Ni abstention, ni vote blanc : barrage à Hollande !
François Hollande l’a dit et répété : il accordera « durant son quinquennat » « le droit de vote aux élections locales aux étrangers résidant légalement en France depuis 5 ans » (article 50 de son programme). Il a même fixé une date : « en 2013 ».
Pour que les millions d’immigrés, principalement nord-africains et sub-sahariens, et très majoritairement musulmans, puissent voter aux élections municipales de 2014 ! Et cela uniquement parce que la gauche est à la recherche d’un « électorat de substitution » dans une France qui « n’est pas majoritairement à gauche » (François Hollande, in Le Nouvel Observateur, 3 mai 2012, page 50).
Pour que les millions d’immigrés, principalement nord-africains et sub-sahariens, et très majoritairement musulmans, puissent voter aux élections municipales de 2014 ! Et cela uniquement parce que la gauche est à la recherche d’un « électorat de substitution » dans une France qui « n’est pas majoritairement à gauche » (François Hollande, in Le Nouvel Observateur, 3 mai 2012, page 50).
Une telle mesure serait un véritable crime contre la France !
C’est un crime car : • dans un nombre incalculable de communes, les immigrés feraient la loi ! Imaginez les conséquences d’une telle mesure dans une ville comme Marseille ! Ou en Seine-Saint-Denis. Ce serait placer des pans gigantesques du territoire français sous emprise étrangère ! Ce serait donner à ces villes à un véritable statut d’extraterritorialité !
• dans toutes les communes où l’élection se joue à 2 ou 3 % des voix, ce sont les minorités étrangères qui feraient l’élection !
C’est un crime car : • donner le droit de vote aux immigrés, c’est leur donner le droit de décider du choix des maires : • donc donner le pouvoir aux immigrés de choisir qui sont les élus qui auront le pouvoir d’accorder leur parrainage aux candidats à l’élection présidentielle !
Si François Hollande voulait qu’aucun candidat opposé à l’immigration ne puisse être candidat aux prochaines élections à la présidence de la République, il ne s’y prendrait pas autrement !
On ne serait pas loin, avec une telle mesure, d’un putsch constitutionnel et de la mort, et de la démocratie française, et de la France.
Face à cette folie, face à ce crime contre la République, face à ce crime contre la France, dimanche, un seul choix : barrage à François Hollande !
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