L’hypothèse de l’attentat, sous “fausse-bannière”, fait partie des médias de masse, en ce qui concerne les attentats du marathon de Boston
Le 11 Septembre 2001, les médias américains ont commencé à chanter le mantra “Ben Laden” à l’unisson presque dès le moment même où les attaques furent rapportées. La possibilité que des initiés au sein du gouvernement américain, aient pu orchestrer ces attaques afin de faire porter le chapeau aux musulmans et de déclencher des guerres contre des pays musulmans et prendre le contrôle absolu de la société, ne fut jamais mentionné.
Les déclarations répétées de Ben Laden qui déploraient les attaques du 11 Septembre et les considéraient comme anti-musulmanes, suspectant que des supporteurs américains d’Israël étaient derrière ces attaques, ont échoué à pénétrer la bulle des médias corporatistes. Lorsque le FBI a définitivement déclaré que Ben Laden “n’était pas recherché pour les attentats du 11 Septembre”, parce qu’il n’y avait aucune “preuve solide” de son implication, les médias ont totalement occulté cette déclaration.
Mais après les attentats à la bombe du 16 Avril 2013, même les médias du monopole corporatiste ne purent plus ignorer la possibilité d’une attaque fausse-bannière. Le branche information de Yahoo! en ligne demanda “Qui est derrière l’attentat de Boston ?” et offrit 4 théories: 1) des djihadistes islamistes, 2) des milices type extrême-droite, 3) le gouvernement, 4) un loup solitaire psychopathe.
1, 2 et 4, bien sûr sont les suspects usuels. Mais inclure en 3) … le “gouvernement” sur la liste des suspects est sans précédent, pour un organe des médias dit de masse, rapportant sur un incident de terrorisme domestique.
La proéminence croissante de l’hypothèse de l’attentat fausse-bannière a été soulignée au gouverneur du Massachussetts Deval Patrick lors de la conférence de presse juste après les attentats. La première question pour le gouverneur Patrick fut posée par le correspondant du média alternatif InfoWars Dan Bidondi, qui demanda si les explosions étaient “des attentats fausse-bannière mis en scène afin de nous retirer nos libertés civiles”. Le gouverneur Patrick bien sûr répondit: “Non!… question suivante”.
Même le magazine néo-conservaeur Atlantic Monthly, associé avec des noms tels que Goldberg et Hitchens, a dû se fendre d’un article intitulé: “Qu’est-ce qu’une attaque fausse-bannière et qu’est-ce que l’attentat de Boston a à voir avec cela ?” De manière incroyable, l’article du magazine disait que oui, il y a des précédents historiques, afin de pouvoir regarder l’attentat de Boston comme étant une attaque fausse-bannière. L’auteur, Philip Bump, admettait même: “Si ces attaques avaient été des attaques fausse-bannière, le gouverneur Patrick aurait répondu ‘non’ à la question de toute façon.”
Qu’est-ce qui a donc changé, depuis 2001, pour amener le scénario de l’attaque fausse-bannière, sous les feux de la rampe ?
Réponse courte et simple: Le mouvement pour la vérité sur le 11 Septembre. Durant la dernière décennie, des millions d’activistes ont travaillé d’arrache-pied pour éveiller le public américain et mondial sur l’évidence que les attaques du 11 Septembre 2001 furent l’équivalent américain de l’incendie du Reichstag allemand. Des sondages ont montré que 36 % des Américains, soient, environ, quelques 100 millions de personnes, pensent qu’il est probable que le 11 Septembre ait été perpétré, depuis l’intérieur du gouvernement. La plupart de ces chercheurs de vérité sont des scientifiques accomplis et réputés, des ingénieurs, des militaires et des officiers de renseignement, ainsi que d’autres experts. Vous pouvez en rencontrer quelques uns, sur Patriotsquestion911.com et AE911Truth.org.
Depuis que les médias corporatistes et les pseudo-médias alternatifs financés par les grandes fondations, ont refusé de rapporter les faits au sujet des attentats du 11 Septembre, environ 100 millions d’Américains considèrent les grosses pointures des médias comme des menteurs. Même parmi les quelques 200 millions d’Américains qui ne sont pas en première ligne des sceptiques, le sentiment que quelque chose ne tourne pas rond et que les médias et les politiciens mentent est très répandu. Une récente recherche Pew, par exemple, a montré que la confiance des Américains dans le gouvernement est tombée au plus bas historiquement: moins d’un tiers des Américains font confiance au gouvernement alors que plus des deux tiers ne lui font pas confiance.
Alors que les gens perdent la foi en leur gouvernement et que les médias corporatistes s’effondrent dans une banqueroute intellectuelle et morale, un nouveau média indépendant a jailli de l’internet. L’empire médiatique d’Alex Jones, qui pousse l’hypothèse de la fausse-bannière aussi loin qu’elle puisse être poussée, atteint maintenant de l’ordre de 5 à 10 millions de personnes par jour. Jeff Rense, Mike Adams, Mike Rivero, Veterans Today, American Free Press et les réseaux de presse étrangers de langue anglaise Russia Today (Russie) et Press TV (Iran), touchent également de larges audiences d’influence avec des rapports honnêtes d’information au sujet des évènements fausse-bannière.
Aujourd’hui, ce n’est plus juste quelques intellectuels marginaux qui pensent “fausse-bannière” quand ils entendent un rapport sur un attentat domestique. Des millions de gens partagent leurs suspicions au sujet des attentats à la bombe de Boston sur Twitter, Facebook, la blogosphère et le média internet en général.
Ont-ils raison ?
Bien qu’il soit encore trop tôt pour le dire de manière sûre, l’attentat de Boston possède la caractéristique la plus importante d’une opération fausse-bannière: un entraînement anti-terroriste se déroulait simultanément pendant l’attaque réelle. Comme Webster Tarpley l’a très bien expliqué dans son livre: “11 Septembre la terreur synthétique fabriquée aux Etats-Unis”, des attaques fausse-bannière, telles celles du 11 Septembre et du 7 Juillet 2005, à Londres, sont créées comme des “simulations”, des “entraînements” qui, soudainement, se déroulent vraiment. Ceci permet aux membres intérieurs de planifier et d’exécuter les attaques sous la couverture d’un entraînement, avec “la méchante équipe B” qui perpétue l’attaque pour de vrai, attaque qui était supposée être feinte.
Le 11 Septembre 2001 a été précédememnt nommé comme la plus grosse opération spéciale, et de loin, de l’histoire des Etats-Unis, avec au total 46 exercices d’entraînement pré-planifiés ce jour là, incluant des simulations réelles d’avions s’encastrant dans les bâtiments, donnant ainsi la parfaite couverture aux véritables attaques planifiées de l’intérieur (tapez sur le moteur de recherche de votre choix “Tarpley 46 drills of 9/11” pour plus de détails.)
Le 7 Juillet 2005 à Londres, des exercices anti-terroristes avaient lieu aux mêmes endroits où les bombes explosèrent. Peter Power, le plus gros consultant anti-terrorisme du Royaume-Uni, admit en direct à la télévision que toutes les bombes qui ont dévastées Londres ce jour ont explosé aux mêmes heures et mêmes endroits que les exercices programmés le prévoyaient.
L’attentat de Boston fut-il un exercice qui fut réalisé pour de vrai ?
Mobile, Alabama TV station Local TV 15 rapporta:
Le coach de cross country de l’université de Mobile, qui était près de la ligne d’arrivée du marathon de Boston lorsqu’une série d’explosion se produisit, a dit qu’il pensait que cela était bizarre car il y avait des chiens sniffeurs anti-bombes sur les lignes de départ et d’arrivée.
“Ils faisaient des annonces non-stop au haut-parleur disant que cela n’était qu’un exercice et qu’il ne fallait pas s’inquiéter”, a dit l’entraineur Ali Stevenson à la TV local 15. “On aurait dit qu’il y avait comme une sorte de menace, mais ils continuaient à nous dire que ce n’était qu’un exercice”.
A 12:53 de l’après-midi, heure locale, le journal du Boston Globe twittait: “Déclaration officielle: Il va y avoir une explosion contrôlée en face de la bibliothèque dans la minute qui suit, ceci fait partie des activités de la brigade de déminage”.
Puis presque deux heures plus tard, à 14:50, des bombes explosaient près de la ligne d’arrivée du marathon de Boston, tuant trois personnes en blessant plus de 100 autres.
Juste une coincidence ? Peut-être. Mais alors que les plus grosses “attaques terroristes” de l’histoire récente des Etats-Unis, incluant les deux attentats du WTC et l’attentat à la bombe d’Oklahoma City, ont été des attaques perpétrés depuis l’intérieur du système et aussi alors que pratiquement tous les “complots terroristes” découverts sur le sol états-unien depuis le 11 Septembre ont été créés, facilités par le FBI, nous avons tous les droits d’être suspicieux.
Les attentats à la bombe n’ont qu’un bénéficiaire: les gouvernements et les familles immensément riches qui les possèdent.
Comme Vincent Vinciguerra, un des perpétrateurs des attaques terroristes de l‘opération Gladio l’avait expliqué: “Nous devions attaquer des civils, des gens, femmes, enfants, des innocents, des gens inconnus, sans aucune connexion avec le jeu politique. La raison était fort simple: pour forcer le public à se tourner vers l’État pour demander plus de sécurité.”
Quelque soit la vérité derrière l’attentat de Boston, il semble que l’hypothèse de l’attaque fausse-bannière ait fini par infiltrer le discours des médias de masse. Et cela ne changera pas… du moins pas tant que le 11 Septembre et les autres crimes faux-drapeau aient été résolus et des mesures effectives instituées pour protéger le public contre l’agression de la terreur fausse-bannière.
Dr. Kevin Barrett
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
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