Voilà qu'approche le 8ème samedi de contestation devant la boutique GUERLAIN, au 68 av. des Champs-Elysées à PARIS, 15 heures. Hélas, la Direction de LVMH n'a pas montré une réelle volonté de s'arranger avec nous.
Cette dernière a pris l'habitude d'observer notre action sur la plus belle avenue du monde. Alors, conservons ce vivant élan du coeur, car maintenant on nous regarde de partout.
Déjà 7 dimanches derrière nous ! Mirez la terrasse du café MONTECRISTO, jouxtant le magasin GUERLAIN, elle ne désemplit pas. Si ça continue, l'Officiel des spectacles va songer à nous référencer dans sa rubrique : "animations dans PARIS". Estimez-vous qu'il faudra un 10ème jour ? Un 15ème ? Ou un 20ème samedi, sans discontinuer ? Les paris semblent ouverts.
Ne comptons pas sur nos frères humains de contrées lointaines, c'est à nous seuls résidents en Ile-de-FRANCE, d'honorer de notre présence, ce mouvement pour cette cause universelle. L'espoir du plaisir vaut le plaisir lui-même, dit-on ? Ou encore, que l'attente augmente l'intensité du désir !
Dans ma famille, j'entends fréquemment ces mots :"c'est un bien pour un mal", signifiant qu'une difficulté survient, et puis finalement, elle se révèle positive après déploiement des efforts nécessaires pour la surmonter. Sacrée démonstration.
L'intérêt de l'affaire GUERLAIN ? C'était de nous faire sortir de nos coins respectifs, de nous rencontrer, et de lier connaissance. De nous unir dans cette épreuve face au leader national de la distribution du luxe à la tête duquel se trouve la 1ère fortune de FRANCE. Interprétons savamment les signes du Cosmos. Regardons dans la direction de Dame Nature, sans cesse louée et révérée ; ensuite, réfléchissons pour agir Humainement, et plus motivés que jamais.
En tant que Fondatrice de La Collection historique d'archivage informatique, agissant depuis des années, comme en témoignent une sélection de pièces officielles insérées dans le blog de lancement www.mcbeaujour.unblog.fr ; vous ne pouvez plus ignorer ce dispositif de décryptage des anciens manuscrits datant de l'ancien régime, et réciproquement, durant ces derniers jours, je me suis impliquée dans ces actions avec les différents Présidents et militants de toutes sensibilités.
Merci à vous ! Gloire à nos voix inépuisables évocatrices d'accents de soul et de funck... Le fait est que ça swing, à présent le samedi, sur les Champs-Elysées.
C'est parce que nous le pouvons, que nous devons maintenir notre rassemblement coutumier, jusqu'à obtention d'effets concrets.
Le Ministre de l'Intérieur, en personne, n'avait-il pas été saisi dans le cadre de ses précédentes fonctions de Ministre de l'Identité Nationale pour régler cette question d'utilité publique, après les revendications de nombreux jeunes émeutiers à l'hiver 2005, comme l'attestent deux ans plus tard, en 2007, les courriers précités provenant de son cabinet, contenus dans le blog de lancement de La CHAI (www.mcbeaujour.unblog.fr) ?
Où est passée, ces derniers jours, notre Identité nationale ? A la trappe ? Aux oubliettes ? Pour un gouvernement français, j'avoue qu'il y a quelque chose de gênant de sécher, officiellement, sur cette question. Puis, faire la moue devant une réalisation doctorale, telle que La CHAI, qui éclaire notre lanterne sur ce sujet. Qui l'eût cru ? Les impressions personnelles de Monsieur Jean-Paul GUERLAIN sont la preuve que l'expression d'un imaginaire obscur et ténébreux n'a pas finit de nuire collectiviement, même en l'an 2010. Ah, ce fameux principe d'incertitude ! Après tout, la maison-mère LVMH a bien ignoré la demande de mécénat de La CHAI et, s'est bien gardée de réagir, positivement, depuis le début de cette affaire.
S'arrêter en si bon chemin serait par conséquent dommageable, pour des hommes et des femmes qui ne comprendraient pas qu'on les mobilise un temps, sans assez de conviction, au point que cela finisse "en eau de boudin".
Présidentes et Présidents d'Association, n'abandonnez pas la route qui mène au bien-être, parce que le bonheur c'est d'avoir la conscience pleinement satisfaite. Or je souhaite la partager avec vous et en faveur du succès commun de notre oeuvre sociale.
Quelle joie de voir des gens adhérer à nos structures parce qu'ils apprennent les résultats de notre détermination, et qu'ils veulent en être pour l'avenir. Parce qu'enfin, les choses avancent. Ne perdons pas de vue l'objectif : la satisfaction de récolter le fruit que nous avons semé. Ne nous désengageons pas du terrain en si bonne voie. C'est important moralement, le monde entier nous soutient ! Qu'en pensent MANDELA, OBAMA ? Ne sommes-nous pas des non-violents, des pacifiques, des progressistes ! Soyons fiers, et répudions dorénavant, toutes suggestions négatives quant à la tentation de baisser les bras.
A l'annonce de l'arrêt de ce mouvement, au lendemain de la mise en place d'un protocole d'accord ; ne croyez-vous pas, que nous serons vus sous un nouvel angle ? Elle est de notoriété biblique, cette pierre que l'on a rejetée et qui est devenue la pierre angulaire. Et c'est seulement à partir de ces instants, que nous serons pris au sérieux. Si vos noms sont associés définitivement à l'adoption et l'institutionnalisation de La CHAI, ce ne sera pas rien. Tout est déjà écrit.
L'envergure et le cheminement de ce dossier au plus haut niveau devrait susciter et provoquer en vous des réactions cohérentes, justes, utiles, intéressantes, aux yeux d'une opinion publique qui ne se doute guère de ce qui lui est caché par soucis de conservatisme, et de nivellement par le bas, au royaume de la récession.
Persévérons, donnons à notre pays l'envie d'avoir envie de s'élever, de s'illuminer, et de s'émerveiller devant nos exploits. Puisque c'est de cela, dont il s'agit. Combien de temps encore, combien de samedis viendrons-nous au RDV ? Voyons grand s'il vous plait, parlons un langage clair, signifiant, expression de notre conduite actuelle et héroïque ; dénonçant l'inertie et l'occultation du gouvernement, des pouvoirs publics, et bien d'autres hommes d'affaires, notamment Monsieur Bernard ARNAULT, PDG de LVMH, disposant du dossier de La CHAI, et de sa lettre d'accompagnement, en date du 19 juillet 2010.
Nos missions se complètent, ensemble nous progressons harmonieusement à l'appui de nos différents points d'attaque. C'est grâce à cela que nous avons du grain à moudre, et par conséquent, ne reculons pas sans avoir l'assurance qu'une mesure si bénéfique à l'intérêt général comme celle de La CHAI, par exemple, soit entérinée afin de crédibiliser nos démarches.
Solidaires, nous avons toutes les expertises, et il n'y a pas de scrupules et de complexes qui vaillent dans ce contexte. Imaginons un seul instant qu'il en soit autrement ; qui viendra demain soutenir la réalisation d'un autre d'entre-vous ? Marchons dans le bon sens, la tête haute, et avec droiture, pour qu'un prochain samedi, nous méritions de nous réunir dans un endroit, au chaud. Mais pas sans avoir de garanties : "Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage".
On me fait savoir qu'il manque 2000 euros à ce Président d'Association pour ester en justice ? Mais comment se fait-il que la Fondatrice de La CHAI n'a pas cet argent, dans ses caisses, pour le lui procurer ?
La CHAI est un gisement de données du passé concernant essentiellement des informations relatives à nos ancêtres occidentaux. Quant un collectif composé majoritairement de citoyens originaires des anciennes colonies réclame haut et fort l'octroi de ce dispositif ; c'est que ces mêmes individus désignés sous l'appellation de "minorité visible", dès lors pensent et se conduisent comme les Défricheurs d'une nouvelle ère passionnante.
Oh, j'ai bien entendu quelques rares propos individuels de découragement à la mesure des blocages, et je n'ai cessé, en retour, de vous envoyer des messages d'espérance. "A chaque jour suffit sa peine", dit la sentence, et restons confiants, heureux de nous retrouver fraternellement dans notre sillon.
Si c'est une fin de cycle, bouclons la boucle. Nous avons déjà été très patients. Je vous invite à intervenir avec pertinence, persévérance, et rigueur, pour jouer pleinement votre rôle au sein de la société française.
Dans cet ultime courriel, j'ai lutté pour ne pas me répéter. Soyez assurés que je ne doute pas que l'énoncé de ces vérités soient parfaitement habitées et partagées de vous tous. Mais "Ce qui va de soi, va mieux en le disant...". C'est normal que j'y consacre le temps nécessaire parce que : "La parole s'envole mais les écrits restent".
Si nous pouvions nous organiser pour être 40 personnes lors du prochain rassemblement. 40 Justes, c'est possible pour former une ronde et chanter : "we shall overcome today", ou encore, "we are the champions" ou encore... Il y a tant d'émotions chaleureuses à entonner ces nombreux airs en communion.
Vous ne pouvez pas être présents ? Envoyez votre frère, ou votre soeur, votre voisin, votre voisine pour occuper votre rang, mais engageons-nous à former une ronde de 40 personnes minimum, pour fêter nos retrouvailles. Que les artistes soient là, nous n'en manquons pas : c'est la moment d'écouter les poêtes et toutes paroles bien inspirées. Nous avons tant et tant de possibilités de faire entendre notre voix tout en nous sublimant. Partenaires de rue, remettons cela gaiement.
La neige, et la vague de froid glacial vous retiennent ? Non, cela ne peut pas être plus dur que ceux qui, historiquement, nous ont précédés ; ici ou là, et à d'autres époques de la nôtre.
Nous ne disons pas toujours ce que nous pensons, mais nous en témoignons au travers de nos actes créateurs. S'assoupir reviendrait à être complice du mal qui sévit insidieusement et qui parvient, subrepticement, à faire douter de nous-mêmes, de notre légitimité à une existence épanouie dans la relation à autrui, et à renoncer au besoin de défendre cet intérêt supérieur républicain (res publica = chose publique) et démocratique (démos kratos = peuple pouvoir) pour plus de Justice sociale.
J'y serai donc samedi avec ma pancarte parsemée d'étoiles bleues et dorées, bien emmitouflée, revendiquant le respect plutôt que le nihilisme ravageur qui détruit l'harmonie sociale dans notre pays.
Bien à vous.
Marie-Claude BEAUJOUR
Fondatrice de La Collection historique d'archivage informatique (La CHAI)
Blog de lancement de La CHAI exposant ces fondements : www.mcbeaujour.unblog.fr
tél. et fax : 01.47.89.59.52
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