Lomé le 30 septembre 2010,
Madame la Député,
C'est moi qui ai déposé un recours auprès de la Médiature de la République pour la reconnaissance du génocide amérindien et de l'esclavage comme un crime contre l'humanité.Le Médiateur a désigné monsieur Alfred Marie Jeanne, Député de la Martinique pour me donner la réponse accordée à mon recours.
En fait j'avais déposé ce recours, parce que, en dehors de mon emploi de professeur certifié de philosophie, j'étais président de l'Atelier de Recherches Culturelles Caraïbe qui employait des demandeurs d'emplois, des chômeurs de longues durée, des prisonniers et des SDF, comme Volontaires A l'Aide Humanitaire dans la Réserve des Indiens "Karifuna" de la Dominique.
Ces emplois étaient financés par le CNASEA, contrôlés par l' A.D.I, la DDTE...
C'est pourquoi le rectorat a considéré la loi Taubira comme une fin de non recevoir à mon combat pour démontrer l'utilité publique des emplois que nous avions créés :
- Comme la réponse de Monsieur le Député de la Martinique est arrivée plusieurs années après le vote de la loi Taubira, sitôt la loi Taubira votée, le rectorat de la Martinique m'a placé à la retraite d'office pour invalidité (alors que je suis valide)
- L'Agence d'Insertion (ADI) et la DDTE, ainsi que la Gendarmerie de Case Pilote ont dissous mon collectif d'associations, ont mis les employés au chomage, ont poursuivi certains employés pour détournement de fonds...
- La Rectorat a demandé au Consulat de France en Dominique de surseoir au projet de coopération décentralisé triangulaire que j'avais mis en place avec les Gouvernements dominiquais et le Conseil Général ainsi que le Conseil régional de la Martinique (dans le cadre de la loi sur la décentralisation)
- Malgré la demande d'A.O.T que j'avais déposée à la DDE pour la parcelle D271 des cinquante pas géométriques de Fond Bourlet, afin d'installer un Consulat de la Dominique en Martinique; le DDE a laissé occuper la parcelle par un particulier, et a rejeté, avec le Chef de Cabinet du Préfet, la demande de subvention de 15000 francs pour l'adduction de l'eau courante à l'école Primaire d'Atkinson(Waraka) en Dominique, au profit des Indiens Caraïbes de la Dominique.
- La Mairie de Case Pilote, à la demande de la DDE a pris deux arrêtés de démolition pour notre logement familial et le gendarme SCIENSKY nous a harcelé, chaque matin, à l'heure du ramassage scolaire, jusqu'à à ce que nous acceptions 1700 euros pour partir en famille en Afrique.
- La SMHLM a saisit ma maison,
- Le Cadastre m'a infiormé que le terrain sur lequel se trouvait notre maison ne m'appartenait pas car il n'appartenait pas à la SMHLM quand elle me l'a vendu...
Si je vous écris, c'est parce que, dans sa réponse, Le Député de la Martinique remarque les contradictions qui existent dans mon statut, mais cette constatation reste sans effet.
Par la suite, un inconnu a interpellé Maitre George PAU LANGEVIN Député de Paris, sur les contradictions de mon statut.Cette dernière a écrit au Ministre de l'Éducation Nationale, Monsieur DARCOS, qui a écrit au recteur de la Martinique pour régulariser ma situation.Mais le Recteur n'a pas répondu, et les choses en sont restée là...
Comme vous faites partie de la même institution que Monsieur Marie Jeanne et Madame Pau Langevin, et que, en sus, vous étés directement concernée par ma situation administrative, je vous interpelle respectueusement pour me servir de médiateur auprès de vos collègues pour les convaincre qu'il n'y a aucune loi qui régisse actuellement le statut des fonctionnaires valides qui touchent des pensions d'invalidité et que c'est le rôle des députés que d'interpeller le Gouvernement français sur les dysfonctionnements qui affectent en priorité les fonctionnaires des DFA valides qui subissent des sanctions interdites de la part des cadres métropolitains...
Madame la Député,
C'est moi qui ai déposé un recours auprès de la Médiature de la République pour la reconnaissance du génocide amérindien et de l'esclavage comme un crime contre l'humanité.Le Médiateur a désigné monsieur Alfred Marie Jeanne, Député de la Martinique pour me donner la réponse accordée à mon recours.
En fait j'avais déposé ce recours, parce que, en dehors de mon emploi de professeur certifié de philosophie, j'étais président de l'Atelier de Recherches Culturelles Caraïbe qui employait des demandeurs d'emplois, des chômeurs de longues durée, des prisonniers et des SDF, comme Volontaires A l'Aide Humanitaire dans la Réserve des Indiens "Karifuna" de la Dominique.
Ces emplois étaient financés par le CNASEA, contrôlés par l' A.D.I, la DDTE...
C'est pourquoi le rectorat a considéré la loi Taubira comme une fin de non recevoir à mon combat pour démontrer l'utilité publique des emplois que nous avions créés :
- Comme la réponse de Monsieur le Député de la Martinique est arrivée plusieurs années après le vote de la loi Taubira, sitôt la loi Taubira votée, le rectorat de la Martinique m'a placé à la retraite d'office pour invalidité (alors que je suis valide)
- L'Agence d'Insertion (ADI) et la DDTE, ainsi que la Gendarmerie de Case Pilote ont dissous mon collectif d'associations, ont mis les employés au chomage, ont poursuivi certains employés pour détournement de fonds...
- La Rectorat a demandé au Consulat de France en Dominique de surseoir au projet de coopération décentralisé triangulaire que j'avais mis en place avec les Gouvernements dominiquais et le Conseil Général ainsi que le Conseil régional de la Martinique (dans le cadre de la loi sur la décentralisation)
- Malgré la demande d'A.O.T que j'avais déposée à la DDE pour la parcelle D271 des cinquante pas géométriques de Fond Bourlet, afin d'installer un Consulat de la Dominique en Martinique; le DDE a laissé occuper la parcelle par un particulier, et a rejeté, avec le Chef de Cabinet du Préfet, la demande de subvention de 15000 francs pour l'adduction de l'eau courante à l'école Primaire d'Atkinson(Waraka) en Dominique, au profit des Indiens Caraïbes de la Dominique.
- La Mairie de Case Pilote, à la demande de la DDE a pris deux arrêtés de démolition pour notre logement familial et le gendarme SCIENSKY nous a harcelé, chaque matin, à l'heure du ramassage scolaire, jusqu'à à ce que nous acceptions 1700 euros pour partir en famille en Afrique.
- La SMHLM a saisit ma maison,
- Le Cadastre m'a infiormé que le terrain sur lequel se trouvait notre maison ne m'appartenait pas car il n'appartenait pas à la SMHLM quand elle me l'a vendu...
Si je vous écris, c'est parce que, dans sa réponse, Le Député de la Martinique remarque les contradictions qui existent dans mon statut, mais cette constatation reste sans effet.
Par la suite, un inconnu a interpellé Maitre George PAU LANGEVIN Député de Paris, sur les contradictions de mon statut.Cette dernière a écrit au Ministre de l'Éducation Nationale, Monsieur DARCOS, qui a écrit au recteur de la Martinique pour régulariser ma situation.Mais le Recteur n'a pas répondu, et les choses en sont restée là...
Comme vous faites partie de la même institution que Monsieur Marie Jeanne et Madame Pau Langevin, et que, en sus, vous étés directement concernée par ma situation administrative, je vous interpelle respectueusement pour me servir de médiateur auprès de vos collègues pour les convaincre qu'il n'y a aucune loi qui régisse actuellement le statut des fonctionnaires valides qui touchent des pensions d'invalidité et que c'est le rôle des députés que d'interpeller le Gouvernement français sur les dysfonctionnements qui affectent en priorité les fonctionnaires des DFA valides qui subissent des sanctions interdites de la part des cadres métropolitains...
A. Robinel
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