Il appartient aux poètes les indignations de ce monde, vu que les politiques et les journalistes concubinent dans une relation adultérine tout à fait indécente. Les derniers devenant les grands divertisseurs de nos sociétés, adirant les populations dans des préoccupations futiles, lui livrant des informations peopolisées donc inutiles. Ils ne permettent aux citoyens aucunement de faire prévaloir leurs droits ou défendre leurs intérêts, anesthésiant toute volonté, ils sont devenus les grands endormeurs.
Les uns comme les autres (en sont-ils conscients) manipulent les masses sans vergonde, au profit des puissances de l'argent, d'une façon ou d'une autre, nos prétendus amis sont les aides du bourreau, les nouveaux conculcateurs.
Evariste Zephyrin
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