"Dans cette ambiance lénifiante de la défense du droit à l'expression et de la Presse il est tentant de se poser cette simple question : si les journalistes de Minute avaient fait l'objet d'une telle barbarie, qui d'entre nous serait aujourd'hui dans la rue portant haut et fort une pancarte mentionnant le "Je suis Minute". La réponse à cette question donnera sens à notre implication réelle dans la défense du droit à l'expression et de la Presse.
Mais pour le moment est le temps du recueillement et du silence."
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