Il n'ya qu'une seule vérité,surtout lorsque les faits se sont déroulés devant des témoins qui sont encore vivant. Ouattara et sa bande de rebelles sont des négationnistes qui veulent réécrire l'histoire de notre jeune nation. Heureusement ça ne passe pas partout.Nous vous invitons à lire cet article dans lequel les hagiographes du préfet Ouattara s'étonne que les instituteurs ne le reconnaissent pas comme président de la Côte-d'Ivoire.
Lu dans Le Nouveau Réveil journal du PDCI
L'inspecteur de l'enseignement primaire d'Attécoubé, Diallo Ousmane, et ses enseignants intoxiquent les élèves de leur ressort territorial en leur inoculant des idées séditieuses. En effet, dans son inspection, on enseigne aux enfants du Cours moyen II (Cm2), la contestation des autorités actuelles et la révolte contre l'organisation des Nations-unies en Côte d'Ivoire (Onu-ci). De quoi s'agit-il ? Hier, comme cela se fait dans toutes les écoles de Côte d'Ivoire, un examen blanc a eu lieu au niveau des classes de CM2 de la commune d'Attécoubé que couvre l'inspection primaire dirigée par M. Ousmane Diallo. Quoi de plus normal que d'évaluer les enfants pour jauger leur niveau avant les examens à grand tirage. Mais, ce qui est ahurissant, ce sont les questions de l'épreuve d'histoire donnée aux élèves du primaire et le corrigé proposé. Les questions N°4 et N°5 sont révélatrices de l'intention de manipuler les enfants à des fins politiques. A la Question N°4, " Je nomme trois actions menées par l'Onu-ci lors de la crise post-électorale ", le corrigé proposé est : " -transport des rebelles (1pt)-armement des rebelles (1pt), tueries des soldats et civils ivoiriens (1pt) ". A la question N°5 " Je dis le nom du président de la République de Côte d'Ivoire lors de la crise post-électorale ", le corrigé proposé est : " Laurent Gbagbo (1pt) ". Les organisateurs de cet examen blanc, non seulement contestent la légitimité du président de la République actuel, mais et surtout tentent d'embrigader les enfants de Côte d'voire en les poussant à la désobéissance, à l'incivisme et plus tard à la rébellion. Ont-ils seulement conscience que leur rôle est de donner le savoir juste et constructif et que l'école ne fait pas bon ménage avec la politique aliénante ? Au moment où tout le monde parle le langage de la réconciliation, de la vérité et de la paix, il se trouve encore des gens qui continuent à rêver surtout à diffuser à la population la plus délicate et la plus fragile des germes de révolte contre l'autorité.
François Konan
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire