vendredi 9 septembre 2011

Vaccin Gardasil contaminé avec des résidus de virus!



* Aujourd'hui, j'ai pris contact avec la maman d'une jeune adolescente de 14 ans qui est décédée le jour même de sa deuxième injection de Gardasil.  Je prépare une entrevue radiophonique avec elle afin de recueillir le témoignage émouvant et bouleversant de cette maman qui se donne corps et âme pour tenter de démontrer le lien (médico-légal) entre la mort de sa fille et l'administration du vaccin Gardasil.  La jeune fille est morte en 2009 et le rapport d'autopsie ne rejette pas la cause vaccinale,  mais ne la démontre pas non plus.  Cette mère, depuis le tragique accident, cumule des preuves qui démontrent un doute raisonnable concernant le vaccin GARDASIL, preuves qu'elle partagera avec nous.


Mardi, le 6 septembre 2011, SANE Vax Inc., un organisme crédible, indépendant et dont les recherches sont menées avec rigueur scientifique, a publié un article absolument choquant concernant le vaccin GARDASIL, vaccin qui sera administré à toutes les jeunes filles entre 9 et 15 ans et en 2012, même aux garçons!  

 
SVP, ne gardez pas cette information pour vous mais partager-la avec vos contacts afin que l’on puisse protéger "une génération" d'enfants...
 
SANE Vax Inc. annonce la découverte d’un virus VPH ADN contaminé dans le vaccin Gardasil

 « Un jour, SANE Vax a reçu un appel peu commun de la mère d’une jeune fille de 13 ans sexuellement non active de la région de Toronto. Selon cette mère sa fille avait développé de l’arthrite rhumatoïde chronique au cours des 24 suivants l’injection du vaccin Gardasil. Deux ans plus tard, son sang était testé par un laboratoire local et elle était alors diagnostiqué infecté par le virus VPH ADN. Les médecins locaux n’étaient pas en mesure de fournir une explication sur les raisons d’une telle infection. En fait, les médecins ne pouvaient expliquer pourquoi le virus se trouvait dans le sang à la place des anticorps qui auraient dû s’y trouver.

Découragé, la mère de la jeune fille contacta SANE Vax afin de voir s’il avait quelconque explication relativement à une telle situation. SANE Vax décida alors de faire appel à des experts afin d’obtenir une opinion professionnelle. Après plusieurs appels téléphoniques, ils en conclurent que la seule avenue qu’il valait la peine d’explorer était de vérifier si Gardasil ne pouvait pas être la cause de la présence du virus VPH dans le sang de la jeune fille.

Dr. Sin Hang Lee, un expert reconnu pour ses méthodes à la fine pointe dans "l’ordonnancement" de l'ADN a été engagé pour examiner un échantillon de Gardasil et évaluer si une contamination était possible. L’échantillon testé démontra la présence de « recombinant viral HPV-11 » et de résidus de « recombinant viral HPV-18 » chacun étant fermement attaché à l’adjuvant d’aluminium. »

Par la suite l’article de SANE Vax donne une série de définition afin de faire comprendre la nature de la découverte ainsi que les implications sérieuses de celle-ci. L’article poursuit en disant "inquiet des conséquences désastreuses sur la santé des personnes injectées au Gardasil, SANE Vax a contacté plusieurs pays qui travaillaient à assurer la sécurité des vaccins et a ainsi obtenu 13 échantillons de Gardasil provenant tous de différents lots".

Dr. Sin Hang Lee testa les 13 échantillons de Gardasil provenant de lots différents et trouva que 100% des échantillons étaient contaminés de résidus du virus du VPH ADN fermement attaché à l’adjuvant d’aluminium.

Pourtant, au moment de l’approbation de vaccin Gardasil, Merck et la FDA (Federal Drug Administration) avaient affirmé qu’il n’y avait aucun ADN du virus présent dans le vaccin. Merck et la FDA savaient ou aurait dû savoir que des résidus de recombinant VPH ADN laissé dans le vaccin posait des risques à la santé de n’importe laquelle des personnes injectées avec le Gardasil.

Par la suite de l’article SANE Vax pose une série de questions et demande des réponses immédiates de la part de Merck et des autorités :

Si le recombinant VPH NDA attaché à l’adjuvant d’aluminium entre dans le sang d’une personne, combien de temps va t’il y demeurer?

Quel désordre auto-immune peut résulter de cette contamination?

Est-ce possible pour cette contamination d’initier une mutation des gènes qui pourrait conduire à un cancer?
 
Quels changements génétiques (mutagenesis) peut en résulter si le VPH DNA entre et commence à se reproduire dans une cellule humaine?
 
SANE Vax croit que la FDA aurait dû exiger que Merck fasse des tests afin d’évaluer et de quantifier les risques reliés au résidus de recombinant VPH ADN dans le Gardasil avant d’octroyer le permis de commercialiser le vaccin. SANE Vax croit que la FDA devrait exiger que chacun des lots de Gardasil soit testé pour vérifier le résidu VPH ADN avant son expédition. Il est temps pour Merck et la FDA de faire leur travail. Il est temps de déclarer les impacts sur la santé que ces contaminants de virus VPH ADN ont créé aux consommateurs inconscients à travers le monde.
 
SANE Vax a envoyé une lettre à Dr. Margaret Hamburg, FDA Commissioner, pour l’informer de la contamination et pour lui demander une investigation relativement à la contamination du VPH DNA dans le vaccin Gardasil HPV4 présentement sur le marché. Il a aussi été demandé que la FDA prenne les mesures appropriées afin d’assurer la sécurité du public relativement aux expéditions futures de Gardasil.

Résumé de l’article qui suit publiée par SANE Vax Inc. le 6 septembre 2011 :

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