Il est minuit passé et la fin du monde n’a pas eu lieu comme l’annonçait le prédicateur américain Harold Camping, se fondant sur de savants calculs à partir du texte biblique...
Non la fin du monde n’a pas eu lieu, l’humanité n’a pas péri dans une énorme catastrophe, le monde n’a pas sombré dans le chaos.
Et nous sommes le 22 mai 2011, voilà l’humanité debout, intacte, poursuivant allègrement sa folle marche vers sa néantisation, vers sa fin.
Une destruction amorcée lorsque nous sommes entrés dans l’ère de l’anthropocène. Pas besoin de Dieu, pas besoin de cataclysmes, l’homme en dégradant l’environnement, en déboisant la planète, en rejetant les gaz à effet de serre, en empoisonnant les terres, l’eau, la mer, en fragilisant la vie, l’homme se tue.
Une destruction amorcée lorsque nous sommes entrés dans l’ère de l’anthropocène. Pas besoin de Dieu, pas besoin de cataclysmes, l’homme en dégradant l’environnement, en déboisant la planète, en rejetant les gaz à effet de serre, en empoisonnant les terres, l’eau, la mer, en fragilisant la vie, l’homme se tue.
Le monde n’est pas mort ce 21 mai 2011, mais la gigantisation des atteintes portées à l’environnement fait que l’homme est en sursis, à coup sûr l’humanité périra un autre jour.
Evariste Zéphyrin
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