antériorité du choix, à la singularité de l’option effectivement choisie, à la postérité du choix.
Retenons donc que dans tous les cas, il n’y a de possible que selon la pluralité d’un choix proposé aux hommes, ce qui explique la vanité de ces hommes politiques qui depuis des années, nous racontent à l’envie et malgré un insuccès constant, qu’il n’y a pas d’autre choix possible que la politique qu’ils proposent, ce qui revient à la rendre justement impossible, et c’est bien ce que nous constatons…
Il y a donc “ce qui offre le choix”, qu’on l’appelle Dieu si on est croyant ou “hasard” si on est athée, la modalité de cette offre étant dans les deux cas l’exercice qui résulte du mouvement autour de nous des objets célestes, lequel mouvement est bien une “chute”, et qui n’a donc quant à lui, pas à choisir, et ce qui choisi, nous autres les humains, par toutes nos options, nos décisions, et d’une façon générale, tous nos faits et gestes…
Or, l’antériorité du choix est forcément limitée, car si tout est possible, tout n’est pas possible “en même temps”, et telle est précisément la marque même du temps qui, selon un ordre de celles-ci, le fameux “cosmos”, impose une succession aux choses car celles-ci ne peuvent être toutes en même temps.
Cette étendue limités du possible à un moment donné fait que la réalisation d’un choix malheureux qui ne se situerait pas dans l’étendue du possible d’un moment, ne pourrait que conduire à un désastre…
Il convient donc de nous assurer par une étude préalable du temps s’opérant par l’observation des objets célestes, ce qui est normalement la préoccupation de l’augure, que le choix que nous opérons ne se trouve pas en contradiction avec la “tendance”, c’est-à-dire ce qui tend à être à un moment donné, en opposition à tout ce qui ne pourra être qu’à un autre moment…
Ainsi, avant de nous lancer dans quantités de projets pour cette année 2018, seraient-ils des plus légitimes et ambitieux, assurons nous que leurs occasions se situent bien au cours de cette année auprès de l’augure…
Que dit-il… ?
Comment cela il n’y en a plus… ?
Richard Pulvar
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