Les résultats des élections de dimanche seront acheminés au CEP le 7 décembre prochain. Annonce faite ce mardi par le conseiller technique au Centre de tabulation des votes. Le canadien Alain Gauthier précise que plus de 10 mille procès-verbaux sur un total de 15 mille disponibles sont déjà traités.
Michel Martelly aurait raflé 39% des voix, suivi de Mirlande Manigat avec 31%, alors que Jude Célestin en aurait récolté 12%. Ces chiffres ont été rapportés par le journal dominicain El Mundo citant une source onusienne en Haïti. Ces décomptes concernent quatre départements dont l’Ouest, le Nord et le Sud.
La plateforme INITE n’écarte pas la possibilité qu’elle perde la présidentielle de dimanche. Selon le coordonnateur national de ce regroupement politique, deux options sont possibles : passer à l’opposition ou cohabiter avec les futurs dirigeants qui auraient remporté la présidentielle.
La plateforme présidentielle se défend d’avoir orchestré une quelconque situation de trouble dans le pays le jour du vote. Le coordonnateur de l’INITE renvoie la balle dans le camp des opposants du pouvoir qui, selon Joseph Lambert, ont inventé des irrégularités pour acculer l’équipe de Jude Célestin.
L’opposition politique n’entend pas cautionner ce qu’elle appelle la mascarade électorale et dimanche. Les partis regroupés au sein de la plateforme Alternative exigent l’annulation pur et simple de ce scrutin.
Des organisations de droits humains redoutent des violences post-électorales. La Commission épiscopale nationale Justice et Paix et le RNDDH craignent que les personnes dont les intérêts sont lésés dans le cadre de ces opérations entachées d’irrégularités grossières ne recourent à la violence. Ces organisations exhortent les autorités à jouer la carte de la prévention.
Michel Martelly aurait raflé 39% des voix, suivi de Mirlande Manigat avec 31%, alors que Jude Célestin en aurait récolté 12%. Ces chiffres ont été rapportés par le journal dominicain El Mundo citant une source onusienne en Haïti. Ces décomptes concernent quatre départements dont l’Ouest, le Nord et le Sud.
La plateforme INITE n’écarte pas la possibilité qu’elle perde la présidentielle de dimanche. Selon le coordonnateur national de ce regroupement politique, deux options sont possibles : passer à l’opposition ou cohabiter avec les futurs dirigeants qui auraient remporté la présidentielle.
La plateforme présidentielle se défend d’avoir orchestré une quelconque situation de trouble dans le pays le jour du vote. Le coordonnateur de l’INITE renvoie la balle dans le camp des opposants du pouvoir qui, selon Joseph Lambert, ont inventé des irrégularités pour acculer l’équipe de Jude Célestin.
L’opposition politique n’entend pas cautionner ce qu’elle appelle la mascarade électorale et dimanche. Les partis regroupés au sein de la plateforme Alternative exigent l’annulation pur et simple de ce scrutin.
Des organisations de droits humains redoutent des violences post-électorales. La Commission épiscopale nationale Justice et Paix et le RNDDH craignent que les personnes dont les intérêts sont lésés dans le cadre de ces opérations entachées d’irrégularités grossières ne recourent à la violence. Ces organisations exhortent les autorités à jouer la carte de la prévention.
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